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Un bon syndic benevole doit etre bien outillé ! donc bien informé !
j'ai commencé en utilisant la loi de 65 "brut de fonderie"...mais il me faudrait un livre qui vulgarise un peu la chose et qui explique bien les ; -Pouvoirs du syndic -Mission du syndic - etc...etc... Bref, Le Livre pour etre un bon syndic ( meme si le forum le fait deja bien ! )et assez recent pour etre à jour sur les dernieres lois
-j'ai bien trouvé "Le Syndic Benevole" de Sylvie Savignac mais il est de 2002... -Et Le Syndic de copropriete de Guy Vigneron, mais plutot ecrit pour les professionels...
Alors si vous avez de meilleurs references litteraires, je suis preneur...!
En tant que lecteur et antérieurement quelquefois rédacteur, je ne peux que confirmer l'indication de Eastpak. Votre package de base doit être : - La copropriété en 300 questions - Le manuel du Conseil syndical Eventuellement le spécial dont le titre m'échappe mais qui doit être Comment gérer votre copropriété ou votre ASL.
Si nécessaire l'excellent relatif aux actions, y compris judiciaires de recouvrement des charges impayées.
Attendez un peu pour savoir si le texte va sortir accordant aux petites copros un système comptable allégé.
S'il n'y a pas urgence, je vous conseille d'attendre le salon de la copro et sur le stand de l'ARC vous aurez ces livres à un prix promotionnel pour le salon.
Bravo, bien vu, vous avez tout de suite accordé leur vraie valeur aux contributions du néfaste.
Vous trouverez aussi chez Dalloz, Delmas et bien d'autres encore de quoi vous ruiner en achetant tout ce qui est en librairie sur le sujet.Vous avez des revues comme Le Particulier, Notre temps,entre autres,qui vous permettraient également de vous instruire pour moins cher. N'oubliez pas de disposer aussi dans votre nouvelle bibliothèque devenue plus "littéraire" d'un bon dictionnaire en plus de ce que vous avez, sans doute déjà, sur votre PC pour la correction des "fotes d'ortographe". Ce sujet a déjé été traite sur le site notammeent par un contributeur dont le pseudo n'apparait plus depuis quelque temps. Pour avoir des textes à jour il faut lire tous les forums. Bonnes lectures.
Eu égard au niveau basique des questions posées par les syndics bénévoles j'ai la faiblesse de penser que les bouquins de l'ARC (diffusés chez Vuibert pour certains) sont excellents pour accompagner le praticien (le syndic bénévole) jusqu'à un stade avancé de connaissance, dépassant souvent celui du syndic professionnel moyen.
Ils ont l'avantage d'être rédigés avec l'optique du copropriétaire et de reposer sur l'expérience des innombrables consultations de copropriétaires tout en donnant la diffusion maximum aux multiples aspects des lois et règlements relatifs à la copropriété.
Le Litec (Code de la copropriété) a été longtemps mon livre de référence lorsque je conseillais à l'ARC. Comme je l'achète avec mes deniers, j'attends un certain temps après la sortie du décret d'application afin qu'y figurent quelques jurisprudences. Et avec les sorties continuelles de nouveaux textes, il est difficile de se maintenir constamment à jour.
Exemple par rapport à mon post précédent, la loi Borlo institue un régime allégé de compta pour les petites copros n'exigeant plus les écritures en partie double. Je suis assez content car à l'époque à l'IAE de Paris j'avais subi l'arrivée du PCG de 82 je crois et avais retenu les trois niveaux de complexité de plan comptable proposés ou imposés aux sociétés commerciales. Ce qui m'avait permis d'en bavarder avec Bruno DHONT qui a constamment défendu cette demande auprès des pouvoirs publics.
Oldman24, avec tout le respect que j'ai pour vous, ne compliquez pas la tâche des syndics bénévoles. Ou alors conseillez leur de s'abonner aux Infos rapides de la Copro et surtout dans la collection je crois des cahiers de l'ingénieur les volumes relatifs à la copro qui reçoivent des mises à jour mensuelles du corpus législatif, réglementaire et jurisprudentiel y relatif.
J'oubliais, le dictionnaire nécessaire est le Dictionnaire juridique. Je suis assez content de celui de Dalloz qui m'a expliqué avec précision la répétition de l'indu et autres expressions auxquelles s'obstinent les juristes. Ceci, alors que le Président Giscard d'Estaing leur avait demandé de simplifier leur vocabulaire afin de le rendre plus compréhensible au Français moyen.
Comme je dis toujours, la copro, faut pas y mettre le petit doigt sinon t'es bouffé jusqu'à l'os.
Chaque branche a son jargon. Ici le terme n'a aucun sens péjoratif. C'est le terme idoine et adéquat.
Dans chaque branche, il y a une limite inférieure de vulgarisation du jargon. Quand cette limite est franchie, il n'est plus possible de différencier des objets, actes ou opérations de natures différentes.
Les jargons juridique (règles de droit) et judiciaire (règles de procédure) ont été modernisés. Mais il faut bien distinguer un avertissement par huissier (signification) d'un avertissement par lettre recommandée AR (notification). A ce niveau, ce n'est plus aux professionnels de descendre vers les justiciables, mais à ceux-ci de se former.
Les motards, les raveurs, les musiciens, les cuisiniers (gastronomes ou pas) etc. ont leurs jargons (souvent plus abscons que le jargon juridique) que les amateurs ne rechignent pas à s'approprier.
L'ennui de nos jours est que les rédacteurs des textes législatifs et réglementaires ne connaissent pas toujours bien le jargon de la branche qu'ils traitent, et même pas toujours bien le sens exact des mots courants.
Le phénomène est endémique puisque Maurice Druon, ardent défenseur de la langue française, critique le désignation d'une " défenseure des enfants " en proposant défenderesse
Je suis très vexé JPM que dans les professions à jargon vous omettiez les informaticiens. Ou peut-être le niveau de culture du vulgum pecus s'étant amélioré celui-ci ne lève plus les bras au ciel lorsqu'on lui parle de logiciel, progiciel, firmware, bootstrap, déverminage des bugs. Encore heureux que périodiquement les commissions de terminologie aient créé des néologismes pour les substituer aux anglicismes ou américanismes mal traduits.
L'implementation d'IBM hâtivement qualifié d'implantation etc.
Je refuse le terme de vulgarisation pour les ouvrages de l'ARC. Rendre accessibles au plus grand nombre des textes qui le nécessitent est tâche pédagogique. Parlons diffusion de connaissances. N'est-ce pas ce à quoi nous nous appliquons sur ce forum ????
J'oubliais, depuis 1967-68 dans la profession informatique, faut que je traduise à moi-même, lorsqu'ils nous causent wifi, blue-tooth, et autre podcast.
J'estime préférable d'essayer de contribuer à donner aux maximum de copropriétaires les moyens de maîtriser leur environnement, plutôt que de le leur présenter comme étant d'une néfaste complexité peu abordable.