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Citation :Dans leur rapport sur « l'évaluation des dispositifs fiscaux d'encouragement à l'investissement locatif », déposé à l'Assemblée nationale le 22 juillet, François Scellier et Jean-Yves Le Bouillonnec proposent de rassembler dans un instrument unique les chiffres du privé (notaires, Fnaim, Unpi...) et ceux du public, à savoir les Agences départementales d'information sur le logement (Adil) et la Direction générale des impôts (DGI).
Aujourd'hui, les médias se fournissent en chiffres auprès des Notaires de France et de la Fédération nationale de l'immobilier (1). Issues des actes de vente, leurs données sont formellement irréprochables. Les notaires collaborent d'ailleurs avec l'Insee, un gage de sérieux en matière statistique. Tendance à minorer l'éventualité d'une baisse Mais « exact » ne veut pas dire « neutre ». Les particuliers apprennent, par exemple, dans le journal que les biens dans leur zone se négocient à 3 000 euros le mètre carré en mars, puis 3 200 euros en juillet, puis 3 500 euros en décembre... Les vendeurs s'alignent, les acheteurs se résignent, ce qui fait que l'indicateur oriente le marché. Soucieux de maintenir un bon niveau d'activité, puisque leurs revenus en dépendent, les professionnels ont tendance à minorer l'éventualité d'une baisse. Du moins jusqu'à l'éclatement brutal de la bulle.
Illustration avec le Conseil supérieur du notariat. Dans un communiqué du 30 mai 2008, il soutient encore qu'« aucune information disponible aujourd'hui ne permet de parler de baisse des prix ». Dans une note de conjoncture du 9 septembre, virage à 180°. Il est désormais question d'une baisse des prix au premier semestre « sur l'ensemble des grandes métropoles de province » et surtout d'une « baisse très substantielle des volumes dans l'ancien [...] supérieure à ce qui est annoncé par les médias ». Pour apprécier la portée de cette dernière précision, il faut noter que la même semaine, un grand hebdomadaire titre en une : « Spécial immobilier, profitez de la nouvelle donne - Exclusif - Les chiffres des notaires de France » !
Citation : Issues des actes de vente, leurs données sont formellement irréprochables. Les notaires collaborent d'ailleurs avec l"INSEE
Moi, je suis pêcheur a pied et j'ai obligation de déclaration statistique de mes captures. En cas de fausses déclarations, des sanctions sont prévues par la loi. Qu'en est il pour les déclaration des Notaires ? Quelle autorité controle les bases de données Perval et Bien ?
Les professionnels de l'immo qui prétendaient qu'il n'y aurait pas de baisse nous ont menti.
C'est quand même un monde! Après les députés et le site cotation immobilière, c'est maintenant au tour de Que choisir de remettre en question les indices immobiliers auxquels vous semblez tant tenir.
Que chaque homme divise son argent en trois, qu'il investisse un tiers dans la terre, un autre dans les affaires et qu'il garde le dernier tiers en réserve.