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mcklemi
Nouveau Membre

6 réponses

Posté - 23 janv. 2006 :  16:41:50  Voir le profil
Bonjour,

Pouvez vous m'aider, je vais acquérir un terrain communal dont le maire a fixé le prix, comment dois je m'y prendre ?
Cependant sur ce terrain est édifié la maison de ma mère qui est d'accord pour l'acquisition mais nous sommes plusieurs enfants, que dois je faire ?
Merci de votre réponse.

alpha
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Laurent CAMPEDEL
Modérateur

5527 réponses

Posté - 23 janv. 2006 :  18:49:13  Voir le profil
Citation :
Initialement entré par mcklemi

Bonjour,


Bonsoir
Citation :

Pouvez vous m'aider, je vais acquérir un terrain communal dont le maire a fixé le prix, comment dois je m'y prendre ?


Pour réaliser votre achat, allez voir votre notaire.
Vous aurez de totues façons besoin de lui.
Lui sait par quel bout commencer et saura vous conseiller.
Citation :

Cependant sur ce terrain est édifié la maison de ma mère


Ceci n'est pas possible.
Soit la maison de votre mère est sur le terrain de votre mère.
Soit la maison appartenant à la commune (et que votre mère loue ou occupe) est sur le terrain de la commune.
Citation :

qui est d'accord pour l'acquisition mais nous sommes plusieurs enfants, que dois je faire ?


Je ne comprend pas du tout la situation.
Si c'est vous achetez un terrain, il sera à vous.
Mais tout ceci est obscur. Apportez d'autre éclairage, cela aidera beaucoup.
Citation :

Merci de votre réponse.

alpha



Cordialement et sans malice, Laurent CAMPEDEL

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mcklemi
Nouveau Membre

6 réponses

Posté - 24 janv. 2006 :  10:18:46  Voir le profil
Bonjour,
Tout d'abord merci de votre réponse.
Pour + de précisions, le terrain est en location et appartient à la mairie, donc terrain communal, les papiers sont en cours je vais acheter ce terrain, cependant la maison ne m'appartient pas, je veux que ma mère puisse jouir de sa maison tant qu'elle le désire. Mais vis à vis de mes frères et soeurs, quelle est ma position. Si nous désirons tous deux que le tout me revienne + tard.
Salutations.


alpha
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quelboulot
Modérateur

6445 réponses

Posté - 24 janv. 2006 :  12:12:46  Voir le profil
Citation :
Pour + de précisions, le terrain est en location et appartient à la mairie, donc terrain communal, les papiers sont en cours je vais acheter ce terrain,
La maison de votre mère ne peut être construite sur un terrain qui ne lui appartient pas. A moins que vous vous trouviez sur TOM comme en Polynésie Française, et encore cela évole là-bas, il est à ce jour impossible de construire une habitation sur un terrain loué !

Je suppose que le terrain communal loué se situe devant, derrière ou sur les côtés de la maison de votre mère ou alors il faudra nous expliquer avec plus de précision qu'elle est la situation exacte du terrain situé sous la maison de votre mère !!! Et pour ce en consultant le titre de propriété que cette dernière doit posséder.

Christophe
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mcklemi
Nouveau Membre

6 réponses

Posté - 02 févr. 2006 :  11:09:52  Voir le profil
Bonjour,
Merci pour la réponse,quelboulot. La situation du terrain sous la maison c'est une promesse de vente par la commune mais le terrain n'a pas été acheté, nous sommes dans les DOM, en effet. Ce terrain, je vais l'acquérir mais je veux que ma mère profite de sa maison mais vis à vis de la fraterie que va t'il se passer ? Il n'y a pas de titre de propriété cela va se faire après l'achat. Si j'acquière ce terrain.
Merci de répondre.
Cdt

alpha
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quelboulot
Modérateur

6445 réponses

Posté - 02 févr. 2006 :  12:51:47  Voir le profil
En raison de la spécifité du régime juridique de votre DOM, je pense que le mieux est de voir avec un notaire du lieu.

En effet, si votre mère est actuellement propriétaire de sa maison sur un terrain qui appartient à la commune, pour quelles raisons ne pourriez-vous pas être propriétaire du terrain en lieu et place de la commune sans être propriétaire de la maison ?

Sauf coup de chance, je ne pense pas que vous trouviez un spécialiste dans ce domaine bien particulier sur le site.

A moins qu'un "vieux notaire" en retraite du côté de Nice ayant sévi dans ces contrées lointaines ne fréquente Universimmo.

Bonne chance.

Christophe
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Pierre MARIE
Pilier de forums

2960 réponses

Posté - 02 févr. 2006 :  15:56:48  Voir le profil
Euh euh, Quelboulot, attention à ces prétendues "spécificités locales" que vous semblez relayer ou valider, car en effet les règles générales de propriété du droit civil s’appliquent dans tous les départements de la République notamment pour ce qui relève du droit d'accession relativement aux choses immobilières, et ceci à commencer par les très centraux articles 552 et 553 du Code civil, que je reproduis ci dessous.

Cela dit, on ne peut que souscrire au conseil que vous donnez à Mcklemi qu’il fasse un point chez son notaire local pour bien déterminer quelle est la situation de propriété foncière des choses concernées dans son affaire.

Citation :
Article 552

La propriété du sol emporte la propriété du dessus et du dessous.

Le propriétaire peut faire au-dessus toutes les plantations et constructions qu'il juge à propos, sauf les exceptions établies au titre "Des servitudes ou services fonciers".

Il peut faire au-dessous toutes les constructions et fouilles qu'il jugera à propos, et tirer de ces fouilles tous les produits qu'elles peuvent fournir, sauf les modifications résultant des lois et règlements relatifs aux mines, et des lois et règlements de police.

Article 553

Toute constructions, plantations et ouvrages sur un terrain ou dans l'intérieur, sont présumés faits par le propriétaire à ses frais et lui appartenir, si le contraire n'est prouvé ; sans préjudice de la propriété qu'un tiers pourrait avoir acquise ou pourrait acquérir par prescription, soit d'un souterrain sous le bâtiment d'autrui, soit de toute autre partie du bâtiment.
¤ Code civil :
http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnCode?commun=&code=CCIVILL0.rcv

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quelboulot
Modérateur

6445 réponses

Posté - 02 févr. 2006 :  16:08:28  Voir le profil
Il est vrai que j'étais "resté" sur mes données précédentes, à savoir la P.F.

Tout à fait d'accord avec vous Pierre Marie, mais alors comment expliquez vous la situation actuelle de la construction de sa mère relatée par Mcklemi ?

Christophe
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Pierre MARIE
Pilier de forums

2960 réponses

Posté - 02 févr. 2006 :  16:15:23  Voir le profil
Je me garderais bien de l'expliquer car il faut voir le dossier au concret, d'où le judicieux conseil que vous avez donné et auquel je souscris. Il peut par ailleurs y avoir, en Métropole ou dans un DOM, de situations foncières bancales au plan du droit avec des maisons construites sur terrain d'autrui hors les cas d’emphytéose, et c'est alors que les compères que sont les articles 552 et 553 du CC débarquent et agitent les manches des toges.

Pierre
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quelboulot
Modérateur

6445 réponses

Posté - 02 févr. 2006 :  16:47:58  Voir le profil
En complément, je viens de trouver ceci
Citation :
http://www.jurismag.net/articles/article-construire.htm

Comment construire sans acheter un terrain ?

Par Thomas Mertens


Le droit de construire n’est pas forcément attaché au droit de propriété. La propriété d’un sol, selon le code civil, emporte la propriété du dessous et du dessus de ce terrain. Cependant, on peut tout à fait démembrer une propriété, c’est à dire, garder la propriété du sol et permettre à une autre personne de construire au dessus. C’est ce que l’on nomme un titre habilitant à construire.
Le droit français en connaît trois : le bail emphytéotique, le bail à construction et le bail à réhabilitation. Ceux-ci se définissent ainsi :
- Bail emphytéotique : institution du code rural (L 451-1 et s.), bail de longue durée conférant un droit de libre culture et réel d’édification de constructions agricoles.

- Bail à construction : issu du code de l’urbanisme et très semblable à l’emphytéose. -

Bail à réhabilitation : créé en 1990, c’est une variante du bail à construction visant à réhabiliter les constructions existantes vétustes.
Voyons, tour à tour les élément communs à ces trois types de contrats (I), ainsi que leurs éléments particuliers (II).
I – Eléments communs aux trois baux habilitant a construire.
- Ils confèrent tous les trois un droit réel expressément affirmé dans les textes. La Jurisprudence affirme que l’exploitant peut prétendre à un droit de propriété dans le bail emphytéotique. Ce droit réel va pouvoir être saisi et faire l’objet d’hypothèques. Sur quoi porte ce droit réel ? Il faut évaluer un droit réel par rapport à sa valeur propre et par rapport aux investissements perdus en fin de bail. En fait, pour évaluer la valeur du droit réel, il faut connaître les prix du marché ce qui entraîne, la plupart du temps, une expertise.
- Ils sont de longue durée.
- Ils ne connaissent pas la tacite reconduction. Ceci s’explique par l’équilibre économique du contrat. Le preneur, qui est un promoteur, veut rentabiliser son projet. Tout va dépendre des loyers et donc de la durée pour rentabiliser. On va choisir une durée de 18 à 30 ans pour éviter les risques.
- Capacité : faire des actes de disposition.
- Les taxes sont à la charge du preneur. C’est une dérogation au bail normal puisque celui-ci fait peser la taxe foncière sur le propriétaire et la taxe d’habitation sur le locataire. Cette dérogation se justifie dans la mesure où le bailleur perd son fructus (droit au fruits de sa propriété). Il s’agit, en fait, d’une mesure incitative. L’article 1387 B CGI admet que le département puisse exonérer de la taxe foncière.
- Le droit du preneur est cessible.
- Le bailleur renonce à l’accession (soit la règle qui veut que tout ce qui se trouve au dessus du sol appartient à son propriétaire) pendant la durée du bail par le bailleur. Le prix du bail est constitué par la remise, en fin de bail, des constructions et améliorations.
- Il est possible de consentir des servitudes passives pour la réalisation des constructions. L 451-9 C rural : l’emphytéote peut acquérir des servitudes actives et les grever de servitudes passives à charge pour lui d’en avertir le propriétaire dans la limite où ces servitudes ne durent pas au-delà de la durée du bail. Les servitudes passives indispensables à la construction s’imposent après le bail. Même en cas de résiliation anticipée du bail les servitudes vont durer jusqu’à la fin prévue du bail.

II – Les particularités de chaque contrat
1) Le bail à construction


- Dans le bail à construction, il y a une obligation de construire. Cette obligation doit être précisée contractuellement au niveau des délais et surtout au niveau du type de construction étant donné que le but de cette opération est d’éviter la taxation à la plus-value immobilière.
- Très peu d’éléments du contrat sont d’ordre public. Les textes obligent seulement à ce qu’il soit possible de constituer des servitudes passives ou de céder. Ils places également les litiges à la compétence du Tribunal de Grande Instance du lieu de situation de l’immeuble. Tout le reste est conventionnel.
- Régime fiscal : il est favorable et incitatif. On va calculer la durée du bail sur la durée d’amortissement (art. 39 D CGI). L’imposition du bailleur à la remise des constructions va être l’Impôt sur le revenu : on considère que les constructions constituent un revenu pour le bailleur.
Si le bail excède 30 ans, il n’y a pas d’imposition (art. 33 ter CGI) ; s’il n’excède pas 30 ans, on opère une décote de 8% du revenu par an entre 18 et 30 ans. Pour le calcul du revenu supplémentaire, on ne prend pas en compte la valeur vénale du bien mais son prix de revient. On admet alors un étalement de l’impôt sur 15 ans. Ce droit est transmissible aux héritiers.
Le problème reste quant aux plus-values. Si le bailleur revend son terrain et les constructions, celles-ci rentrent dans son patrimoine à la fin du bail et le délai de 22 ans exonératoire de taxation à la plus-value commence à courir à la remise des ouvrages.
Pour contourner la règle il faut constituer une Société civile immobilière et seules les parts seront taxées sur la plus-value. Le risque, c’est l’abus de droit.
Les difficultés en cas de cessation anticipée du bail :
- Cessation pour faute : le cas le plus fréquent c’est quand le preneur ne veut pas construire. Si le bail se déroule normalement et qu’une partie, le bailleur veut récupérer les constructions avant terme et donc avant l’amortissement par le preneur, il y a indemnisation.
- A la fin du bail, les constructions reviennent au bailleur. Dans ce cas, il n’y a pas de mutation mais une simple accession.
-
2) Le bail emphytéotique
- L 451-5 C rural : possibilité pour le bailleur de faire résilier judiciairement l’emphytéose s’il y a défaut de paiement pendant deux ans, dommages graves au terrain ou si les conditions du contrat ne sont pas respectées.
- L 451-6 C rural : le preneur ne peut se libérer du bail en se délaissant du fonds (pas de déguerpissement possible, ce qui est une dérogation au régime général du bail).
3) Le bail à réhabilitation
Il ne connaît comme bailleur que des bailleurs sociaux. L’idée du législateur a été de permettre aux bailleurs sociaux (OPHLM ou SAHLM) de pouvoir être preneurs d’un bail d’une habitation vétuste.
Cette formule comporte de nombreuses contraintes : il faut un organisme social et une convention (art. L351-2 CCH) annexe qui rend éligible à l’Aide personnalisée au logement les logements concernés. Le problème est qu’il y a souvent des locataires dans l’immeuble pendant la durée du bail. De plein droit, les baux consentis par le preneur prennent fin à la durée du bail. C’est le preneur qui prend l’engagement de reloger et pas le bailleur.
Il y a également un problème fiscal : le régime est désavantageux pour le bailleur. Soit le preneur (organisme HLM) fait des améliorations ou ce qui est considéré comme des améliorations, et il n’y a pas de revenus taxables, mais si l’office HLM va plus loin (constructions, agrandissements, reconstruction), cela va être considéré comme des revenus taxés à l’impôt sur le revenu sans dérogation possible.
(Février 2002)
Il semblerait, à la lecture des données plus que partielles communiquées par Mcklemi, que seul le bail à construction puisse être considéré comme ayant éventuellement été appliqué.

Pas de statut de bailleur social, pas d'emphythéose au sens du Code Rural....

J'avoue que je découvre cette situation qui remet totalement en cause ma précédente affirmation selon laquelle j'indiquais : "La maison de votre mère ne peut être construite sur un terrain qui ne lui appartient pas".

Il faut dire que je ne m'étais jamais vraiment posé la question qui a été soulevée pae Mcklemi.

Que dit exactement l'acte de propriété lié à la constuction ?

La lecture rapide des articles du Code de l'Urbanisme (un survol serait plus juste) liés au bail à construction permet de supposer que la situation de la mère de Mecklemi ne doit pas être la seule dans la même situation.

Les constructions voisines sont-elles dans la même situation ?

A confirmer par l'intéressé.
Citation :
CODE DE L'URBANISME (Partie Législative)
Livre III : Aménagement foncier
Article L322-2
Article L322-6
Article L322-7
CODE DE L'URBANISME (Partie Réglementaire - Décrets en Conseil d'Etat)
Article R322-25
Article R322-26
Article R322-29
Article R322-30





Christophe
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Pierre MARIE
Pilier de forums

2960 réponses

Posté - 02 févr. 2006 :  17:05:13  Voir le profil
Quelboulot, il faut faire toutefois observer qu’en application de l’article 73 de la Constitution, les DOM, peuvent dorénavant (depuis la loi constitutionnelle n° 2003-276 du 28 mars 2003), tout en restant dans le cadre du régime de l’identité législative posée par cet article pour eux et les régions d’outre-mer, régime qui s’oppose en cela à la spécificité législative de l’article 74 pour les autres collectivités d’outre-mer ainsi que la Polynésie, adapter le droit foncier mais aucun n’a à ce jour usé de cette faculté ouverte par cet article ni n’en a manifesté le projet.

Pierre
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Pierre MARIE
Pilier de forums

2960 réponses

Posté - 02 févr. 2006 :  17:15:37  Voir le profil
Quelboulot, j'aurais dû dire, dans le message plus haut, pour être totalement précis et couvrir l'ensemble complet de tous possibles : "sur terrain d'autrui hors les cas d’emphytéose et assimilés" et non pas simplement : "sur terrain d'autrui hors les cas d’emphytéose". Cela dit, je ne pense pas qu'une commune ait la faculté de démembrer sa propriété dans un droit à construire hors opération globale d'aménagement, cas qui n'est manifestement pas celui du cas de Mcklemi qui porte sur une seule maison isolée et donc hors une opération globale.

Pierre
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mcklemi
Nouveau Membre

6 réponses

Posté - 07 févr. 2006 :  16:49:58  Voir le profil
Bonjour,
Merci pour vos réponses, cependant je ne vais pas refaire les jurisprudences seulement toutes les autres maisons sont dans le même cas, c'est à dire avec bail avec promesse de vente entre la commune et chaque individu, voilà que je désire effectuer cet achat, vis à vis de la fraterie est ce cela posera problème ou non vu que la maison sera sur mon acquisition.
Merci de votre compréhension.


alpha
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mcklemi
Nouveau Membre

6 réponses

Posté - 07 févr. 2006 :  17:06:49  Voir le profil
Bonjour,
Une petite précision, je souhaite simplement faire l'acquisition du terrain mais le problème ce sera pour plus tard "la maison" qui est dessus (vis à vis de la fraterie). Pour l'instant toutes les autres propriétaires sont dans le cas de construction avec promesse de vente. Il n'y a aucun problème pour cela la commune est au courant tout ce passe pour le mieux seulement il faut acheter, je suis prête, il n'y a pas de problème. Ma question est quelle sera la situation de la maison ?
Merci de vos réponse.
cdlt.

alpha
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quelboulot
Modérateur

6445 réponses

Posté - 07 févr. 2006 :  18:23:50  Voir le profil
Donc votre situation, enfin celle de la construction de votre mère s'apparente bien à celle d'un "bail à construction".

Je n'ai aucune notion de LA solution de votre problème, mais quitte à me répéter : que vous disent le ou les notaires consultés ? (il vaut parfois mieux avoir plusieurs avis)

Essayez de poser la question à Universimmo, c'est en première page, c'est payant, mais bon peu onéreux toutefois et me garderai bien de porter quelque jugement que ce soit sur la qualité des réponses obtenues, je ne les ai jamais interroger personnellement.

Une chose me chiffone tout de même en vous relisant
Citation :
Bonjour,
Merci pour vos réponses, cependant je ne vais pas refaire les jurisprudences seulement toutes les autres maisons sont dans le même cas, c'est à dire avec bail avec promesse de vente entre la commune et chaque individu, voilà que je désire effectuer cet achat, vis à vis de la fraterie est ce cela posera problème ou non vu que la maison sera sur mon acquisition.
Merci de votre compréhension.

Chaque individu "propriétaire" de la construction, ce qui n'est pas votre cas !

Etes-vous certaine que la mairie a le droit de vous vendre le terrain à vous, non-propriétaire ?

Christophe
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