Citation :

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Initialement posté par fanette44


Par contre pas d'augmentation en vue pour les étudiants qui gardent leur logement cette année, c'est ma prime de fidélité.

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Citation :

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Initialement posté par LeNabot

Citation :

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Initialement posté par fanette44


Par contre pas d'augmentation en vue pour les étudiants qui gardent leur logement cette année, c'est ma prime de fidélité.

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Quelle humanité !

Cela me fait penser à Bibix en train de nous faire ici sa déclaration largement inspirée par les vapeurs d'alcool, que s'il concluait des baux à deux mois de préavis, c'était pour soi-disant arranger le locataire.

Je vois bien Joulia nous dire : ouaip ! Mais Bibix avait l'expérience des baux que vous n'avez pas.

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Citation :

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Prados il me semble vous avoir lu il y a quelque temps et avoir vu qu'il vous restait des appartements en location en france.
Avez vous baissé vos loyers ?

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Citation :

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Vu ce que pensent les français des AI, cet article tombe à pic

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Citation :

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Initialement posté par Prados

Fanette44,

Citation :

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Prados il me semble vous avoir lu il y a quelque temps et avoir vu qu'il vous restait des appartements en location en france.
Avez vous baissé vos loyers ?

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Je suis en train de relouer un 2P à Courbevoie et viens de baisser de loyer de 20€/mois. Même avec la baisse, le rendement est trés largement supérieur à 10%, puique le loyer HC est de 640€ et la mensualité de crédit de 480€ sur 15ans.
Je préfère baisser et garder le locataire longtemps. Le précédent était rentré en 2002, et je n'ai pas augmenté le loyer avant 2005.

Citation :

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Vu ce que pensent les français des AI, cet article tombe à pic

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Et c'est tout ce que vous avez trouvé pour corroborer vos dires? Allons, cherchez mieux, vous allez quand même nous trouver une petite bonne nouvelle du côté des locations, vus que, côté ventes, c'est la bérézina.

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Citation :

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http://www.lavieimmo.com/immobilier-COURBEVOIE-092.html
Regardez donc cette petite courbe Prados
Vous êtes un bien piètre gestionnaire en immobilier.lesiteimmobilier courbevoie

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Citation :

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Rappelez vous que vous pouvez jauger mes qualités de gestionnaire. Vous savez ce qu'il faut faire.

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Citation :

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Si vous étiez un bon gestionnaire vous ne passeriez pas votre temps ici à crier que vos biens s'effondrent et à vous en réjouir
Vous auriez déjà revendu puisque vous prédisiez la crise depuis quatre ans

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Citation :

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Enfin, j'ai toujours dit que l'immo, comme la bourse et tout un tas d'autre choses, à des hauts et des bas. Lorsque l'on peut se permettre de courber le dos pendant la tempête, on peut bien évidemment se dresser en avant en plein soleil.

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Citation :

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Initialement posté par fanette44


Nombreux sont ceux qui vont attendre que l'orage passe

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Citation :

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Initialement posté par LeNabot

Citation :

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Initialement posté par fanette44


Nombreux sont ceux qui vont attendre que l'orage passe

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Un orage qui va durer au moins dix ans. Vous vous souvenez du pic de 1990 ?

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Citation :

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Le cycle immobilier en QUESTION(S)
Grand Débat animé par Guy MARTY, Directeur général – IEIF
Mercredi 28 novembre 2007
Intervenants
· Gérard AUBERT, Président – TRAIT D’UNION
· Marie-Françoise DUBAIL, Ancienne directrice des crédits aux professionnels de
l’immobilier – HSBC
· Yann FRANCOIS, Associé – ARCCUS PARTNERS
· Christophe KULLMANN, Président du directoire – FONCIERE DES REGIONS
Analyse de la situation actuelle
· Christophe KULLMANN, Foncière des Régions
La situation actuelle est nouvelle. En effet, l’environnement a changé depuis cet
été avec la crise des subprimes américains qui s’est étendue à la sphère financière.
Les conséquences sur le secteur immobilier en France et en Europe sont encore mal
connues et beaucoup d’interrogations se posent. On constate cependant que
certains intervenants ont disparu du marché, ceux qui utilisaient beaucoup d’effet de
levier et qui étaient très présents depuis trois ou quatre ans. La disparition de ces
intervenants n’empêche pas qu’il y ait encore beaucoup d’argent à investir et des
acteurs comme les compagnies d’assurances sont toujours très actifs.
Quoiqu’il en soit, les fondamentaux du marché des bureaux en Ile de France sont
bons. Le taux d’occupation pour Foncière des Régions est supérieur à 99% et les
loyers et donc les recettes sont en progression. La foncière est en train de négocier
des arbitrages, et les prix de cession restent supérieurs à la valeur de leur dernière
expertise.
· Yann FRANCOIS, Arccus Partners
Cette crise est strictement financière et s’est manifestée parce que les banques
européennes n’ont pas été assez prudentes. Ce sont des produits à risque qui ont
infecté le système, avec des notations qui n’étaient pas adaptées à la qualité de ces
produits.
Cette crise n’est donc pas une crise immobilière mais elle a un impact indirect
sur le financement de l’immobilier : le coût du crédit augmente, les banques sont
plus prudentes, le ratio d’equity est plus élevé. Cela conduit à un changement des
acteurs, et sans doute même à un assainissement du marché.
Cette crise a néanmoins des conséquences sur l’économie américaine, qui est
une locomotive de la croissance mondiale. La question est de savoir si, dans le cas
où les Etats-Unis entreraient en récession, des pays comme la Chine ou l’Inde
pourraient compenser la déficience du moteur américain.
Cette crise comporte deux différences majeures avec celles que l’on a connues
jusqu’à présent. Tout d’abord, ce n’est pas une crise de l’économie réelle comme la
crise des années 1990. De plus, lors des anciennes crises, le marché était purement
national, alors qu’aujourd’hui il est globalisé.

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Citation :

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Pour résumer : crise immobiliere -> crise financière -> crise économique

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Citation :

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Initialement posté par fanette44

Scorpion

Citation :

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Pour résumer : crise immobiliere -> crise financière -> crise économique

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et Scorpion n'a plus qu'à changer de métier

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Citation :

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Initialement posté par Prados

Fanette44,
Avez-vous une réaction après la présentation de Century21 et Investir qui nous disent que les loyers de marché augmentent moins vite que les indices de réévaluation des loyers?

Au fait, alors, vos données factuelles sur les loyers nantais qui explosent, vous en êtes où?

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Citation :

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Depuis le 10 février, ils n’ont le droit de les arrondir que de la hausse des prix à la consommation (en moyenne annuelle, hors tabac). Soit, pour ce début d’année, 1,36% d’augmentation, contre 2,5% au bas mot si l’on avait conservé l’ancien système.

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Citation :

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Initialement posté par Gei

Fanette, je serai à Nantes la semaine prochaine, et comme convenu j'irai faire un tour dans les agences du centre, pour voir si le marché est aussi tendu que ça...

Ce sera rapide (je suis quand même en vacances !) et j'aurai un peu de mal à passer pour un étudiant (quoique, sur un malentendu...), mais ça me donnera une idée directe du sujet.

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Citation :

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BRETAGNE
LOGEMENTS ETUDIANTS. FINIE LA GALERE
Même à Rennes, trouver un studio pour un étudiant ne relève plus du parcours du combattant. Dans toutes les villes universitaires bretonnes, l’offre est aujourd’hui suffisante pour répondre à la demande.
A l’agence des Lices, comme dans toutes les agences rennaises spécialisées dans le logement étudiant, le constat est le même : trouver un toit n’est plus aujourd’hui une galère. Etonnant quand on sait qu’il y a encore deux ans fleurissaient dans la presse, des reportages sur ces étudiants qui n’avaient d’autre choix que d’aller sur le camping de Beaulieu. « Nous avons ce qu’il faut et nous aurons ce qu’il faut pendant tout l’été. Il faut arrêter de dire, qu’à Rennes, on ne peut pas se loger », souligne-t-on dans cette agence. Comment expliquer ce revirement de situation en un temps si court ? « Il y a eu beaucoup d’investisseurs dans la ville et on a beaucoup rénové ». Conséquence, fini le temps où, dès les résultats du bac connus, les étudiants se précipitaient dans les agences, voire louaient dès le mois de juin. « Aujourd’hui, c’est beaucoup plus échelonné, les étudiants peuvent se permettre d’attendre. Ils savent qu’ils auront quand même quelque chose de bien », observe un agent immobilier.
Les étudiants se précipitent d’autant moins que les familles n’ont plus envie de payer un ou deux loyers à vide.
La colocation a le vent en poupe
Ce comportement attentiste semble encore plus prononcé dans les autres villes universitaires bretonnes. A Brest, Lorient, Vannes et Lannion les étudiants ne se bousculent vraiment pas dans les agences. « C’est assez mou », observe-t-on à l’agence Appéré de Brest. Même constat à l’agence Action : « C’est vraiment très calme, les gens n’ont pas l’air pressés. Ils attendent pour ne pas avoir à payer un loyer en août ». A Lorient, le son de cloche n’est pas différent : « Pour l’instant, nous avons moins de demandes que les autres années », dit-on à l’Immobilière Plus. Autre constat quasi unanime : la colocation est de plus en plus pratiquée. Ce qui oblige les propriétaires, souvent réticents, à s’adapter. « Nous avons plus de demandes pour de la colocation que pour de petits logements », explique Julie Segalen, de l’agence brestoise BSI. Une évolution qui ne tiendrait pas tant à la convivialité de la formule qu’à son caractère économique. Les calculs sont vite faits : un trois-pièces à 500-600 €, divisé par deux ou trois, c’est moins que le prix d’un studio.
Des prix stables
Question prix, justement, c’est la stabilité qui prévaut cette année. Pas d’augmentation. Dans certaines villes, comme à Vannes, là où les investissements dans le locatif ont été très importants, il y aurait même une légère baisse. C’est en tout cas ce que l’on observe à l’agence Béliard-Schaeffer. Dans cette ville, comme à Brest, Lorient ou Lannion, il faut compter entre 300 et 350 €, charges comprises, pour un studio de 20 à 25 m² et 450 € pour un T2. Rennes reste bien sûr un peu plus chère : avec les charges, il faut débourser entre 350 et 400 € pour un 20 m². Des montants, il faut le préciser, desquels on peut soustraire les aides accordées par la CAF.



Les aides Caf
Pour calculer votre aide : www.caf.fr/wps/portal/. A noter que l’Allocation d’installation étudiante (Aline) a été supprimée. D’un montant de 300 €, elle était versée, depuis la rentrée universitaire 2006-2007, aux étudiants boursiers qui s’installaient dans un nouveau logement et percevaient pour la première fois une aide au logement.
Yvon Corre

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