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Peut-être ai-je mal formulée ma requête, mais je n'ai pas trouvé de réponse. Voici les faits : - M. A, chef d'entreprises, dans le cas présent marchand de biens fait une offre d'achat d'un appartement en spécifiant qu'il paiera comptant. - M. V, le vendeur, accepte cette offre d'achat en la signant, le 1er février. Ni le vendeur, ni l'acheteur ne sont pressés. Le 1er mars, au moment de prendre RV pour la signature du compromis, M. A (l'acheteur) annonce que, suite à des difficultés imprévues dans ses affaires, il ne pourra pas signer avant mi-septembre. Il rédige une lettre d'intention dans laquelle il renouvelle son intention d'acheter l'appartement, mais pas avant septembre, mais refuse de s'engager formelement (en signant un compromis).
Le vendeur serait d'accord pour attendre septembre, à condition d'être assuré que la vente de fasse bien, par exemple en signant un compromis.
Comment débloquer la situation ?
Le vendeur peut-il décider de rechercher un autre acheteur ou bien parce qu'il a accepté une offre d'achat, reste t-il éternellement lié à CET acquéreur ?
Faut-il essayer de faire signer une renonciation par l'acheteur, auquel cas l'agent immobilier ne touchera pas sa comm. ?
Si, légalement, c'est possible, le vendeur a t-il intérêt à remettre son bien en vente ? Il risque de trouver un acheteur qui paye avec un crédit, d'où risque et délai de 3 mois entre les signatures du compromis et de l'acte authentique + temps de la négociation + vacances + délai de recherche d'un acquéreur (ceux qui étaient intéressés en janvier ont du trouver depuis, ce qui amène à une signature, au + tôt, mi-juillet.