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La rénovation de ces éléments structurels, poutre verticale (insectes) et grande poutre horizontale (champignon) peut-elle être à ma seule charge (+/- 6.000 EUR) bien que concernant des parties communes ?
Mon erreur : avoir pratiqué une ouverture sans autorisation pour créer une vitre sur cour intérieure, la dégradation, constatée par l'architecte de la copropriété, étant bien antérieure à l'ouverture.
Ma solution : prise en charge rénovation selon les 1000èmes, le reste de la remise en l'état pour mes pieds après menace de procédure des autres coprop.
Problème : ouverture faite fin 2003, en l'état depuis, protégée des intempéries.
Non, je crois que c'étaient des vrillettes, bois avec aspect poudreux, petits trous visibles en surface, mon quartier (porte saint-denis) n'étant pas réputé termité que je sache. De plus, après avoir dégagé à la brosse de chiendent les parties pulvérulentes, je n'ai pas vu d'autres dégâts et n'ai jamais vu aucun insecte à ce moment là ni depuis.
Mon souci principal étant d'imputer la rénovation aux 1000èmes de coprop., quelle aurait été l'incidence des termites ?
Pour les termites la loi oblige le syndicat des copropriétaires à faire la déclaration en mairie, pour des vrillettes le syndicat a tout intérêt à faire procéder à un traitement curatif dans les parties communes et également après accord, dans les parties privatives.
Il est quand même difficile de croire que ces insectes se soient concentrés uniquement dans votre appartement, surtout que votre immeuble date de 1830.
Dans votre cas, le problème est de savoir si la dégradation de la poutre incombe aux insectes ou aux dégâts occasionnés par vos travaux.
Une inspection sérieuse de l’ensemble de votre immeuble devrait mener à la découverte de présence de vrillettes, la preuve sera faite que les travaux que vous avez entrepris n’ont rien avoir avec ces dégâts.
Auquel cas la rénovation de la partie dégradée étant commune, elle incombe à tout le monde.
Dans le cas contraire, il me semble que vous avez intérêt à tenir vos engagements, du fait que le début ces travaux ont été réalisés sans accord de l’assemblée générale.
Ceci nous amène à un risque de confusion à éviter absolument : on parle actuellement de termites de tous côtés, mais la plus grande partie (disons 99 % sans rire) des désordres du bois sont liés à des pourritures et à d'autres insectes xylophages (vulgairement et improprement appelés les "vers de bois"). Ce sont les vrillettes (grosses et petites) qui foisonnent parfois dans certaines de nos caves d'immeubles ou dans quelques escaliers, les lyctus qui se plaisent dans les charpentes en chêne ou les capricornes dans les charpentes en résineux, etc... La biologie de ces insectes est totalement différente de celle des termites, les risques aussi, ainsi que les moyens de s'en débarrasser. Alors, de grâce, merci de ne pas voir des termites partout, cela permettra de prendre les bonnes dispositions curatives si cela est nécessaire et évitera les déclarations fantaisistes en Mairie avec les conséquences qui seraient fatalement dramatique pour les propriétaires d'immeubles (voir plus loin).
En fait, cette disposition sécurise à la fois le vendeur et l'acheteur en donnant l'occasion de faire un check-up sérieux de l'état sanitaire des bois, sur l'ensemble de ses pathologies et non seulement sur les termites (le titre de la loi dit bien : "termites et autres insectes xylophages... "). Que penser, en effet, d'une expertise qui conclurait à l'absence de termites en faisant l'impasse sur toutes les solives, planchers et charpentes qui seraient pourris ou dévorés par d'autres insectes !
Cela me semble très complet et me donne des arguments, d'autant plus que le syndic n'a effectué aucune recherche de termites à mon souvenir (aucune de fructueuse en tout cas), que l'architecte n'a pas écrit de quels insectes il a pu s'agir et que le devis de l'entreprise BEPOX n'en parle pas non plus.
Et puis, merci aussi pour ces liens très complets sur ces petites bêtes et ceux qui en vivent, parfois à nos dépens.
Je vois mal maintenant les copropriétaires, si il s'avère, comme j'en suis à peu près certain, que les bestioles sont un peu partout et depuis longtemps, refuser de prendre à leur charge leur part de la rénovation, sauf à démontrer qu'ils cherchent à profiter de mon erreur.
De plus, ils ne pourront pas demander que l'on "rebouche" sans rénover puisque le syndic a justement insisté dans le sens contraire et que leur démarche est officiellement motivée par un souci de bon état !