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LeNabot
Pilier de forums

13018 réponses

Posté - 13 mars 2006 :  10:42:00  Voir le profil
Citation :
Initialement entré par jmdb


je quitte cette fois définitivement ce fil, car il est malheureusement impossible de discuter.



Cela fera donc la septième fois que vous quittez définitivement ce fil.

Je pense que Pierre MARIE confirmera le décompte. Cela devient dur de comptabiliser les faux départs de notre expert en sciences immobilières.
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universimmo
Administrateur

3522 réponses

Posté - 13 mars 2006 :  20:27:16  Voir le profil  Voir la page de universimmo
Le Nabot,
Cette polémique ad hominem est déplacée et c'est vous qui l'avez relancée : jmdb cette fois s'en tenait à l'argumentation ! Comme disait sauf erreur Bertrand de Jouvenel, la prévision est un art difficile, surtout lorsqu'il s'agit de l'avenir...

Seul les faits à venir justement vous départageront, et la thèse que défend jmdb est aussi respectable que celles qui prévoient un krach retentissant ! Les professionnels de l'immobilier ne sont pas disqualifiés pour raisonner sur le marché, et si nos grands économistes avaient appliqué leurs raisonnements actuels aux évolutions des 15 dernières années, ils nous auraient prédit le krach de 1990 et la flambée des années 2000, ce qui aurait arrangé du monde...

Restons modestes, ça évite a posteriori d'avoir l'air bête !
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jmdb
Pilier de forums

556 réponses

Posté - 13 mars 2006 :  20:48:22  Voir le profil
Effectivement, je m'en tenais qu'à nde l'argumentation.... mais à propos de celle-ci, qui dira enfin qu'il n'y en a aucune dans les rangs des "baissiers" ? Ou plus exactement, pour être clair dans les rangs de ceux, qui depuis deux ans et demi, nous annoncent que le marché va s'effondrer ?

J'ai posé une question à laquelle personne n'a répondu (et pour cause cette question dérange tous ceux qui interprètent le diagramme de Frigitt pour ce qu'il ne dit pas), et je la répète :
Pour quelle obscure raison, la courbe du montant des transactions qui dans les années 90-91 était "déconnectée" de celle du prix des logements, est à l'heure actuelle quasi parallèle à l'augmentation des prix ?

Cette raison n'est absolument pas obscure, et j'attends en vain, de tous ces apprentis sorciers de la prospective et qui représentent à mes yeux aujourd'hui, que ce soit ici ou ailleurs, ce que les auteurs d'un article de Le Nabot, brandi par lui comme d'une vérité absolue, appelaient TOTALITARISME.

Si je quitte ce fil - tout en jetant un oeil à la réponse que l'on fera à la question que je pose - c'est bien pour cela.
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LeNabot
Pilier de forums

13018 réponses

Posté - 13 mars 2006 :  21:29:41  Voir le profil
Citation d'UI
Citation :
Le Nabot,
Cette polémique ad hominem est déplacée et c'est vous qui l'avez relancée : jmdb cette fois s'en tenait à l'argumentation !


Il faut quand même voir l'argumentation de l'expert.

Citation de jmdb.
Citation :
Mais je me tape du CAC40 !
Je ne vois pas en quoi cette remontée, après de longues et fréquentes dégringolades, a un rapport avec la valeur de l'actif immobilier !


Réitéré plus loin

Citation :
Je me fiche du CAC 40, de la courbe de Firgitt et de toute cette masturbation intellectuelle.


C'est bien de vous cher jmdb. Non ?

Et maintenant la question de jmdb à laquelle je vais répondre brièvement.

Citation :
Pour quelle obscure raison, la courbe du montant des transactions qui dans les années 90-91 était "déconnectée" de celle du prix des logements, est à l'heure actuelle quasi parallèle à l'augmentation des prix ?


Pour un soit disant enseignant d'ICH il faut quand même oser la poser cette question.

La courbe du montant des transactions n'a jamais été déconnectée du reste. Si vous êtes, ne serait-ce qu'un peu statisticien, ce qui normalement devrait être le cas pour quelqu'un qui se prétend enseignant d'ICH, l'expert que vous prétendez être aussi, observerait que cette courbe monte quand les prix parisiens montent et qu'elle descent quand les prix parisiens descendent. Si la courbe n'avait pas atteint en 1990 celle des prix parisiens, c'est que tout simplement parce que l'augmentation des prix provinciaux n'avaient pas atteint l'augmentation des prix parisiens. Vous découvrirez également que l'ordonnée est exprimée en base 1. C'est comme une base 100 c'est relatif. Vous n'avez jamais su lire une courbe. Vous n'avez jamais su ce qu'était une ordonnée. Et vous n'avez jamais su non plus que les prix parisiens avaient chuté de 40% entre 1990 et 1997, car reprenez vos posts, vous l'avez nié et que donc j'ose maintenant vous dire calmement en face que vous êtes un nullissime.

Maintenant pour la deuxième partie de la question. Pourquoi la courbe du montant des transactions ne rejoint-elle celle de Paris, comme toutes les autres courbes, que maintenant. Puisque j'ai cru comprendre que cela avait une importance. Tout simplement parce que l'augmentation est générale en France. Et que donc le montant moyen d'une transaction augmente dans les mêmes proportions. Vous savez ce que c'est une moyenne ? Vous qui il y a un mois prétendiez m'apprendre la division ?

Vous avez l'explication dans l'article de Daniel Cohen, mais c'est également trop vous demander, je crois, de le lire complètement.

Daniel Cohen a écrit dans l'article :

Il est certain que, depuis le début de l'année dernière déjà, nous avons dépassé les sommets du précédent pic, celui du début des années 1990. La première différence entre celle que nous connaissons et celle d'il y a quinze ans est que cette dernière était limitée à la région parisienne; aujourd'hui, c'est vraiment toute la France qui est concernée.


Je suis loin d'être élitiste, mais je crois utile de préciser qu'un prof de Normale Sup restera un prof de Normale Sup, et un bac + 2 en Force de Vente restera un bac + 2 et que maintement il est hélas trop tard pour vous refaire.


Edité par - LeNabot le 13 mars 2006 21:33:12
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asi77
Pilier de forums

911 réponses

Posté - 13 mars 2006 :  21:45:59  Voir le profil
Jean Michel,

Pouvez vous me répondre sur ces 2 points : (déjà postées mais toujours sans réponse) ?


Le graphique de FRIGITT
-----------------------

Vous indiquez :

Citation :
(jmdb - page 5 de cette file) "- d'ici là, le marché continuera d'augmenter au moins dans une fourchette variant de 5 à 7% pour retourver le fameux tunnel du diagramme de Frigitt."


********
* FAUX *
********

---> Vous confondez variation annuelle et indice des prix !
---> Pour retrouver le tunnel de Frigitt, c'est une baisse de 30% à 40% qu'il faudra !


La baisse de 40% à Paris de 91-98
----------------------------------

Vous indiquez :

Citation :
(jmdb - page 32 de cette file)
Si je réponds que c'est faux. C'est pour 2 raisons.

La première est surtout que tout dépend de la date d'acquisition et la date de la vente....il faudrait préciser les choses

Par ailleurs, ce n'est pas 40% sur la totalité de la période....

Bref; l'affirmation du Nabot est fausse...

La seconde c'est qu'encore une fois, de quoi parle-t-on.?
Si je prends les indices des prix..... il n'y a absolument pas une baisse des indices des prix de l'immobilier durant cette période.....

Ces indices sont consultables sur le site de l'insee



********
* FAUX *
********

---> Donnez moi le lien sur l'insee ... je suis intéressé !
---> Je vous invite à consulter le tableau suivant
[Source Notaire-INSEE ]
[Lien : http://www.paris.notaires.fr/art.php?cID=277&nID=649]




Tiens donc IL Y A BIEN EU UNE BAISSE MOYENNE DE 40,4% à Paris entre 1991 et 1998.

Merci d'argumenter sur ces 2 points ... ou de reconnaitre tout simplement vos erreurs ...

ps : ... sans insultes !
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quelboulot
Modérateur

6445 réponses

Posté - 13 mars 2006 :  22:22:37  Voir le profil
Universimmo,
Citation :
Le Nabot,
Cette polémique ad hominem est déplacée et c'est vous qui l'avez relancée : jmdb cette fois s'en tenait à l'argumentation ! Comme disait sauf erreur Bertrand de Jouvenel, la prévision est un art difficile, surtout lorsqu'il s'agit de l'avenir...


Sauf erreur de ma part, et je serai "repris" illico d'ici demain matin, à Bertrand de Jouvenel il conviendrait d'associer celui qui l'a fait connaître en son temps et sous cette formulation au grand public , Pierre DAC

Christophe
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jmdb
Pilier de forums

556 réponses

Posté - 14 mars 2006 :  09:09:32  Voir le profil
Les insultes et les attaques sont continuelles de la part de Le Nabot et de Pierre Marie et de quelques autres de leur clique. Je réponds toujours normalement à des propos qui le sont.

Bien évidemment il y a eu une baisse des prix entre 91 et 96-98, et si je ne confond pas "indice des prix" avec "évolution des prix" en revanche, celle-ci est sooigneusement entretenue dans les propos du Nabot et de quelques autres.

Il faudrait revenir d'une part à la raison qui a fait augmenter les prix entre 1984 et 1991, ce qui a fait chuter le marché; et d'autre part aux raisons qui a fait que les prix augmentent sans discontinuer depuis 1997.

En apparence, et c'est ce que montre le diagramme, il s'agit d'un cycle ! En réalité, je ne le crois pas. Car si l'on s'interroge sur les raisons de ce mouvement de yoyo, non seulement celles-ci sont de nature réellement différentes, mais elles n'ont pas la même profondeur. En clair, alors que ce sont pour des raisons conjoncturelles en 91 (spéculation et désordres internationaux Guerre du Golfe en tête) qui ont fait que le marché s'est écroulé (abondance de biens sur le marché subitement et demande très ralentie), ce sont bien pour des raisons structurelles (démographie, sociologie, financière) que le marché, non seulement s'est redressé en 1996, mais aussi qu'il continue à augmenter aujourd'hui.

Tant que ces raisons seront présentes, je ne vois pas dans quelles conditions le marché pourrait s'effondrer comme le prétend Le Nabot.

Ensuite, ce que l'on constate, et cela démontre s'il en était besoin, les causes structurelles de cette hausse de la valeur de l'actif immobilier, c'est le caractère non seulement national (la province rattrappe Paris - la qualité de vie étant bien meilleur), mais également international, car cette hausse touche tous les pays industrialisés.
C'est d'ailleurs ce qui rend ridicule les arguments des baissiers qui vont jusqu'à dire que les statistiques des notaires sont fausses, celles de la FNAIM idem, et que l'INSEE trafique ses chiffres. C'est la théorie du complot.
Comme il n'y a pas d'autres chiffres... la boucle est bouclée.

Il y a tout de même un point important : tout le monde s'accorde à dire que la situation de 91-92 n'a strictement rien à voir avec la situation présente.
C'est d'ailleurs la raison même de la question que je pose et à laquelle Le Nabot répond comme cela l'arrange. Sauf que la réalité est foncièrement (c'est le cas de le dire) différente !
En 91-92, ce ne sont qu'un peu plus de 400 000 ventes réalisées dans l'ancien, alors que ce sont plus de 600 000 qui se réalisent à l'heure actuelle. En clair, l'activité reste et demeure soutenue....
Par quoi, c'est intéressant de le savoir tout de même !
Car si vous imaginez que les prix ont été multiplié par 3 dans certaines régions, et que le nombre de ventes ne faiblit pas, c'est qu'il y a bien un réajustement du marché. Violent en 2004 je le reconnais volontiers, mais qui prouve une nouvelle fois l'absence de bulle spéculative.
En clair, lorsqu'un investisseur possède un terrain, il construit dessus.... il ne garde pas le terrain pour construire plus tard comme cela a été le cas au début des années 85-86.
La demande ne faiblissant pas ou très peu, les marges de manoeuvres sont réelles aujourd'hui, et ce d'autant que les coûts apparents d'acquisition ont été divisés par deux (droits de mutation et taux d'intérêts).
Certes je n'oublie pas que l'on emprunte sur des durées plus longues, mais quelle importance après tout puisque lorsque j'emprunte c'est pour devenir propriétaire !

Reprenez donc mes propos depuis le début ! J'ai dit que je nous voyais plutôt à l'entrée d'un nouveau cycle, et non à la sortie d'un cycle de surchauffe des prix annonçant un effondrement.

Je considère en effet, que les prix actuels sont à un niveau parfaitement normal (en réalité c'est cela la vraie question : quelle est la valeur normale du prix d'un logement ?) et qu'après les réajustements rendus nécessaires par l'effondrement de 91-92, les prix vont doucement s'assagir.
Deux preuves à cela : d'abord c'est ce à quoi on assiste en ce moment (que je sache en 91-92 il n'y avait pas eu cet infléchissement, et la baisse avait été brutale), ensuite le niveau d'activité ne faiblit pas.

Si les prix s'effondrent, c'est uniquement dans les esprits malades et dérangés de quelques uns au pire, et au mieux dans leurs rêves.

Quant à moi, je n'ai aucun intérêt de quelque nature que ce soit. Je préfèrerai personnellement que l'immobilier soit plus accessible pour certaines catégories sociales. D'abord parce que le français est peu endetté si je le compare à ses voisins (mais cela n'est pas une raison j'en conviens), ensuite parce que seulement un peu plus de la moitié des français est propriétaire de sa résidence principale (plus de 80% en Espagne par exemple), et que je ne vois pas en quoi la société française pourrait pâtir d'une augmentation du nombre des propriétaires.
Si c'est effectivement une tendance lourde, alors les prix ne sont pas prêts à s'effondrer, et que si cela arrivait malheureusement, ce que je ne crois pas, cela retarderait de quelques années un phénomène bien normal dans une société industrialisée comme nous le sommes.

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LeNabot
Pilier de forums

13018 réponses

Posté - 14 mars 2006 :  10:02:24  Voir le profil
Citation :
Initialement entré par jmdb

Bien évidemment il y a eu une baisse des prix entre 91 et 96-98, et si je ne confond pas "indice des prix" avec "évolution des prix" en revanche, celle-ci est sooigneusement entretenue dans les propos du Nabot et de quelques autres.


Cela revient donc à dire que vous reconnaissez la fausseté de vos affirmations tendant à nier une baisse de 40 % des prix parisiens entre 1990 et 1997. C'est ma conclusion.

Citation :
Il y a tout de même un point important : tout le monde s'accorde à dire que la situation de 91-92 n'a strictement rien à voir avec la situation présente.
Certainement pas Daniel Cohen dans son article.


D'autre part j'ai répondu à votre question relative à la courbe du montant des transactions sur le graphe de Friggit. Vous vouliez en venir à quoi ? La question est très précise.


Edité par - LeNabot le 14 mars 2006 10:35:00
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vttdechaine
Pilier de forums

2262 réponses

Posté - 14 mars 2006 :  10:32:08  Voir le profil
Cher UI,

Certes, les propos de jmdb sont tout aussi respectables que ceux du Nabot ou d'Asi77.
Le problème vient plutôt de l'argumentation utilisé comme Le Nabot a pu en donner quelques extraits.
Quand, par ailleurs, jmdb dit que les consommateurs devront "s'habituer" à mettre plus d'argent dans leur logement peut-on vraiment appeler cela un argument ?
Quand il soutien que l'immo en Espagne est plus cher qu'en France alors que les chiffres le contredisent, peut-on appeler cela un argument ?
Quand il m'écrit "je t'emmerde" est-ce encore l'un de ses multiples arguments alors qu'il voudrait se faire passer comme victime un peu plus loin parce qu'il se fait lui-même insulter ?
Est-ce qu'annoncer des faits sans en donner les preuves puis, à force de harcellement, lui faire lacher que ces preuves ne sont "malheureusement" pas disponibles pour le grand public sans payer, sont aussi des arguments ?

Cher UI, si je regarde d'autres files sur le même sujet, j'ai déjà pu lire des discussions intéressantes (celle sur la frénésie locatives est une preuve par exemple) mais s'il y a un problème ici c'est plutôt que les arguments sont difficiles à entendre et/ou à comprendre... curieusement.

Si je reprend 'au hasard' ce dernier paragraphe :
Citation :
Ensuite, ce que l'on constate, et cela démontre s'il en était besoin, les causes structurelles de cette hausse de la valeur de l'actif immobilier, c'est le caractère non seulement national (la province rattrappe Paris - la qualité de vie étant bien meilleur), mais également international, car cette hausse touche tous les pays industrialisés.
C'est d'ailleurs ce qui rend ridicule les arguments des baissiers qui vont jusqu'à dire que les statistiques des notaires sont fausses, celles de la FNAIM idem, et que l'INSEE trafique ses chiffres. C'est la théorie du complot.


Voyez-vous cher UI où sont les arguments de jmdb :
- La valeur de l'immobilier augmente en province par rapport à Paris parce que la qualité de vie y est meilleurs. Où est le lien de cause à effet ? En Correze la qualité de vie a toujours été meilleurs qu'à Paris (et de loin !) mais les prix ne sont pas pret d'être équivalent. Celui qui DOIT vivre à Paris n'a que peu à faire de la qualité de vie à 400 kms de là. C'est un argument à la hausse de l'immobilier trouvez-vous ?
- La hausse touche tous les pays industrialisés... sauf l'Allemagne mais jmdb semble déjà l'oublier dans son argumentation. A partir de là est-ce que son argument "tout le monde y passe" est encore un argument ?
- Quand au dernier paragraphe que j'ai mis en gras, il faudra me dire où jmdb a lu cela. Je crois qu'il l'a sorti tout seul de son châpeau, comme beaucoup d'autres choses. Lorsque l'on mets en doute les chiffres de la FNAIM c'est principalement par leur méthode de calcul. Cette méthode a fait l'objet d'une question de ma part à jmdb mais aujourd'hui encore sans réponse. Serait-il à court d'arguments ?

Cordialement cher UI.

Marty

Edité par - vttdechaine le 14 mars 2006 10:42:18
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LeNabot
Pilier de forums

13018 réponses

Posté - 14 mars 2006 :  10:56:37  Voir le profil
un lien : http://challengestempsreel.nouvelobs.com/france/chall_21399.html

et un passage intéressant :

La négociation fait son retour
Dans les agences immobilières et bancaires, le chiffre n’a pas surpris. Elles sentent le vent tourner depuis quelques mois déjà. « C’est très net, il y a beaucoup moins d’appels téléphoniques », reconnaît Lionel Calo (Laforêt Immobilier) à Rennes. Et à Grenoble, un marché pourtant très dynamique, Jean-Marc Tourrolion constate que « le marché est en état de pause depuis novembre ». Encouragés, les acheteurs négocient : « On assiste à des contre-offres inférieures de 3 à 8 % aux prix affichés par les vendeurs », explique-t-on au réseau Laforêt. Chiffres confirmés par son concurrent, ERA : alors qu’il s’était stabilisé autour de 5 %, le taux de négociation, qui mesure la baisse de prix qu’obtiennent les acheteurs par rapport au prix affiché, a brusquement grimpé à 7,7 % dans ce réseau. « Certains acquéreurs font une offre et n’en démordent plus », note Jean Lavaupot, président d’ERA.
Epargné jusque-là, Paris n’échappe plus à la règle. Pour Henri Buzy-Cazaux, directeur général adjoint du groupe Foncia, « nous avons, pour le même bien, trois acquéreurs intéressés là où nous en avions dix il y a deux ans ». Et les transactions traînent en longueur : en un an, la durée moyenne d’une transaction est passée, selon les différents réseaux que nous avons interrogés, de cinq ou sept semaines à huit ou dix semaines. Dans le neuf, même inquiétude : les stocks, jusque-là au plus bas, montent en flèche ( voir graphique ). La situation commence à inquiéter les « politiques ». Christian Noyer, le gouverneur de la Banque de France, membre du conseil de la Banque centrale européenne (BCE), a tiré un premier coup de semonce il y a quelques semaines, devant l’Assemblée nationale, en annonçant que les prix étaient, selon ses experts, surévalués de 30 % ! La France serait même le marché le plus risqué des Douze, à égalité avec l’Espagne. Pour retrouver une telle distorsion sur les prix, poursuit l’établissement, il faut remonter au début des années 90… juste avant la crise !
Un avis partagé par William White, le chef des études économiques de la BRI (Banque des règlements internationaux). La « banque des banques », chargée de surveiller les risques de surchauffe, s’inquiète déjà des conséquences du recul attendu du marché. C’est sans doute aller un peu vite, mais William White craint qu’une crise immobilière n’ait des conséquences plus lourdes qu’un krach boursier pour les acquéreurs : « Non seulement c’est un marché moins liquide que la Bourse , explique-t-il, mais en plus votre dette demeure, même si le prix de votre maison chute… »
Alors, qui croire ? Les professionnels, éternels porteurs de lunettes roses, ou les Cassandre qui, comme Christian Noyer (Banque de France), William White ou Jean-Michel Guérin, le patron du magazine d’annonces De particulier à particulier , voient le marché reculer ?



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jmdb
Pilier de forums

556 réponses

Posté - 14 mars 2006 :  17:26:36  Voir le profil
Qui croire...?

Mais bon sang, lisez un peu ce qui est écrit.

L'auteur n'affirme pas..... il parle des craintes qu'il aurait au cas où..... tout disant en préambule : "nous n'en sommes pas là".....

Bien évidemment, il y a des craintes à avoir... mais quelle est la probabilité, par exemple, que le marché s'inverse ?

Cette probabilité est nulle ou quasi nulle.....

Quant à Marty qui s'évertue à dire que je ne présente pas d'arguments, non seulement je ne fais que cela, mais j'ajoute que ce sont les miens, et non ceux d'une autre personne dont on indique le lien pour seule garantie de vérité.

Qui croire ?

Personne. Il suffit d'observer LA réalité du marché.

Les prix augmentent toujours, et le niveau d'activité est en hausse. Rien, pour le moment, ne vient contredire cette mécanique.

Cela ne veut pas dire que cela durera, cela veut surtout dire qu'il n'y a pas, pour le moment, de signes d'un retournement du marché.
Cela range cet aspect au rang d'une simple hypothèse intellectuelle.
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LeNabot
Pilier de forums

13018 réponses

Posté - 14 mars 2006 :  17:47:39  Voir le profil
Citation :
Initialement entré par jmdb

Mais bon sang, lisez un peu ce qui est écrit.

Avez vous lu le lien ??

René Pallincourt, président de la Fédération nationale des agents immobiliers (Fnaim), reconnaît, fine mouche, un changement d’atmo­sphère : « La tendance n’est pas à la baisse mais au ralentissement », nuance-t-il. Sa prudence s’explique : début février, les statisticiens de sa fédération publiaient un indice des prix pour janvier 2006 en hausse d’un petit 0,1 %, dix fois moins que d’habitude. C’est le plus fort coup de frein du marché depuis sept ans.

Vos petits copains de la FNAIM publient un petit 0.1 % pour un mois.

Vous ne trouvez pas que cela sent le roussi ?????

Et il y a plein d'autres détails dans l'article. Et ce ne sont pas des hypothèses. Mais des constatations.

Edité par - LeNabot le 14 mars 2006 17:54:37
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jmdb
Pilier de forums

556 réponses

Posté - 14 mars 2006 :  19:17:46  Voir le profil
Tiens, puisqu'on parle de constatations, visez un peu cet article paru dans sud-ouest ce jour :
http://www.sudouest.com/140306/international.asp?Article=140306a36926.xml

12000 euros le M2 dans la capitale.......

Je maintiens donc que l'Immobilier espagnol est plus cher que l'immobilier français..... tous les agents immobiliers basques français d'ailleurs le savent puisque San Sebastian est plus cher que Biarritz ou Saint-Jean-de-Luz.

Sinon, pour ce qui concerne le ralentissement de la hausse des prix, tout le monde est d'accord là-dessus ! Mais ralentissement de la hausse ne veut pas dire, n'a jamais dit, et ne dira jamais BAISSE des prix. Que Paillancourt, qui n'a jamais mis les pieds depuis longtemps dans une agence immobilière - plus préoccupé d'accrocher une légion d'honneur à sa boutonnière - dise des conneries, même le plus petit des adhérents à ce qui ne constitue plus un syndicat professionnel, tout juste une fédération poussive, une Caisse de Garantie rétrograde et une organisation proche de la République Bananière, même le plus petit adhérents le sait. Surtout quand il doit payer d'un côté le FFIP et de l'autre le SIA, sans oublier les pertes abyssales du réseau l'Adresse que Serge REDON maintient comme il peut. (Përtes que les adhérents de la FNAIM paient oun paieront quoiqu'il arrive !)

Rappelons enfin que les chiffres de la FNAIM sont fournis par 9000 adhérents dont plus de la moitié sur Paris et région parisienne....

Sinon, pour être très clair, si je suis résolument opposé à toute idée d'effondrement du marché que je juge irréaliste, cela ne veut pas dire pour autant que je suis favorable à l'idée que le marché va continuer d'augmenter ainsi ad vitam aeternam....
Je vois bien une année 2006 entre +7 et +5% et 2007 entre +5 et +3% avec une activité stable aux alentours de 600 000 ventes dans l'ancien.
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LeNabot
Pilier de forums

13018 réponses

Posté - 14 mars 2006 :  20:50:51  Voir le profil
Citation :
Initialement entré par jmdb


12000 euros le M2 dans la capitale.......
Voilà le contexte :

Dans une capitale où les réalisations les plus prestigieuses peuvent se vendre jusqu'à 12 000 euros le mètre carré,

Citation :
Je maintiens donc que l'Immobilier espagnol est plus cher que l'immobilier français.....
Tiens puisque je constate avec bonheur que vous vous familiarisez avec les prix en Euros par mètre carré (voir citation du dessus) : cette question.

Combien coûte le mètre carré en moyenne à Madrid ? Je veux un chiffre, si vous avez le courage de répondre honnêtement à la question, sinon taisez vous !

Citation :
Je vois bien une année 2006 entre +7 et +5% et 2007 entre +5 et +3% avec une activité stable aux alentours de 600 000 ventes dans l'ancien.
Etant donné que vous ne figurez pas parmi les autorités certifiées à donner un avis sérieux, au vu de l'état de caramélisation, -pour ne pas dire putréfaction- dans lequel vous vous trouvez sur le forum, suite à vos négationnismes réitérés, votre défaut de maîtrise des sujets statistiques ou même juridiques, votre avis n'engage que vous. Par ailleurs, vous vous doutez bien de l'endroit où je le mets.

Edité par - LeNabot le 14 mars 2006 20:56:26
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universimmo
Administrateur

3522 réponses

Posté - 15 mars 2006 :  06:48:44  Voir le profil  Voir la page de universimmo
Attention encore une fois au dérapage... Calmons nous !
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Ankou
Pilier de forums

3265 réponses

Posté - 15 mars 2006 :  07:42:08  Voir le profil
Citation :
Initialement entré par universimmo

Attention encore une fois au dérapage... Calmons nous !

En rugby, on mettrait un carton jaune à chacun, 10mn, c'est court, 10 semaines c'est long, allez, 10 jours, ça fera de bonnes vacances de printemps.
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LeNabot
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Posté - 15 mars 2006 :  12:01:56  Voir le profil
De la lecture pour notre ami jmdb attentif à l'immobilier espagnol.

http://www.lemoniteur-expert.com/depeches/depeche.asp?id=D3C2306A2&acces=0

Extrait :

Le marché espagnol de l’immobilier devrait se dégonfler en douceur
Selon une étude de BNP Paribas publiée mardi, le marché de l'immobilier espagnol, quasiment le plus dynamique en Europe avec celui du Royaume-Uni, devrait connaître "un dégonflement en douceur" avec une baisse limitée des prix.

"Notre scénario est celui d'un dégonflement en douceur, avec une baisse limitée des prix nominaux", indique cette étude. Le marché espagnol est considéré comme l'un des marchés européens les plus en surchauffe.
"A l'instar de certains établissements bancaires espagnols, nous prévoyons une décélération (des prix, ndlr) sensible cette année", pronostique cette étude sur l'immobilier résidentiel en Espagne.
Mais, nuance celle-ci, "une poursuite de la hausse des prix, encore vraisemblable en 2006, dans un contexte de relèvement très modéré des taux directeurs de la BCE, renforce le risque d'une correction ultérieure".
En 2005, les prix des logements en Espagne sont surévalués de 30%, selon la banque française.

Depuis 1995, la hausse des prix en rythme cumulé a atteint 193%, a calculé la BNP. En dix ans, le prix moyen du mètre carré a été multiplié par trois, à près de 1.700 euros en moyenne nationale et proche de 3.000 euros à Madrid.
Comme en France, la hausse des prix, dans un pays qui compte près de 87% de propriétaires, est due à des facteurs démographiques et économiques: décohabitation, exode rural, dynamisme de l'immigration, attraction des investisseurs étrangers mais aussi croissance économique, baisse des taux d'intérêt...
Selon cette étude, les flux d'investissement étrangers en immobilier ont été multiplié par "près de huit" entre 1994 et 2003 d'après la balance des paiements.




(15/03/2006)


Question : l'immobilier espagnol est-il plus cher que l'immobilier français ????

Nous restons suspendu à la réponse....
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vttdechaine
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2262 réponses

Posté - 15 mars 2006 :  16:31:16  Voir le profil
Citation :
Question : l'immobilier espagnol est-il plus cher que l'immobilier français ????

Nous restons suspendu à la réponse....


Pourquoi vouloir obtenir une réponse de jmdb. Il continuera à nier l'évidence tout simplement parce que cette donnée sur l'immobilier espagnol est l'une des bases de sa théorie . Si l'une de ces bases est remise en question et qu'il concède avoir tord, pourquoi est-ce que le reste de ses arguments seraient encore bons ? Et que deviendrait alors sa renommée dans le milieu maintenant que nous sommes tous qui il est ?
C'est un peu comme se cramponner au pinceau quand on enlève l'échelle .
On rencontre le même problème avec les sportifs dopés : ils sont contrôlé deux fois en faute mais nient avoir pris toutes substances.
D'ailleurs, il n'y a qu'à lire la réponse que Jean-Michel de Bou. a fait à mon dernier message : il ne remet nullement en cause mes remarques quant à son précédent post curieusement erroné mais affirme avoir des arguments... sans en donner.
Je pense que le printemps sera rude sur les pentes glissantes à 4% .

Marty
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LeNabot
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13018 réponses

Posté - 18 mars 2006 :  12:57:45  Voir le profil
Citation :
Initialement entré par jmdb

et le niveau d'activité est en hausse. Rien, pour le moment, ne vient contredire cette mécanique.


La contradiction la voilà :

http://www.fcga.fr/pages/telechargements/docs/oenbpintegral.pdf

Si vous lisez bien vous verrez ceci :

Baisse du CA des Agents Immobiliers 2005/2004 : -7,3 %

Edité par - LeNabot le 18 mars 2006 12:59:07
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Ankou
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3265 réponses

Posté - 18 mars 2006 :  14:24:10  Voir le profil
C'est une information, qui appelle au moins 3 remarques de ma part:

1) Pourquoi mettre en gras/gros/couleurs cette information? Il ne me semble pas que la révolution soit en marche? .......quoique, quoique.........

2) Pourquoi ne pas faire un copier/coller complet de la sentence? Dans beaucoup de cas, c'est inutile, mais là, votre propos serait moins tendencieux. Je supplée:

"Sept secteurs ont un bilan 2005 orienté à la baisse. Le secteur des services est celui qui enregistre la plus forte régression de son activité (- 1,4 %), tendance essentiellement due à l’important recul des agences immobilières (- 7,3 %).
Toutefois, ces résultats doivent être relativisés compte tenu des performances exceptionnelles réalisées en 2004."

3) Ce qui aurait été intéressant, c'est de rajouter, si vous aviez l'info, la perte (ou le gain?) d'activité globale des agences dans la même période.
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