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QUelqu'un a-t-il déjà eu maille à partir avec ce service technique départemental qui facture sa prestation pour un service public dont la charge incombe à la commune, au meme titre que la police......
Je parle de Service d'Assistance Technique à l'Entretien des Systeme d'Epuration, service à compétence départementale créé initialement pour procéder à l'aide à l'entretien des systèmes collectifs d'épuration, (en abrégé : SATESE). Dans un certain nombre de département, il intervient en soustraitance des collectivités locales pour assurer, pour leur compte le controle technique des installation d'assainissement non collectif, dont la mairie à la responsabilité de la conformité à compter du 1 er janvier 2006. Cette prestation consiste pour la mairie, via le SATESE, à vérifier que les propriétaires de ces installations respectent bien les normes d'assainissement.
Les SATESE (Service d'assistance technique et d'étude aux stations d'épuration) interviennent selon des modalités propres à chaque situation locale, car leurs financements dépendent des accords passés avec les Conseils généraux, les autres collectivités locales et l’Agence de l’eau du lieu de ressort.
Orange,
Il vous faut donc voir la question localement. Notez que le service de l'eau et de l'assainissement n'est pas, comme vous le dites, de la même nature que celui de la sécurité publique et de la police administrative, qui sont des fonctions régaliennes.
Il m'apparait pourtant que l'obligation faite au particulier est d'avoir une installation conforme, donc de respecter les contraintes légales dans ce domaine MAIS que la charge de vérifier que ces installations sont conformes sont des prérogatives qui incombe à la collectivité, sans que ce faisant la collectivité ne rende de service au particulier. Est-ce normal dans ce cas que la visite effectuée par la mairie -ou le Satese- soit payante ? De quelle juridiction dépend ce contentieux : tribunal d'instance ou tribunal administratif ? Quelqu'un connait-il des jurisprudences dans ce domaine.....
Pour cerner de quel ordre relève le contentieux de ce domaine, il faudrait savoir qui vous a 'facturé' : a priori (et sous réserve - réserve qui n’est pas mince - de voir le cas plus en détail, notamment pour ce qui est de la définition particulière des missions des uns et des autres sur le territoire de votre commune, ou celui de la communauté qui existerait, en vertu d'éventuelles dispositions fixées par arrêtés locaux, valides ou non), si c'est une structure publique, la mairie ou le SATESE mandaté par elle ou plutôt agissant pour elle, qui vous a 'facturé', c'est le tribunal administratif qui est compétent en contentieux (mais vous avez la faculté de lancer d'abord une procédure de recours) ; si c'est une structure agissant commercialement (un SATESE peut-il agir ainsi ? je ne le sais pas trop), c'est le tribunal civil.
Citation :2.1.1.5.3. L’autre grande préoccupation des élus : quels moyens de financement mettre en place pour la gestion collective de l’assainissement individuel ? L'autre grand sujet de préoccupation pour les élus locaux est relatif aux dépenses de contrôle des systèmes d'assainissement non collectif. Ce thème revient de manière récurrente depuis 1994 dans les questions écrites au gouvernement (cf. annexe 2). Les points suivants sont abordés : 1°) La loi n° 92-3 du 3 janvier 1992 sur l'eau a prévu la prise en charge par les communes des dépenses de contrôle des systèmes d'assainissement non collectif. Quelle est la portée de cette notion de dépenses de contrôle ? 2°) Dans quelle mesure une commune ou un groupement de communes a le droit de réhabiliter des ouvrages d'assainissement individuel en domaine privé ? Si cela est possible, la commune peut-elle garder la propriété de ces dispositifs et les mettre à la disposition des particuliers ? 3°) Si les communes ou groupements de communes sont autorisés à effectuer ces travaux sur domaine privé : · Peuvent-elles bénéficier des aides financières obtenues dans le cadre d'un contrat pluriannuel, de la part des partenaires habituels : Etat, département, région, agence de l'eau ? · Peuvent-elles récupérer la TVA correspondant au montant de ces opérations et prendre en compte l'amortissement technique de ces ouvrages dans le cadre de leur budget annexe d'assainissement ? 4°) Les dépenses relatives aux études à la parcelle, parfois nécessaires pour choisir une filière d'assainissement autonome, font-elles parties du contrôle et sont-elles, dans ce cas, donc à la charge de la commune ? Ou bien font-elles parties de la description du dispositif d'épuration proposé par le pétitionnaire et donc sont à sa charge ? 5°) Les collectivités sont-elles en droit d’intégrer dans le calcul de la redevance d’assainissement individuel le coût de la prestation de contrôle (visite de terrain initiale de l’existant + visite après travaux pour le contrôle de conception) ? 6°) La redevance d'assainissement perçue lorsque les usagers sont raccordés à un réseau d'assainissement collectif (art. L. 2224-12 du code général des collectivités territoriales et R. 372-6 et s. du Code des communes) peut-elle être demandée au propriétaire d'un système d'assainissement autonome ? 7°) Y a-t’il possibilité de mise en place d'un système de convention signée par le propriétaire et la collectivité ? 8°) Différentes dispositions fiscales ont été accordées pour les gros travaux d’entretien et d’économie d’énergie (ravalement, changements de chaudières …). Ces incitations financières ont favorisé les économies d’énergie et ont contribué à l’amélioration du confort de l’habitat. Des mesures similaires en faveur de l’assainissement autonome peuvent-elles être mises en place ? 9°) Fin 2003, suite au constat du désengagement des agences du domaine du financement des installations d’assainissement autonome, différents élus soulignent que la diminution des dotations met en difficulté les collectivités locales qui s’étaient engagées dans la mise en place d’un service public d’assainissement non collectif. Ils demandent quels correctifs peuvent être apportés à cette situation. 10°) Est-il possible de changer la loi afin que les communes soient autorisées à participer au financement des équipements individuels ? 11°) Pourrait-il être envisagé que les personnes privées puissent obtenir une participation financière publique (des agences de l'eau ou autres organismes publics) par l'intermédiaire d'un organisme relais ?