****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Citation :ABN le 17/03/2008 12h45 L’orange, victime collatérale de l’immobilier ?... On ne le dit pas assez mais la crise financière actuelle, si elle n'est pas de nature purement immobilière, l'est tout de même largement... C'est en effet bien le « subprime », version particulièrement toxique du crédit immobilier qui a mis le feu aux poudres dans l'arsenal de bombes à retardement consciencieusement constitué depuis des années au cœur de notre système financier. L'exemple de Carlyle se passe de commentaires ; quant à Bear Sterns, qui s'enorgueillissait d'avoir survécu à la Grande Dépression, elle paie aujourd'hui le prix fort pour son positionnement en pointe sur les marchés de titrisations hypothécaires : il faut dire qu'avec un total de bilan de près de 400 milliards de dollars (largement en obligations) pour 12 milliards de fonds propres...
La crise actuelle est donc, à la base, une crise de l'immobilier et, par extension, de tous les actifs par nature peu liquides, d'une transparence toute relative et reposant sur un effet de levier significatif voire démesuré... Comme tout un chacun a pu s'en rendre compte, les matières premières ont très largement bénéficié, via les anticipations d'inflation, de ce qui apparaîtra avec le recul comme un rééquilibrage, durable et très sain, des valeurs relatives au sein du continuum des actifs et, corollairement, une réintégration des primes de risques surréalistement passées à l'as depuis des années...
Un tel transfert n'est toutefois pas systématique et l'exemple du jus d'oranges est à ce titre assez révélateur : dans un contraste saisissant, les cours de ce dernier sont en effet au plus bas depuis deux ans. Ceci s'explique pour une bonne part par les développements climatiques en Floride mais ceux-ci sont en l'occurrence accentués par le fait que les promoteurs, qui se battaient, il y a peu, pour racheter des terrains aux producteurs d'oranges, sont aujourd'hui aux abonnés absents, une maison sur 250 faisant déjà l'objet d'une procédure de saisie dans cet état... Ceci se traduit donc par un réajustement des anticipations de volumes récoltés dans les prochaines années. Il s'agit d'un cas d'espèce intéressant, la crise financière impactant bien ici l'économie réelle ; de là à généraliser, il y a un pas que nous ne franchirons pas, ou pas tout de suite en tout cas...
Que chaque homme divise son argent en trois, qu'il investisse un tiers dans la terre, un autre dans les affaires et qu'il garde le dernier tiers en réserve.