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Stéphane
Contributeur vétéran
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Posté - 20 févr. 2010 : 21:43:23
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Bonjour,
Je suis à la recherche de solutions pour lutter contre les dégrations que subissent nos parties communes, notamment dans les cages d'escaliers. J'en appelle donc à vos expériences similaires !
La copro : 2 immeubles de 16 étages - 220 lots - 1 cage d'escalier par immeuble.
Les escaliers de secours sont donc régulièrement lieux de rendez-vous de lycéens (d'après notre enquête) durant la journée : boutons d'éclairage abîmés (a force de les coincer en position "on" avec des cales, de la colle -je précise que nous avons testé des boutons "anti-vandalisme" sans succès- ) , murs, sol et plafonds dégradés par des tags, détritus,crachats, parfois excréments (heureusement assez rare), luminaires abimé ou cassés..
En dehors des efforts du conseil syndical des copropriétaires pour tenter de sensibiliser les résidants au problème (en les invitant à aussi "habiter" ces parties communes, de ne pas laisser rentrer les inconnus dans les immeubles, ..) , nous sommes (le CS), en train de réfléchir à cette solution :
Remplacer les portes donnant sur les paliers par des portes vitrées. Le fait "d'inviter" la cage d'escalier sur les paliers des résidents pourrait-il avoir un fort impact pour responsabiliser un peu tout le monde et limiter ces visites malheureuses? Je précise que la cage d'escalier n'a pas de fenêtre, il y fait donc noir sauf bien sûr quand on allume les lampe). Bon cela risque d'être couteux : le jeu en vaut-t-il la chandelle à votre avis ?
Salutations, Stéphane.
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Posté - 21 févr. 2010 : 08:59:21
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En Angleterre ils avaient diffusé pendant un temps des ultra sons perceptibles uniquement par les adolescents....
Sincèrement, je ne sais pas quoi faire, a partir du moment ou les occupants ne sont pas volontaires pour tenir les lieux prpopres, il est diffile de les y obliger quand il s'agit de jeunes en particulier, toujours en rebellion. |
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Posté - 21 févr. 2010 : 08:59:21
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En Angleterre ils avaient diffusé pendant un temps des ultra sons perceptibles uniquement par les adolescents....
Sincèrement, je ne sais pas quoi faire, a partir du moment ou les occupants ne sont pas volontaires pour tenir les lieux prpopres, il est diffile de les y obliger quand il s'agit de jeunes en particulier, toujours en rebellion. |
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sparte
Contributeur senior
803 message(s) Statut:
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Posté - 21 févr. 2010 : 12:11:25
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En principe,le Cs et/ou les copropriétaires connaissent le nom des enfants de résidants qui font pénétrer dans l'immeuble des jeunes de l'extérieur . Ces mêmes jeunes sont d'ailleurs parfois également connus puisqu'ils peuvent, certes pas toujours, habiter des immeubles voisins. Je vous recommande de tenter cette expérience dont je sais personnellement qu'elle a porté ses fruits. Le cs et les copropriétaires"investis" recensent le nom des jeunes qui habitent l'immeuble et qui créent des désordres. Dans la mesure du possible,on essaie d'obtenir les coordonnées des personnes extérieures si elles sont connues et "voisines". Cette liste est transmise au syndic avec un courrier d'accompagnement demandant la convocation d'une réunion. Le syndic organise un soir vers 19h00 une réunion dans une des entrées concernées où seront invités le cs et les jeunes accompagnés de leurs parents. ATTENTION,le texte du courrier doit être pesé,mesuré et ne pas porter d'accusations directes. Exemple:"Nous avons constaté au sein de notre immeuble la présence fréquente de groupes de jeunes qui se réunissent notamment dans les entrées ,escaliers de service.Cette situation crée des désordres pour les occupants et la copropriété dont les jeunes n'ont pas forcément conscience.Certains des occupants nous ont sollicités pour faire appel aux services de police,mesure qui nous paraît ainsi qu'au cs véritablement excessive et prématurée pour le moment Il peut ne pas être exclu que votre fils(fille)puisse,eu égard à son âge, participer à ces petits rassemblements gênants pour les résidants de l'immeuble ou soit en mesure de donner un avis utile sur la question..Aussi,nous vous invitons à participer avec Paul ou Virginie à une discussion amicale avec les membres du cs le ... à ... afin d'évoquer ensemble la meilleure façon de résoudre ce problème.Vous observerez que ,bien évidemment il ne s'agit en aucun cas d'accuser ou de rendre Paul ou Virginie responsable de quoi que ce soit mais bien pour chacun d'apporter sa contribution à une solution et éventuellement à une prise de conscience. Nous vous remercions par avance de votre participation." etc... RESULTAT:1)ils sont venus,discussion,problèmes terminés ou fortement atténués. 2 Ils ne sont pas venus mais se sont rendus compte que cela commençait à chauffer.résultat idem que plus haut. 3) ceux qui n'ont pas été convoqués ont appris par leurs copains que l'immeuble n'est plus fréquentable. Tout cela doit se faire avec diplomatie(les parents protègent leurs innocents bambins...) et le courrier doit être bétonné. La dernière phrase concernant la non accusation et la non responsabilité (qui implique implicitement un début de soupçon... )devra faire l'objet d'une réflexion de votre part.
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sparte
Contributeur senior
803 message(s) Statut:
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Posté - 21 févr. 2010 : 12:11:25
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En principe,le Cs et/ou les copropriétaires connaissent le nom des enfants de résidants qui font pénétrer dans l'immeuble des jeunes de l'extérieur . Ces mêmes jeunes sont d'ailleurs parfois également connus puisqu'ils peuvent, certes pas toujours, habiter des immeubles voisins. Je vous recommande de tenter cette expérience dont je sais personnellement qu'elle a porté ses fruits. Le cs et les copropriétaires"investis" recensent le nom des jeunes qui habitent l'immeuble et qui créent des désordres. Dans la mesure du possible,on essaie d'obtenir les coordonnées des personnes extérieures si elles sont connues et "voisines". Cette liste est transmise au syndic avec un courrier d'accompagnement demandant la convocation d'une réunion. Le syndic organise un soir vers 19h00 une réunion dans une des entrées concernées où seront invités le cs et les jeunes accompagnés de leurs parents. ATTENTION,le texte du courrier doit être pesé,mesuré et ne pas porter d'accusations directes. Exemple:"Nous avons constaté au sein de notre immeuble la présence fréquente de groupes de jeunes qui se réunissent notamment dans les entrées ,escaliers de service.Cette situation crée des désordres pour les occupants et la copropriété dont les jeunes n'ont pas forcément conscience.Certains des occupants nous ont sollicités pour faire appel aux services de police,mesure qui nous paraît ainsi qu'au cs véritablement excessive et prématurée pour le moment Il peut ne pas être exclu que votre fils(fille)puisse,eu égard à son âge, participer à ces petits rassemblements gênants pour les résidants de l'immeuble ou soit en mesure de donner un avis utile sur la question..Aussi,nous vous invitons à participer avec Paul ou Virginie à une discussion amicale avec les membres du cs le ... à ... afin d'évoquer ensemble la meilleure façon de résoudre ce problème.Vous observerez que ,bien évidemment il ne s'agit en aucun cas d'accuser ou de rendre Paul ou Virginie responsable de quoi que ce soit mais bien pour chacun d'apporter sa contribution à une solution et éventuellement à une prise de conscience. Nous vous remercions par avance de votre participation." etc... RESULTAT:1)ils sont venus,discussion,problèmes terminés ou fortement atténués. 2 Ils ne sont pas venus mais se sont rendus compte que cela commençait à chauffer.résultat idem que plus haut. 3) ceux qui n'ont pas été convoqués ont appris par leurs copains que l'immeuble n'est plus fréquentable. Tout cela doit se faire avec diplomatie(les parents protègent leurs innocents bambins...) et le courrier doit être bétonné. La dernière phrase concernant la non accusation et la non responsabilité (qui implique implicitement un début de soupçon... )devra faire l'objet d'une réflexion de votre part.
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Stéphane
Contributeur vétéran
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Posté - 22 févr. 2010 : 23:35:08
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Merci pour vos réponses, Spartes et Ribouldingue,
Je ne crois pas trop aux "mosquitos"... Outre le coté répressifs (qui d'ailleur alimente le refus des politiques à son utilisation sur les lieux publics -consultez wikipedia- ) , ce sont pour moi des installations coûteuses qui seront sujettes elles aussi au vandalisme, sans parler des dégats collatéraux : je ne voudrais pas condamner les usages normaux de ces escliers aux oreilles sensibles d'usagers légitimes .
Je suis sûr aussi que la coordination de l'ensemble des copropriétaire est la clef des résultats simples et efficaces.
Merci pour ton exemple détaillé et instructif Sparte. Notre problème sera d'indentifier les acteurs des désagrément si nous devions en venir à appliquer tes conseils. Les lycéens proviennent des communes voisine aussi. Mais bon, avec le temps..., et puis, ce genre d'investissement aura aussi pour avantage de mieux connaître la population. Si la prise de conscience ne pourra pas se faire par via une "charte des cages d'escaliers" ou quelque chose du genre, nous nous orienterons probablement vers ce choix. A propos de "charte", auriez vous des exemples pour aider ? Merci d'avance !
Et pour les portes ? cela vous semble-il réaliste ?
Stéphan. |
Édité par - Stéphane le 22 févr. 2010 23:36:03 |
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Stéphane
Contributeur vétéran
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6
Posté - 22 févr. 2010 : 23:35:08
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Merci pour vos réponses, Spartes et Ribouldingue,
Je ne crois pas trop aux "mosquitos"... Outre le coté répressifs (qui d'ailleur alimente le refus des politiques à son utilisation sur les lieux publics -consultez wikipedia- ) , ce sont pour moi des installations coûteuses qui seront sujettes elles aussi au vandalisme, sans parler des dégats collatéraux : je ne voudrais pas condamner les usages normaux de ces escliers aux oreilles sensibles d'usagers légitimes .
Je suis sûr aussi que la coordination de l'ensemble des copropriétaire est la clef des résultats simples et efficaces.
Merci pour ton exemple détaillé et instructif Sparte. Notre problème sera d'indentifier les acteurs des désagrément si nous devions en venir à appliquer tes conseils. Les lycéens proviennent des communes voisine aussi. Mais bon, avec le temps..., et puis, ce genre d'investissement aura aussi pour avantage de mieux connaître la population. Si la prise de conscience ne pourra pas se faire par via une "charte des cages d'escaliers" ou quelque chose du genre, nous nous orienterons probablement vers ce choix. A propos de "charte", auriez vous des exemples pour aider ? Merci d'avance !
Et pour les portes ? cela vous semble-il réaliste ?
Stéphan. |
Édité par - Stéphane le 22 févr. 2010 23:36:03 |
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Posté - 26 févr. 2010 : 19:26:39
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La charte, pour ma part je n'y crois pas. J'ai trop de locataires qui ne savent pas lire, alors, pensez, leurs enfants.... la charte... Les autres problèmes de la charte (pour moi, c'est mon réglement intérieur) 1/ C'est vous qui l'imposez, personne ne l'a signé auparavant. Les anciens locataires sont donc en droit de dire qu'ils n'ont pas a l'appliquer. 2/ Comme il y a forcément plus de locataires 'biens' que de 'pas biens' vous allez voir rappliquer pelin de gens qui vont vous demander de la faire appliquer, et ils auront raison.
La convocation pour une 'réunion', oui, mais il y a plusieurs inconvénients: 1/ On ne peut le faire que une fois. 2/ Les enfants qui ne sont pas bêtes comprennent tres vite qu'il n'y a aucune conséquence, qu'on ne fait que parler. L'intérêt des enfants n'allant pas forcément dans le même sens que celui de leurs parents... suivez mon regard... |
Édité par - ribouldingue le 26 févr. 2010 19:31:00 |
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Posté - 26 févr. 2010 : 19:26:39
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La charte, pour ma part je n'y crois pas. J'ai trop de locataires qui ne savent pas lire, alors, pensez, leurs enfants.... la charte... Les autres problèmes de la charte (pour moi, c'est mon réglement intérieur) 1/ C'est vous qui l'imposez, personne ne l'a signé auparavant. Les anciens locataires sont donc en droit de dire qu'ils n'ont pas a l'appliquer. 2/ Comme il y a forcément plus de locataires 'biens' que de 'pas biens' vous allez voir rappliquer pelin de gens qui vont vous demander de la faire appliquer, et ils auront raison.
La convocation pour une 'réunion', oui, mais il y a plusieurs inconvénients: 1/ On ne peut le faire que une fois. 2/ Les enfants qui ne sont pas bêtes comprennent tres vite qu'il n'y a aucune conséquence, qu'on ne fait que parler. L'intérêt des enfants n'allant pas forcément dans le même sens que celui de leurs parents... suivez mon regard... |
Édité par - ribouldingue le 26 févr. 2010 19:31:00 |
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sparte
Contributeur senior
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Posté - 27 févr. 2010 : 12:14:15
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Si les enfants comprennent qu'ils ont été clairement identifiés et/ou que l'immeuble commence à devenir"chaud"pour eux,il y a de bonnes chances pour qu'ils aillent "squatter"ailleurs. |
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sparte
Contributeur senior
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Posté - 27 févr. 2010 : 12:14:15
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Si les enfants comprennent qu'ils ont été clairement identifiés et/ou que l'immeuble commence à devenir"chaud"pour eux,il y a de bonnes chances pour qu'ils aillent "squatter"ailleurs. |
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Stéphane
Contributeur vétéran
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Posté - 02 mars 2010 : 22:59:37
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Je suis un peu de l'avis de Sparte, à savoir que c'est la prise conscience collective qui ammènera les meilleurs résultats. Ok, ça fait un peu bonne parole politico-politique, mais la meilleure lutte contre les dégradations, c'est de les anticiper, me semble-t-il. "La charte, pour ma part je n'y crois pas. J'ai trop de locataires qui ne savent pas lire, alors, pensez, leurs enfants.... la charte... " Eutopique ?, peut-être (c'est un combat de tous les jours). Je pense néanmoins qu'une "charte" bien amenée (ce n'est en fait, qu'un prétexte : elle se devra d'être amenée aussi par des dialogues oraux, en public si possible) est peut être une bonne solution.
Bon,.. je sais aussi que certains quartiers difficiles railleraient facilement de cette idée... je n'en suis pas encore à baisser les bras..(ce n'est que mes débuts en la matière).
Et pour mes portes vitées ?? ;-)
Stéphane.
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Édité par - Stéphane le 02 mars 2010 23:00:34 |
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Stéphane
Contributeur vétéran
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Posté - 02 mars 2010 : 22:59:37
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Je suis un peu de l'avis de Sparte, à savoir que c'est la prise conscience collective qui ammènera les meilleurs résultats. Ok, ça fait un peu bonne parole politico-politique, mais la meilleure lutte contre les dégradations, c'est de les anticiper, me semble-t-il. "La charte, pour ma part je n'y crois pas. J'ai trop de locataires qui ne savent pas lire, alors, pensez, leurs enfants.... la charte... " Eutopique ?, peut-être (c'est un combat de tous les jours). Je pense néanmoins qu'une "charte" bien amenée (ce n'est en fait, qu'un prétexte : elle se devra d'être amenée aussi par des dialogues oraux, en public si possible) est peut être une bonne solution.
Bon,.. je sais aussi que certains quartiers difficiles railleraient facilement de cette idée... je n'en suis pas encore à baisser les bras..(ce n'est que mes débuts en la matière).
Et pour mes portes vitées ?? ;-)
Stéphane.
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Édité par - Stéphane le 02 mars 2010 23:00:34 |
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