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Je me permets de réitérer une question que j'avais posé il y a quelques jours sur le forum car je n'avais pas eu de réponse. Je ne souhaite plus vendre mon appartement au prix du compromis car le marché s'est apprécié de + de 20 % en un an. que puis je faire? Je préférerais réintégrer mon logement ou le remettre en vente plutot que d'avoir une perte de pouvoir d'achat sur la surface auquel je peux aspirer (+ frais de notaire). quelles sont les solutions dont je dispose? Merci.
Il faut voir exactement la clause suspensive si c'est une date indicative, ou bien, au delà de laquelle le compromis devient caduc.
Dans le pire des cas, vous pouvez vous dédire, mais moyenannt probablement pénalité. A vous de voir si les 20% espérés dépassent ces pénalités.
Et surtout relire le compromis.
PS : vous rafraichissez le sujet. Bien.
Vous en êtes à 9 mois. Question : qu'attendez vous exactement avec la clause suspensive qui est toujours suspensive. Qu'elle s'éternise ? Ne pouvez vous pas sommer l'acheteur puisque je suppose qu'il y a une date limite ?
Si j'ai bien compris l'autre message que vous avez posté, l'acheteur est dans son droit puisque le compromis a été prorogé en liaison avec l'attente d'une décision d'AG et que le délai de recours contre cette AG n'est pas encore passé.
Donc, je rejoins Le Nabot : à part payer l'indemnité prévue au compromis pour vous rétracter, il n'y a pas de moyen de le faire sans frais à mon avis.
Attention aussi aux frais d'agence éventuels : si vous êtes passés par une agence, peut-être le mandat ou le compromis prévoit-il que vous devez les frais d'agence si vous vous rétractez.
Voir aussi qui doit dédommager le notaire : l'acheteur (en prenant sur l'indemnité) ? vous ?