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Il y a qq mois, je m'étais pris le choux ici-mm avec qq forumeurs au sujet de "la crise des subprimes" (pas besoin de les nommer, ils se reconnaitront). A cette époque-là, les éternels optimistes avaient gobé le discours ambiant qui voulait que "la crise des subprimes est uniquement limité aux US, et concerne uniquement une certaine catégorie de prêts". Sous-entendu, pas de problèmes en France.
6 mois plus tard : «Cette récession sera la plus féroce depuis la Seconde Guerre»
Les signes d’une récession américaine se précisent-ils chaque jour un peu plus ?
Oui, sans aucun doute. L’impact du crash immobilier est énorme. Selon les dernières estimations, le prix des maisons s’effondrerait à un rythme annuel de 11,3 %, ce qui représenterait une perte virtuelle de 2 200 milliards de dollars et conduirait à une baisse de la consommation de plus de 100 milliards de dollars…
Quelle peut être l’ampleur de ce retournement et pourquoi n’a-t-il pas été anticipé ?
Les économistes ne prédisent jamais les récessions. Ils les reconnaissent quand elles sont déjà là. Celle qui se profile sera certainement la plus féroce depuis la Seconde Guerre mondiale. Parce qu’il est toujours plus difficile de récupérer d’une récession due à l’effondrement d’une bulle financière. La récession de 2001, celle de la bulle Internet, a conduit à une hausse du chômage, qui ne s’est atténuée qu’avec la création d’une autre bulle, celle de l’immobilier, histoire de booster l’économie. Les outils traditionnels qui consistaient à baisser les taux d’intérêt pour pousser les gens à emprunter de l’argent ne pourront plus marcher cette fois.