****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Question d'argent - vendredi 16 juin 2006 Immobilier : achetez plutôt en hiver par François de Witt
Selon l’Insee, la meilleure période pour acheter une maison est le semestre entre octobre et avril. Cette saisonnalité est encore plus marquée pour les maisons.
Si vous avez besoin de devenir propriétaires, mieux vaut attendre le mois d'octobre, si vous le pouvez. Les prix immobiliers sont en effet saisonniers. Et le semestre compris entre octobre et avril est généralement plus favorable à l'acquéreur que le semestre se terminant fin septembre. C'est ce qu'observe l'Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (Insee) dans un récent document, qui observe de plus que la saisonnalité des prix des maisons est plus marquée que celle des appartements, que ce soit en Ile-de-France où en région. La saisonnalité s'explique par le fait qu'une partie des acheteurs souhaite déménager avant la rentrée scolaire, ce qui les oblige à signer au deuxième ou au troisième trimestres. La conséquence, c'est que leur marge de négociation est plus réduite. L'effet saisonnier sur les prix n'est pas négligeable. Au troisième trimestre par exemple, les prix effectifs des maisons sont supérieurs de 2,5% aux prix corrigés. Et comme l'inverse se produit au premier trimestre, l'Insee estime à 5 % l'écart de prix entre l'été et l'hiver, ce qui n'est pas du tout négligeable et justifie que les propriétaires et les intermédiaires immobiliers poussent à la vente au printemps et en été.
Corrigés ou non, les prix immobiliers ont continué à flamber l'année dernière. Qu'il s'agisse de maisons ou d'appartements, que ce soit en Ile-de-France ou en région, les hausses ont été en 2005 plutôt homogènes et légèrement moindres qu'en 2004, mais supérieures à celles des deux années précédentes. Les appartements se valorisent légèrement plus vite que les maisons.
Les premiers chiffres disponibles pour 2006 font apparaître un léger ralentissement de la hausse des prix qui serait passé d'environ 15% à environ 10% par an. La hausse légère des taux d'intérêt et la faible progression des revenus ne peuvent qu'entretenir ce ralentissement. Les plus belles années de l'immobilier sont sans doute derrière nous. Ce qui ne n'est pas surprenant après presque dix ans d'euphorie.
Les premiers chiffres disponibles pour 2006 font apparaître un léger ralentissement de la hausse des prix qui serait passé d'environ 15% à environ 10% par an.
Selon les excellents statisticiens de la FNAIM la progression passe sous les 10% en 12 mois glissants. Et d'après les courbes, la dérivée seconde est négative. (en terme de vitesse : ça ralenti, et la décélération croit de + en +.)
Citation :Ce qui ne n'est pas surprenant après presque dix ans d'euphorie.
Le document est d'ailleurs disponible sur internet et les courbes sont encore plus parlante qu'un long discours.
Pour Le Nabot, Je me permet de vulgariser un peu vos propos pour quelques lecteurs que le terme dérivée pourrait rebuter :
Citation :la dérivée seconde est négative
Cela veut dire que l'accélération est négative (dérivé de la vitesse = l'accélération) et par conséquent que la vitesse décroit (ou que cela freine si on préfère).