|
Auteur |
Sujet |
|
|
|
61
Posté - 20 nov. 2009 : 07:13:27
|
La loi est claire: Elle indique que le non assujetti doit ajouter la phrase magique indiquée. Elle ne dit ni ne sous-entend que l'assujetti en est dispensé si par ailleurs l'activité elle-même est exonérée de TVA comme l'est la location en meublée, pourvu qu'elle ne soit pas accompagnée des services para-hoteliers.
C'est ma compréhension de la chose, je ne dis pas que c'est la vérité, mais ne voyant aucun risque ou aucune autre conséquence à l'ajonction de cette mention obligatoire, je la considère comme impérative.
Votre question réelle est 'différence entre activité exonérée et franchise en base'. Je suis certain que vous connaissez la réponse , et que vous savez que c'est oui.
je vends des oranges, je suis assujetti a la TVA comme comercant. Si je choisis la franchise en base et que j'en vends donc pour moins de 80 000 euros par an (sinon je ne peux plus bénéficer de cette franchise) je ne paye donc ni récupère la TVA. Si je dépasse les 80 000 € je dois payer la TVA et je peux la récupérer.
je loue en meublé sans service additionnel, l'activité est non soumise a la TVA mais je suis assujetti en tant que entrepreneurt Si je choisis la franchise en base et que j'en vends donc pour moins de 30 000 euros par an (sinon je ne peux plus bénéficer de cette franchise) je ne paye ni récupère la TVA. Si je dépasse les 30 000 je suis censé payer la TVA et je peux la récupérer mais comme l'activité elle-même n'est pas soumise à la TVA rien ne change..
Je n'ai pas dit que l'on devait proscrire le mot quittance et utiliser le mot facture. Une quittance n'est autre qu'une factue acquittée, cad indiquant que la facture est payée et indiquant le (ou les) mode de paiement utilisé. Un loueur en foncier nu n'en n'a cure, il n'a pas a présenter de comptabilité. Un loueur en meublé doit présenter une comptabilité même hypersimplifiée, et ne doit pas oublier de justifier comptablement ses facturations.La future quittance de loyer de son locataire n'est autre qu'une facture dans sa comptabilité, facture sur laquelle il ajoute un élément concernant l'acquittement. (Pour le bailleur en foncier nu, la partie facture est souvent nommée avis d'échéance, dont la rédaction est moins stricte que celle de la facture, puisqu'on n'exige pas de prix unitaire, ni de numéro siret, etc...) |
Édité par - ribouldingue le 20 nov. 2009 07:17:26 |
|
|
|
|
gregor
Contributeur actif
497 message(s) Statut:
|
|
62
Posté - 20 nov. 2009 : 09:08:57
|
Ribouldingue citation: je loue en meublé sans service additionnel, l'activité est non soumise a la TVA mais je suis assujetti en tant que entrepreneurt Si je choisis la franchise en base et que j'en vends donc pour moins de 30 000 euros par an (sinon je ne peux plus bénéficer de cette franchise) je ne paye ni récupère la TVA. Si je dépasse les 30 000 je suis censé payer la TVA et je peux la récupérer mais comme l'activité elle-même n'est pas soumise à la TVA rien ne change..
Si l'activité est non soumise à la TVA pourquoi un loueur de meublé sans fournitures de services serait il assujetti en qualité d'entrepreneur ?
Où avez vous lu qu'un loueur de meublé doit inscrire son numéro siret sur la quittance de loyer ? Où avez vous lu que le bailleur doit détenir un double de ses quittances de loyer ? Pour moi elle sont obligatoirement remises au locataire qui en fait la demande mais je n'en garde pas de double. http://www.leparticulier.fr/jcms/c_...-obligatoire ce lien concerne les logements nus mais avez vous un lien pour les logements meublés ? Je veux bien vous croire mais ........
|
Édité par - gregor le 20 nov. 2009 09:28:06 |
|
|
|
63
Posté - 20 nov. 2009 : 11:57:10
|
1/ Assujeti ne veut pas dire soumis.
2/ Si vous préférez avoir d'un côté des factures et de l'autres des quittances,libre à vous, mais vous ne facilitez pas votre travail de loueur en meublé, et vous donnez des conseils qui compliquent les taches.
3/ Le loueur en meublé qui n'est pas micro doit tenir un double de ses factures.
4/ Votre lien concerne les logements nus comme vous dites et ne suppose pas ni ne dit pas que le loueur en meublé ne doit pas tenir un double de ses factures.
5/ Essayez de faire une facture de loyer sans SIRET lorsque vous louez a une entreprise ou a quelqu'un qui tient une comptabilité, vous aurez un retour. Le particulier s'en fout, je suis d'accord, mais cela n'induit pas que c'est légal.
6/ Je pense que nous sommes dans une zone limite du droit, puisque vous prenez le parti que la location en meublé se gère comme une location nue, alors que fiscalement le meublé se gère comme une activité commerciale. Il en résulte quand mêem que fiscalement vous n'êtes pas tenu de présenter une vraie comptabilité, mais le code du commerce lui vous oblige a un peu plus que le code des impôts. J'en conclus, mais je conçois qu'on puisse s'en tenir à moins, que la facture existante en droit commercial correspond a l'avis d'échéance toute a fait floue en droit de la location, et que surtout la quittance de la location correspond a la facture acquittée du droit commercial.
Je ne pense pas que votre point de vue simplifie quoique ce soit a une activité deja un peu complexe. Il est EVIDENT en revanche que je ne parle pas la de location nue. La location nue est une autre abération du drooit fiscal, elle se traite différemment. |
Édité par - ribouldingue le 20 nov. 2009 12:06:09 |
|
|
|
64
Posté - 20 nov. 2009 : 11:59:34
|
citation: Initialement posté par gregorcitation: Initialement posté par ribouldingue .../...Les assujettis bénéficiant d'une franchise de taxe mentionnée à l'article 293 B Oui, je connais bien cet article Vous n'avez donc pas l'air de le connaître si 'bien' que cela... |
|
|
gregor
Contributeur actif
497 message(s) Statut:
|
|
65
Posté - 20 nov. 2009 : 12:02:18
|
citation: Initialement posté par ribouldingue
1/ Assujeti ne veut pas dire soumis.
2/ Si vous préférez avoir d'un côté des factures et de l'autres des quittances,libre à vous, mais vous ne facilitez pas votre travail de loueur en meublé, et vous donnez des conseils qui compliquent les taches.
3/ Le loueur en meublé qui n'est pas micro doit tenir un double de ses factures.
4/ Votre lien concerne les logements nus comme vous dites et ne suppose pas ni ne dit pas que le loueur en meublé ne doit pas tenir un double de ses factures.
5/ Essayez de faire une quittance de loyer sans SIRET lorsque vous louez a une entreprise ou a quelqu'un qui tient une comptabilité, vous aurez un retour. leparticulier s'en fout, je suis d'acrod, mais cela n'induit pas que c'est légal.
Toujours pas de lien
un particulier peut faire une quittance de loyer sans siret pour une entreprise s'il s'agit d'un logement, pas s'il s'agit d'un local commercial. Je loue une maison à une entreprise de travail temporaire pour loger un de ses salariés , je lui adresse des quittances sans siret et sans mention"non soumis à la tva ..." puisque je ne suis pas moi même assujetti du fait de l'activité et non pas dispensé . |
Édité par - gregor le 20 nov. 2009 12:07:49 |
|
|
|
66
Posté - 20 nov. 2009 : 12:14:44
|
Je ne vous parle par de particulier , je vous parle d'un exploitant en meublé, qu'il soit professionel ou non professionnel.
Si vous louez la maison en meublé, vous n'êtes pas dans la légalité... Si vous louez la maison en meublé, vous n'êtes pas dans la légalité... quand vous n'ajoutez pas a vos factures et vos quittances la mention obligatoire qu'exige la loi, et qui a été citée dans ce fil
citation: un particulier peut faire une quittance de loyer sans siret pour une entreprise s'il s'agit d'un logement, pas s'il s'agit d'un local commercial Tiens, voila quelque chose de bien surprenant, et que je ne comprends pas . Un particulier possède un local commercial, il le loue, à une entreprise par exemple, il n'a pas de SIRET et n'en n'a pas besoin, il n'a donc aucune facon de faire une facture, il n'a aucun numéro de SIRET, donc il ne peut meme pas indiquer sur son avis d'échéance ni sur sa quittance son numéro SIRET.
Contrairement à ce que vous pensez, louer un local commercial n'est ... pas forcément une activité commerciale... et ces revenus sont à classer dans les revenus fonciers.
Il ne faut pas tout mélanger.
Une phrase biffée, une phrase en ROUGE a été ajouté en remplacement, puisqu'un intervenant de ce fil (Grefgor) fait une fixation sur la phrase en question en la sortant de son contexte et en lui donnant une autre signification autre que celle que la phrase avait; J'ai donc ajouté un complément de façon que le sens de l'illégalité soit CLAIR |
Édité par - ribouldingue le 20 nov. 2009 18:23:27 |
|
|
gregor
Contributeur actif
497 message(s) Statut:
|
|
67
Posté - 20 nov. 2009 : 14:07:33
|
citation: Initialement posté par ribouldingueJe ne vous parle par de particulier , je vous parle d'un exploitant en meublé, qu'il soit professionel ou non professionnel. Si vous louez la maison en meublé, vous n'êtes pas dans la légalité... citation: un particulier peut faire une quittance de loyer sans siret pour une entreprise s'il s'agit d'un logement, pas s'il s'agit d'un local commercial Tiens, voila quelque chose de bien surprenant, et que je ne comprends pas . Un particulier possède un local commercial, il le loue, à une entreprise par exemple, il n'a pas de SIRET et n'en n'a pas besoin, il n'a donc aucune facon de faire une facture, il n'a aucun numéro de SIRET, donc il ne peut meme pas indiquer sur son avis d'échéance ni sur sa quittance son numéro SIRET. Contrairement à ce que vous pensez, louer un local commercial n'est ... pas forcément une activité commerciale... et ces revenus sont à classer dans les revenus fonciers. Il ne faut pas tout mélanger.
Je suis un particulier qui fait du LMNP et qui dépasse largement le plafond pour bénéficier du micro bic. Je suis au réel simplifié. Je fais quoi ? une facture avec mention "TVA Non applicable selon article 293B du CGI" ? Je ne partage pas votre avis. Je porte cette mention si je relève de cet article 293B ce qui n'est pas le cas http://www.acojur.com/juridique/art...93b-cgi.html
En quoi la location de la maison en MEUBLE est elle illégale ? |
Édité par - gregor le 20 nov. 2009 14:21:33 |
|
|
|
68
Posté - 20 nov. 2009 : 14:36:35
|
citation: les assujettis établis en France,[size=3] à l'exclusion des redevables qui exercent une activité occulte au sens du deuxième alinéa de l'article L. 169 [/size=3}du livre des procédures fiscales, bénéficient d'une franchise Donc vous exercez une activité occule au sens du second alinéa.
Excusez moi, nous ne pouvions pas savoir . Naturellement, puisque c'est occulte, je ne peux pas vous demander de quoi il s'agit...
citation: En quoi la location de la maison en MEUBLE est elle illégale ? Je n'ai certainement pas écrit que l'activité meublée était illégale.
citation: Je loue une maison à une entreprise de travail temporaire pour loger un de ses salariés , je lui adresse des quittances sans siret et sans mention"non soumis à la tva ..." J'ai répondu que émettre une facture (ou une quittance, qui est dans votre cas une facture acquittée) sans le mention obligatoire est illégal. On ne va pas vous trancher le cou, ce n'est pas la question, mais cette mention DOIT apparaitre.
Toujours pas de lien de votre part expliquant pourquoi vous ne seriez pas soumis a cette loi |
Édité par - ribouldingue le 20 nov. 2009 14:41:23 |
|
|
gregor
Contributeur actif
497 message(s) Statut:
|
|
69
Posté - 20 nov. 2009 : 18:08:59
|
Ribouldingue citation: Je ne vous parle par de particulier , je vous parle d'un exploitant en meublé, qu'il soit professionel ou non professionnel.
Si vous louez la maison en meublé, vous n'êtes pas dans la légalité...
Hallucinant !!!!!!!!!!
Je vous demande un lien concernant l'obligation de délivrer une quittance avec les mentions
Vous bottez en touche en me demandant un lien prouvant le contraire |
Édité par - gregor le 20 nov. 2009 18:16:37 |
|
|
|
70
Posté - 20 nov. 2009 : 18:16:36
|
Votre malhonnêteté est hallucinante aussi. Cous prenez un extrait, vous le sortez de son contexte et vous en tirez des conséquences stupides. Vous ne tenez pas compte de ma réponse a ce sujet, et vous vous prétendez quoi?
Pour que tout soit clair sur ce fil, je biffe l'indication que vous avez cité, et j'écris in extenso ce qui était entendu.... et que votre pauvre esprit n'était pas capable de comprendre occupé que vous êtes à autre chose....
Monsieur Gregor, pour qui travaillez vous? Bonne soirée;... |
Édité par - ribouldingue le 20 nov. 2009 18:17:23 |
|
|
gregor
Contributeur actif
497 message(s) Statut:
|
|
71
Posté - 20 nov. 2009 : 18:18:43
|
citation: Initialement posté par ribouldingue
Votre malhonnêteté est hallucinante aussi. CVOus prenez un extrait, vous le sortez de son contexte et vous entirez des conséquences. Vous ne tenez pas compte de ma réponse a ce sujet, et vous vous prétendez quoi?
Pour que tout soit clair sur ce fil, je biffe l'indication que vous avez cité, et j'écris in extenso ce qui était entendu.... et que votre pauvre esprit n(était pas capable de comprendr,e occupé que vous êtes à autre chose....
Monsieur Gregor, pour qui travaillez vous? Bonne soirée;...
Si quelqu'un est capable de venir Ă votre secours pour prouver que vous avez raison pour les mentions sur la quittance, je suis preneur:
Tenez, il me vient une question : si je ne peux bénéficier du régime en franchise de base du fait du dépassement du plafond de revenus, quelle mention vais je mettre sur ma quittance ? vais je devoir acquitter la tva ? non bien sur car l'activité est exclue du champ de la tva sauf sur option dans certains cas.
Une recherche avec google m'amène sur un site bien connu et j'y retrouve ribouldingue qui en 2007 déjà affirmait que la mention est obligatoire mais il est le seul http://www.google.fr/search?source=...%3D&aq=f&oq=
http://www.universimmo.com/forum/to...PIC_ID=51724
|
Édité par - gregor le 20 nov. 2009 20:34:24 |
|
|
|
72
Posté - 20 nov. 2009 : 21:31:44
|
Gregor,
Juste une simple précision, l'article que vous citez du CGI, 293B, et le lien que vous en donnez est has beencitation:
Le 293 B du CGI en vigueur aujourd'hui est celui-lĂ !citation: Avec les "ImpĂ´ts" il vaut mieux "ĂŞtre Ă jour"... |
|
Édité par - quelboulot le 20 nov. 2009 21:32:14 |
|
|
gregor
Contributeur actif
497 message(s) Statut:
|
|
73
Posté - 21 nov. 2009 : 07:47:46
|
citation: Initialement posté par quelboulotGregor, Juste une simple précision, l'article que vous citez du CGI, 293B, et le lien que vous en donnez est has been citation: Le 293 B du CGI en vigueur aujourd'hui est celui-là ! citation: Avec les "Impôts" il vaut mieux "être à jour"...
Merci quelboulot, je ne l'utilise plus, donc les impots ne pourront pas me le reprocher J'ai utilisé cet article sur mes notes d'honoraires lorsque j'exerçais une profession libérale et que j'étais au micro bic et je portais bien la mention sur mes notes d'honoraires. S'il était applicable aux loyers ceci voudrait dire que les locataires des bailleurs dépassant les plafonds seraient redevables de la tva sur les loyers Le fisc me poursuivrait aujourd'hui pour recouvrer la tva et non pas pour l'article non mentionné.
Pouvez vous confirmer ce que dit ribouldingue, Ă savoir l'obligation de mentionner cet article sur les quittances de loyer ??????? |
Édité par - gregor le 21 nov. 2009 07:56:37 |
|
|
|
74
Posté - 21 nov. 2009 : 09:06:14
|
Article 289 du code général des impots (extrait) : citation: II.-Un décret en Conseil d'Etat fixe les mentions obligatoires qui doivent figurer sur la facture. Ce décret détermine notamment les éléments d'identification des parties, les données concernant les biens livrés ou les services rendus et celles relatives à la détermination de la taxe sur la valeur ajoutée.
Code général des impôts Article 242 nonies A Créé par Décret n°2003-632 du 7 juillet 2003 - art. 1 JORF 9 juillet 2003
citation: Les mentions obligatoires qui doivent figurer sur les factures en application du II de l'article 289 du code général des impôts sont les suivantes :
1° Le nom complet et l'adresse de l'assujetti et de son client ;
2° Le numéro individuel d'identification attribué à l'assujetti en application de l'article 286 ter du code général des impôts et sous lequel il a effectué la livraison de biens ou la prestation de services ;
3° Les numéros d'identification à la taxe sur la valeur ajoutée du vendeur et de l'acquéreur pour les livraisons désignées au I de l'article 262 ter du code général des impôts ;
4° Le numéro d'identification à la taxe sur la valeur ajoutée du prestataire ainsi que celui fourni par le preneur pour les prestations mentionnées aux 3°, 4° bis, 5° et 6° de l'article 259 A du code général des impôts ;
5° Lorsque le redevable de la taxe est un représentant fiscal au sens de l'article 289 A du code général des impôts, le numéro individuel d'identification attribué à ce représentant fiscal en application de l'article 286 ter du même code, ainsi que son nom complet et son adresse ;
6° Sa date de délivrance ou d'émission pour les factures transmises par voie électronique ;
7° Un numéro unique basé sur une séquence chronologique et continue ; la numérotation peut être établie dans ces conditions par séries distinctes lorsque les conditions d'exercice de l'activité de l'assujetti le justifient ; l'assujetti doit faire des séries distinctes un usage conforme à leur justification initiale ;
8° Pour chacun des biens livrés ou des services rendus, la quantité, la dénomination précise, le prix unitaire hors taxes et le taux de taxe sur la valeur ajoutée légalement applicable ou, le cas échéant, le bénéfice d'une exonération ;
9° Tous rabais, remises, ristournes ou escomptes acquis et chiffrables lors de l'opération et directement liés à cette opération ;
10° La date à laquelle est effectuée, ou achevée, la livraison de biens ou la prestation de services ou la date à laquelle est versé l'acompte visé au c du 1 du I de l'article 289 du code général des impôts, dans la mesure où une telle date est déterminée et qu'elle est différente de la date d'émission de la facture ;
11° Le montant de la taxe à payer et, par taux d'imposition, le total hors taxe et la taxe correspondante mentionnés distinctement ;
12° En cas d'exonération ou lorsque le client est redevable de la taxe ou lorsque l'assujetti applique le régime de la marge bénéficiaire, la référence à la disposition pertinente du code général des impôts ou à la disposition correspondante de la directive 77/388/CEE du 17 mai 1977 ou à toute autre mention indiquant que l'opération bénéficie d'une mesure d'exonération, d'un régime d'autoliquidation ou du régime de la marge bénéficiaire ;
13° Les caractéristiques du moyen de transport neuf telles qu'elles sont définies au III de l'article 298 sexies du code général des impôts pour les livraisons mentionnées au II de ce même article ;
14° De manière distincte, le prix d'adjudication du bien, les impôts, droits, prélèvements et taxes ainsi que les frais accessoires tels que les frais de commission, d'emballage, de transport et d'assurance demandés par l'organisateur à l'acheteur du bien, pour les livraisons aux enchères publiques visées au d du 1 du I de l'article 289 du code général des impôts effectuées par un organisateur de ventes aux enchères publiques agissant en son nom propre, soumises au régime de la marge bénéficiaire mentionné à l'article 297 A du même code. Cette facture ne doit pas mentionner de taxe sur la valeur ajoutée |
|
|
|
75
Posté - 21 nov. 2009 : 09:10:19
|
En revanche, il se peut en effet que je fasse une erreur pour la mention indiquée.
1/ Lors que le bailleur a choisi la franchise en base, la mention doit pouvpooir être celle que j'ai indiqué, OU la référence a l'article de loi induant lexonération de TVA pour ces services
2/ Lorsque lebailleur ne bénéficie plus du régime de franchise en base, la mention doit etre autre, je vous l'accorde. Contrairement à ce que vous laisser sous-entendre depuis hier, cela n'induit pas l'absence de mention en revanche. Vous risquez 15 euros de pénalité par mention manquante et par facture (quuittance ici) erronnée. |
|
|
gregor
Contributeur actif
497 message(s) Statut:
|
|
76
Posté - 21 nov. 2009 : 09:14:47
|
citation: Initialement posté par ribouldingueArticle 289 du code général des impots (extrait) : citation: II.-Un décret en Conseil d'Etat fixe les mentions obligatoires qui doivent figurer sur la facture. Ce décret détermine notamment les éléments d'identification des parties, les données concernant les biens livrés ou les services rendus et celles relatives à la détermination de la taxe sur la valeur ajoutée. Code général des impôts Article 242 nonies ACréé par Décret n°2003-632 du 7 juillet 2003 - art. 1 JORF 9 juillet 2003 citation: Les mentions obligatoires qui doivent figurer sur les factures en application du II de l'article 289 du code général des impôts sont les suivantes :
1° Le nom complet et l'adresse de l'assujetti et de son client ;
2° Le numéro individuel d'identification attribué à l'assujetti en application de l'article 286 ter du code général des impôts et sous lequel il a effectué la livraison de biens ou la prestation de services ;
3° Les numéros d'identification à la taxe sur la valeur ajoutée du vendeur et de l'acquéreur pour les livraisons désignées au I de l'article 262 ter du code général des impôts ;
4° Le numéro d'identification à la taxe sur la valeur ajoutée du prestataire ainsi que celui fourni par le preneur pour les prestations mentionnées aux 3°, 4° bis, 5° et 6° de l'article 259 A du code général des impôts ;
5° Lorsque le redevable de la taxe est un représentant fiscal au sens de l'article 289 A du code général des impôts, le numéro individuel d'identification attribué à ce représentant fiscal en application de l'article 286 ter du même code, ainsi que son nom complet et son adresse ;
6° Sa date de délivrance ou d'émission pour les factures transmises par voie électronique ;
7° Un numéro unique basé sur une séquence chronologique et continue ; la numérotation peut être établie dans ces conditions par séries distinctes lorsque les conditions d'exercice de l'activité de l'assujetti le justifient ; l'assujetti doit faire des séries distinctes un usage conforme à leur justification initiale ;
8° Pour chacun des biens livrés ou des services rendus, la quantité, la dénomination précise, le prix unitaire hors taxes et le taux de taxe sur la valeur ajoutée légalement applicable ou, le cas échéant, le bénéfice d'une exonération ;
9° Tous rabais, remises, ristournes ou escomptes acquis et chiffrables lors de l'opération et directement liés à cette opération ;
10° La date à laquelle est effectuée, ou achevée, la livraison de biens ou la prestation de services ou la date à laquelle est versé l'acompte visé au c du 1 du I de l'article 289 du code général des impôts, dans la mesure où une telle date est déterminée et qu'elle est différente de la date d'émission de la facture ;
11° Le montant de la taxe à payer et, par taux d'imposition, le total hors taxe et la taxe correspondante mentionnés distinctement ;
12° En cas d'exonération ou lorsque le client est redevable de la taxe ou lorsque l'assujetti applique le régime de la marge bénéficiaire, la référence à la disposition pertinente du code général des impôts ou à la disposition correspondante de la directive 77/388/CEE du 17 mai 1977 ou à toute autre mention indiquant que l'opération bénéficie d'une mesure d'exonération, d'un régime d'autoliquidation ou du régime de la marge bénéficiaire ;
13° Les caractéristiques du moyen de transport neuf telles qu'elles sont définies au III de l'article 298 sexies du code général des impôts pour les livraisons mentionnées au II de ce même article ;
14° De manière distincte, le prix d'adjudication du bien, les impôts, droits, prélèvements et taxes ainsi que les frais accessoires tels que les frais de commission, d'emballage, de transport et d'assurance demandés par l'organisateur à l'acheteur du bien, pour les livraisons aux enchères publiques visées au d du 1 du I de l'article 289 du code général des impôts effectuées par un organisateur de ventes aux enchères publiques agissant en son nom propre, soumises au régime de la marge bénéficiaire mentionné à l'article 297 A du même code. Cette facture ne doit pas mentionner de taxe sur la valeur ajoutée
L'article que vous citez s'adresse aux entreprises dont l'activité est soumise à la tva , la location de logements meublés ne l'est que sur option, il n'y a donc aucune nécessité d'indiquer la mention
Si vous pensez avoir raison mettez en ligne un modèle de quittance officiel
La quittance est établie à destination du locataire mais pas du fisc. Mon comptable ne me réclame pas le double des quittances que je n'émet qu'en cas de demande du locataire, mais mes extraits de compte portant les virements des locataires et les remises chèques détailllées. Le centre de gestion agréé non plus
|
Édité par - gregor le 21 nov. 2009 09:27:47 |
|
|
|
77
Posté - 21 nov. 2009 : 09:26:31
|
Je découvre une dispense de facturation pour les opérations exonérées de TVA, que je cite ici: citation: En application de l'article 59 de la loi de Finances rectificative pour 2007, les assujettis à la TVA sont désormais dispensés de facturer leurs opérations effectuées sur le territoire français ou réputées telles et exonérées de TVA en application des dispositions des articles 261 à 261 E du CGI. Cette disposition s'applique également aux factures d'acompte afférentes à de telles opérations (article 289 du CGI). En revanche, ne se trouvent pas visées par cette réforme, d'une part, les opérations qui en application des règles de territorialité sont réputées être réalisées hors de France (car les obligations de facturation de ces opérations ne sont pas régies par le droit français), et d'autre part, les opérations effectuées sur le territoire français et exonérées de TVA sur un autre fondement, en particulier les articles 262 à 263 du CGI. La dispense de facturation ne concerne pas non plus les opérations qui auraient pu être exonérées de taxe mais pour la taxation desquelles l'assujetti a opté. En revanche, notons que ces nouvelles règles ne dispensent pas les opérateurs de respecter les obligations qui leur sont imposées par d'autres dispositions fiscales, ou par d'autres réglementations, telles que, par exemple et le cas échéant, celles prévues par l'article L441-3 du code de commerce. Une instruction fiscale du 8 février 200 (BOI n°3 E-1-08) précise que la réforme a essentiellement pour effet, pour les opérations concernées, de ne plus rendre passibles des sanctions fiscales prévues à l'article 1737 du CGI l'absence des mentions jusqu'à présent obligatoires ou le défaut d'émissions de facture. Néanmoins, les opérateurs économiques restent tenus de fournir à l'administration fiscale les justificatifs nécessaires à l'appui de leur comptabilité, aussi, même si l'obligation d'apposer un numéro séquentiel sur leurs documents a disparu, il est préférable de continuer à le faire afin de se donner les moyens de prouver l'exhaustivité des opérations comptabilisées. Ces dispositions sont applicables aux opérations réalisées depuis le 29 décembre 2007.
deux remarques: 1/ Cela ne dispense donc pas le bailleur de tenir dans sa comptabilité les copies des docuements demandés, factures, ou quittance (facture aquittée) non plsu au titre des impôts, mais au titre de la comptabilité, ce que j'avais deja indiqué plus haut dans le fil. 2/ En cas d'émission d'une quittance (quittance = facture acquittée) , pour la location en meublée, le bailleur reste bien entendu soumis aux obligations antérieures. |
|
|
|
78
Posté - 21 nov. 2009 : 09:32:04
|
L'article 261 D du Code Général des Impôts indique que:
citation: .
Article 261 D
Sont exonérées de la taxe sur la valeur ajoutée :
1° Les locations de terres et bâtiments à usage agricole ;
2° Les locations de terrains non aménagés et de locaux nus, à l'exception des emplacements pour le stationnement des véhicules ; toutefois, ces dispositions ne sont pas applicables lorsque les locations constituent pour le bailleur un moyen de poursuivre, sous une autre forme, l'exploitation d'un actif commercial ou d'accroître ses débouchés ou lorsque le bailleur participe aux résultats de l'entreprise locataire ;
3° Les locations ou concessions de droits portant sur les immeubles visés aux 1° et 2° dans la mesure où elles relèvent de la gestion d'un patrimoine foncier.
4° Les locations occasionnelles, permanentes ou saisonnières de logements meublés ou garnis à usage d'habitation.
Toutefois, l'exonération ne s'applique pas :
a. Aux prestations d'hébergement fournies dans les hôtels de tourisme classés, les villages de vacances classés ou agréés et les résidences de tourisme classées lorsque ces dernières sont destinées à l'hébergement des touristes et qu'elles sont louées par un contrat d'une durée d'au moins neuf ans à un exploitant qui a souscrit un engagement de promotion touristique à l'étranger dans les conditions fixées par un décret en Conseil d'Etat ;
b. Aux prestations de mise à disposition d'un local meublé ou garni effectuées à titre onéreux et de manière habituelle, comportant en sus de l'hébergement au moins trois des prestations suivantes, rendues dans des conditions similaires à celles proposées par les établissements d'hébergement à caractère hôtelier exploités de manière professionnelle : le petit déjeuner, le nettoyage régulier des locaux, la fourniture de linge de maison et la réception, même non personnalisée, de la clientèle.
c. Aux locations de locaux nus, meublés ou garnis consenties à l'exploitant d'un établissement d'hébergement qui remplit les conditions fixées aux a ou b, à l'exclusion de celles consenties à l'exploitant d'un établissement mentionné à l'article L. 633-1 du code de la construction et de l'habitation dont l'activité n'ouvre pas droit à déduction.
d. Aux prestations d'hébergement fournies dans les villages résidentiels de tourisme, lorsque ces derniers sont destinés à l'hébergement des touristes et qu'ils sont loués par un contrat d'une durée d'au moins neuf ans à un exploitant, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat.
Ces villages résidentiels de tourisme s'inscrivent dans une opération de réhabilitation de l'immobilier de loisirs définie par l'article L. 318-5 du code de l'urbanisme.
Et c'est donc cet article qu'il audrait mentionner dans tous les cas. |
Édité par - ribouldingue le 21 nov. 2009 09:33:04 |
|
|
gregor
Contributeur actif
497 message(s) Statut:
|
|
79
Posté - 21 nov. 2009 : 09:32:50
|
citation: Initialement posté par ribouldingueJe découvre une dispense de facturation pour les opérations exonérées de TVA, que je cite ici: citation: En application de l'article 59 de la loi de Finances rectificative pour 2007, les assujettis à la TVA sont désormais dispensés de facturer leurs opérations effectuées sur le territoire français ou réputées telles et exonérées de TVA en application des dispositions des articles 261 à 261 E du CGI. Cette disposition s'applique également aux factures d'acompte afférentes à de telles opérations (article 289 du CGI). En revanche, ne se trouvent pas visées par cette réforme, d'une part, les opérations qui en application des règles de territorialité sont réputées être réalisées hors de France (car les obligations de facturation de ces opérations ne sont pas régies par le droit français), et d'autre part, les opérations effectuées sur le territoire français et exonérées de TVA sur un autre fondement, en particulier les articles 262 à 263 du CGI. La dispense de facturation ne concerne pas non plus les opérations qui auraient pu être exonérées de taxe mais pour la taxation desquelles l'assujetti a opté. En revanche, notons que ces nouvelles règles ne dispensent pas les opérateurs de respecter les obligations qui leur sont imposées par d'autres dispositions fiscales, ou par d'autres réglementations, telles que, par exemple et le cas échéant, celles prévues par l'article L441-3 du code de commerce. Une instruction fiscale du 8 février 200 (BOI n°3 E-1-08) précise que la réforme a essentiellement pour effet, pour les opérations concernées, de ne plus rendre passibles des sanctions fiscales prévues à l'article 1737 du CGI l'absence des mentions jusqu'à présent obligatoires ou le défaut d'émissions de facture. Néanmoins, les opérateurs économiques restent tenus de fournir à l'administration fiscale les justificatifs nécessaires à l'appui de leur comptabilité, aussi, même si l'obligation d'apposer un numéro séquentiel sur leurs documents a disparu, il est préférable de continuer à le faire afin de se donner les moyens de prouver l'exhaustivité des opérations comptabilisées. Ces dispositions sont applicables aux opérations réalisées depuis le 29 décembre 2007. deux remarques: 1/ Cela ne dispense donc pas le bailleur de tenir dans sa comptabilité les copies des docuements demandés, factures, ou quittance (facture aquittée) non plsu au titre des impôts, mais au titre de la comptabilité, ce que j'avais deja indiqué plus haut dans le fil. 2/ En cas d'émission d'une quittance (quittance = facture acquittée) , pour la location en meublée, le bailleur reste bien entendu soumis aux obligations antérieures.
Si vous êtes soumis à la tva l'administration vous envoie un formulaire avec un numéro, voir votre article
citation: Le numéro d'identification à la taxe sur la valeur ajoutée du prestataire ainsi que celui fourni par le preneur pour les prestations mentionnées aux 3°, 4° bis, 5° et 6° de l'article 259 A du code général des impôts ;
Les bailleurs n'ayant pas opté pour la TVA ne reçoivent pas de numéro
Lors d'un controle fiscal on ne vous demande pas un double de vos quittances mais vos baux et vos documents bancaires |
Édité par - gregor le 21 nov. 2009 09:45:35 |
|
|
|
80
Posté - 21 nov. 2009 : 09:35:25
|
gregor ne sait pas lire, des que je j ene surligne aps la partie qui seule est intéressante. Il 'n'arrête pas de sortir des lignes de son contexte.
C'est TRES TRES LASSANT.... Je m'en vais.. |
|
|
Sujet |
|
|
|
|
Universimmo.com |
© 2000-2012 AEDev |
|
|
|
|