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Cette ordonance fut adoptée au dernier Conseil des ministres, assortie du communiqué de présentation suivant :
Citation :Lutte contre l’habitat insalubre ou dangereux
Le ministre de l’Emploi, de la Cohésion sociale et du Logement a présenté une ordonnance relative à la lutte contre l’habitat insalubre ou dangereux.
Cette ordonnance, prise sur le fondement de la loi du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale, a pour objectif la simplification des procédures, le traitement d’urgence des situations d’insalubrité, la préservation des droits des occupants de bonne foi et leur relogement, la clarification des responsabilités de l’État et des collectivités territoriales en matière de travaux d’office et de relogement.
Dans le domaine du traitement des situations d’insalubrité ou de péril dans l’habitat, elle prévoit :
• l’institution d’une procédure de traitement d’urgence des situations d’insalubrité qui autorise le préfet à mettre en demeure le propriétaire d’effectuer les travaux de sécurité et de salubrité indispensables et, en cas de carence, à les effectuer d’office à la charge du propriétaire, avant même la notification de l’arrêté d’insalubrité ;
• la simplification de la procédure de l’arrêté de péril non imminent, permettant au maire de prescrire au propriétaire les travaux (ou la démolition de l’immeuble) nécessaires pour mettre fin au risque que l’état de solidité du bâtiment fait courir à la sécurité des occupants. L’arrêté du maire, désormais exécutoire dès sa notification, pourra interdire les locaux à l’habitation et autorisera le maire à engager les travaux d’office ;
• l’accomplissement de travaux exécutés d’office dans les copropriétés en péril ou insalubres. L’autorité publique pourra ne se substituer qu’aux seuls copropriétaires défaillants et non au syndicat de copropriété pour les travaux, d’où une économie de temps et de deniers publics ;
• des précisions concernant les travaux prescrits par le préfet pour sortir un immeuble de l’insalubrité ; ces travaux privilégient le maintien ou le retour dans les lieux des occupants, une fois les travaux faits. Ces travaux pourront inclure la réalisation des équipements nécessaires pour que le logement soit décent après travaux et donc conforme à l’usage d’habitation ;
• une expropriation facilitée des immeubles insalubres interdits à l’habitation.
En ce qui concerne l’amélioration de la protection des occupants des logements insalubres ou en péril, l’ordonnance prévoit :
• la suspension du bail et la prorogation de sa durée en cas d’arrêté d’insalubrité ou de péril jusqu’à réalisation des travaux prescrits ou au relogement définitif ;
• l’impossibilité de résilier un bail et de prononcer l’expulsion d’occupants de bonne foi à la suite d’un arrêté d’insalubrité ou de péril, sans offre effective de relogement, même si le délai d’interdiction d’habiter est échu ;
• une protection renforcée des occupants d’hôtels meublés soumis à prescription de travaux de sécurité (suspension des loyers ou redevances et du bail jusqu’à réalisation des travaux) ;
• la clarification des responsabilités entre maires et préfets pour assurer le relogement provisoire ou définitif des occupants en cas de carence des propriétaires : le maire assure le relogement en cas de péril, le préfet en cas de déclaration d’insalubrité. Le montant de la contribution du propriétaire, due à celui qui a été relogé, est sensiblement alourdi pour mieux correspondre à la réalité économique de l’action de relogement ;
• le renforcement du dispositif pénal et des sanctions contre les " marchands de sommeil ".
On vient de s'apercevoir qu'il y a des immeubles indignes
On vient même de les compter Pourtant, depuis des années, les assistantes sociales, les médecins de quartier, les infirmières, les gens du Secours populaire, de l'Armée du salut, du Secours catholique , d'Emmaus, que sais je encore, pouvaient vous faire faire la tournée.
A Marseille, 500 parait-il, dont certains affectés à la domiciliation fiscale pour les attestations de non-imposition génératrices de certains avantages.
A Paris, ceux qui ont patrouillé en 1960/61 dans le quartier de la Goutte d'Or peuvent refaire la patrouille maintenant et comparer. Ce n'était pas le seul quartier concerné d'ailleurs.
Aggraver les sanctions contre les marchands de sommeil ? Il suffisait d'appliquer réellement les sanctions antérieures. Qui peut prétendre sans rire qu'il était impossible de les identifier en démêlant les SCI et autres tontines ?
Si au moins on trouve dans l'ordonnance une réelle unification des procédures jusqu'à présent éparpillées dans le Code de l'urbanisme, le CCH, le code de la santé publique, etc ... on pourra quand même dire bravo !