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jmr91200
Contributeur senior
859 message(s) Statut:
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Posté - 29 avr. 2016 : 18:14:58
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Bonsoir,
Cela fait déjà plusieurs fois que nous sommes confrontés à du vandalisme sur nos extincteurs.
Afin de sensibiliser tout le monde, on aurait aimé savoir si le remplacement ou rechargement des appareils fait partie des charges récupérables par les propriétaires bailleurs.
Merci.
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Posté - 29 avr. 2016 : 20:26:18
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jmr91200 : "Afin de sensibiliser tout le monde, on aurait aimé savoir si le remplacement ou rechargement des appareils fait partie des charges récupérables par les propriétaires bailleurs."
Drole de question ? vous soupçonnez les locataires de votre résidence ? |
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Posté - 29 avr. 2016 : 20:29:29
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UNIS :
Quelles sont les charges dont est redevable le locataire ?
En plus du loyer, le locataire peut être redevable du paiement des charges dites « récupérables ».
Elles sont dues en contrepartie :
des services rendus liés à l'usage du bien loué. Le coût des services assurés dans le cadre d'un contrat d'entreprise ou d'un contrat d'achat d'électricité, d'énergie calorifique ou de gaz naturel combustible, distribués par réseaux correspond à la dépense, toutes taxes comprises, acquittée par le bailleur (chauffage collectif, électricité), des dépenses d'entretien courant et des menues réparations de parties communes, des impositions qui correspondent à des services dont le locataire profite directement (taxes d’enlèvement des ordures ménagères...).
La loi de 1989 ajoute que sont récupérables les dépenses engagées par le bailleur dans le cadre d'un contrat d'entretien relatif aux ascenseurs et qui concernent :
les opérations et les vérifications périodiques minimales, la réparation et le remplacement de petites pièces présentant des signes d'usure excessive, les interventions pour dégager les personnes bloquées en cabine et le dépannage et la remise en fonctionnement normal des appareils.
Quelle est la liste exacte des charges récupérables ?
La liste des charges récupérables est fixée limitativement par le décret du 26 août 1987. Dès lors, le bailleur ne peut exiger plus que ce qui y figure :
I. Ascenseurs et monte-charge.
1. Dépenses d'électricité.
2. Dépenses d'exploitation, d'entretien courant, de menues réparations :
a) Exploitation :
visite périodique, nettoyage et graissage des organes mécaniques ; examen semestriel des câbles et vérification annuelle des parachutes ; nettoyage annuel de la cuvette, du dessus de la cabine et de la machinerie ; dépannage ne nécessitant pas de réparations ou fournitures de pièces ; tenue d'un dossier par l'entreprise d'entretien mentionnant les visites techniques, incidents et faits importants touchant l'appareil.
b) Fournitures relatives à des produits ou à du petit matériel d'entretien (chiffons, graisses et huiles nécessaires) et aux lampes d'éclairage de la cabine.
c) Menues réparations :
de la cabine (boutons d'envoi, paumelles de portes, contacts de portes, ferme-portes automatiques, coulisseaux de cabine, dispositif de sécurité de seuil et cellule photo-électrique) ; des paliers (ferme-portes mécaniques, électriques ou pneumatiques, serrures électromécaniques, contacts de porte et boutons d'appel) ; des balais du moteur et fusibles.
II. Eau froide, eau chaude et chauffage collectif des locaux privatifs et des parties communes.
1. Dépenses relatives :
A l'eau froide et chaude des locataires ou occupants du bâtiment ou de l'ensemble des bâtiments d'habitation concernés ; A l'eau nécessaire à l'entretien courant des parties communes du ou desdits bâtiments, y compris la station d'épuration ; A l'eau nécessaire à l'entretien courant des espaces extérieurs ; Les dépenses relatives à la consommation d'eau incluent l'ensemble des taxes et redevances ainsi que les sommes dues au titre de la redevance d'assainissement, à l'exclusion de celles auxquelles le propriétaire est astreint en application de l'article L. 35-5 du code de la santé publique ; Aux produits nécessaires à l'exploitation, à l'entretien et au traitement de l'eau ; A l'électricité ; Au combustible ou à la fourniture d'énergie, quelle que soit sa nature.
2. Dépenses d'exploitation, d'entretien courant et de menues réparations :
a) Exploitation et entretien courant :
nettoyage des gicleurs, électrodes, filtres et clapets des brûleurs ; entretien courant et graissage des pompes de relais, jauges, contrôleurs de niveau ainsi que des groupes motopompes et pompes de puisards ; graissage des vannes et robinets et réfection des presse-étoupes ; remplacement des ampoules des voyants lumineux et ampoules de chaufferie ; entretien et réglage des appareils de régulation automatique et de leurs annexes ; vérification et entretien des régulateurs de tirage ; réglage des vannes, robinets et tés ne comprenant pas l'équilibrage ; purge des points de chauffage ; frais de contrôles de combustion ; entretien des épurateurs de fumée ; opérations de mise en repos en fin de saison de chauffage, rinçage des corps de chauffe et tuyauteries, nettoyage de chaufferies, y compris leurs puisards et siphons, ramonage des chaudières, carneaux et cheminées ; conduite de chauffage ; frais de location d'entretien et de relevé des compteurs généraux et individuels ; entretien de l'adoucisseur, du détartreur d'eau, du surpresseur et du détendeur ; contrôles périodiques visant à éviter les fuites de fluide frigorigène des pompes à chaleur ; vérification, nettoyage et graissage des organes des pompes à chaleur ; nettoyage périodique de la face extérieure des capteurs solaires ; vérification, nettoyage et graissage des organes des capteurs solaires.
b) Menues réparations dans les parties communes ou sur des éléments d'usage commun :
réparation de fuites sur raccords et joints ; remplacement des joints, clapets et presse-étoupes ; rodage des sièges de clapets ; menues réparations visant à remédier aux fuites de fluide frigorigène des pompes à chaleur ; recharge en fluide frigorigène des pompes à chaleur.
III. - Installations individuelles.
Chauffage et production d'eau chaude, distribution d'eau dans les parties privatives :
1. Dépenses d'alimentation commune de combustible ;
2. Exploitation et entretien courant, menues réparations :
a) Exploitation et entretien courant :
réglage de débit et température de l'eau chaude sanitaire ; vérification et réglage des appareils de commande, d'asservissement, de sécurité d'aquastat et de pompe ; dépannage ; contrôle des raccordements et de l'alimentation des chauffe-eau électriques, contrôle de l'intensité absorbée ; vérification de l'état des résistances, des thermostats, nettoyage ; réglage des thermostats et contrôle de la température d'eau ; contrôle et réfection d'étanchéité des raccordements eau froide - eau chaude ; contrôle des groupes de sécurité ; rodage des sièges de clapets des robinets ; réglage des mécanismes de chasses d'eau.
b) Menues réparations :
remplacement des bilames, pistons, membranes, boîtes à eau, allumage piézo-électrique, clapets et joints des appareils à gaz ; rinçage et nettoyage des corps de chauffe et tuyauteries ; remplacement des joints, clapets et presse-étoupes des robinets ; remplacement des joints, flotteurs et joints cloches des chasses d'eau.
IV. Parties communes intérieures au bâtiment ou à l'ensemble des bâtiments d'habitation.
1. Dépenses relatives :
A l'électricité ; Aux fournitures consommables, notamment produits d'entretien, balais et petit matériel assimilé nécessaires à l'entretien de propreté, sel.
2. Exploitation et entretien courant, menues réparations : a) Entretien de la minuterie, pose, dépose et entretien des tapis ; b) Menues réparations des appareils d'entretien de propreté tels qu'aspirateur.
3. Entretien de propreté (frais de personnel). V. Espaces extérieurs au bâtiment ou à l'ensemble de bâtiments d'habitation (voies de circulation, aires de stationnement, abords et espaces verts, aires et équipements de jeux).
1. Dépenses relatives :
A l'électricité ; A l'essence et huile ; Aux fournitures consommables utilisées dans l'entretien courant : ampoules ou tubes d'éclairage, engrais, produits bactéricides et insecticides, produits tels que graines, fleurs, plants, plantes de remplacement, à l'exclusion de celles utilisées pour la réfection de massifs, plates-bandes ou haies.
2. a) Exploitation et entretien courant : Opérations de coupe, désherbage, sarclage, ratissage, nettoyage et arrosage concernant :
les allées, aires de stationnement et abords ; les espaces verts (pelouses, massifs, arbustes, haies vives, plates-bandes) ; les aires de jeux ; les bassins, fontaines, caniveaux, canalisations d'évacuation des eaux pluviales ; entretien du matériel horticole ; remplacement du sable des bacs et du petit matériel de jeux.
b) Peinture et menues réparations des bancs de jardins et des équipements de jeux et grillages.
VI. Hygiène.
1. Dépenses de fournitures consommables :
Sacs en plastique et en papier nécessaires à l'élimination des rejets ; Produits relatifs à la désinsectisation et à la désinfection, y compris des colonnes sèches de vide-ordures.
2. Exploitation et entretien courant :
Entretien et vidange des fosses d'aisances ; Entretien des appareils de conditionnement des ordures.
3. Elimination des rejets (frais de personnel).
VII. Equipements divers du bâtiment ou de l'ensemble de bâtiments d'habitation.
1. La fourniture d'énergie nécessaire à la ventilation mécanique.
2. Exploitation et entretien courant :
Ramonage des conduits de ventilation ; Entretien de la ventilation mécanique ; Entretien des dispositifs d'ouverture automatique ou codée et des interphones ; Visites périodiques à l'exception des contrôles réglementaires de sécurité, nettoyage et graissage de l'appareillage fixe de manutention des nacelles de nettoyage des façades vitrées.
3. Divers :
Abonnement des postes de téléphone à la disposition des locataires.
VIII. Impositions et redevances. Droit de bail. Taxe ou redevance d'enlèvement des ordures ménagères. Taxe de balayage.
Les gardiens, concierges et employés d’immeubles :
Lorsque le gardien ou le concierge d’un immeuble assure, conformément à son contrat de travail, l’entretien des parties communes et l’élimination des rejets, les dépenses correspondant à sa rémunération et aux charges sociales et fiscales y afférentes sont exigibles au titre des charges récupérables à concurrence de 75 % de leur montant.
Lorsque le gardien ou le concierge n’assure, conformément à son contrat de travail, que l’une ou l’autre des deux tâches, ces dépenses sont exigibles au titre des charges récupérables à concurrence de 40 % de leur montant.
Ces mêmes règles s’appliquent lorsqu’un tiers intervient pendant les repos hebdomadaires et les congés prévus dans les clauses de son contrat de travail, ainsi qu’en cas de force majeure, d’arrêt de travail ou en raison de l’impossibilité matérielle ou physique temporaire pour le gardien ou le concierge d’effectuer seul les deux tâches.
Un couple de gardiens ou de concierges qui assure, dans le cadre d’un contrat de travail commun, l’entretien des parties communes et l’élimination des rejets est assimilé à un personnel unique.
Lorsqu’un employé d’immeuble assure, conformément à son contrat de travail, l’entretien des parties communes ou l’élimination des rejets, les dépenses correspondant à sa rémunération et aux charges sociales et fiscales y afférentes sont exigibles, en totalité, au titre des charges récupérables.
Dans tous les cas les éléments suivants ne sont pas retenus dans les dépenses récupérables :
le salaire en nature ; l’intéressement et la participation aux bénéfices de l’entreprise ; les indemnités et primes de départ à la retraite ; les indemnités de licenciement ; la cotisation à une mutuelle prise en charge par l’employeur ou par le comité d’entreprise ; la participation de l’employeur au comité d’entreprise ; la participation de l’employeur à l’effort de construction ; la cotisation à la médecine du travail.
Les dépenses de personnel d'encadrement technique chargé du contrôle direct du gardien, du concierge ou de l'employé d'immeuble sont exigibles au titre des charges récupérables à concurrence de 10 % de leur montant. En cas de provisions de charges versées par le locataire, comment procède-t-on à la régularisation ?
Lorsque les charges locatives donnent lieu au versement de provisions, une régularisation doit être effectuée annuellement. La régularisation s’opérera en comparaison du total des provisions versées aux charges locatives réellement dues.
Un mois avant cette régularisation, le bailleur doit transmettre au locataire le décompte par nature de charges (dans le cadre de la copropriété, il s’agira du décompte individuel transmis au propriétaire par le syndic).
Si l’immeuble collectif appartient au même propriétaire, celui-ci doit transmettre également le mode de répartition entre les locataires.
Durant un mois à compter de l'envoi de ce décompte, les pièces justificatives sont tenues à la disposition des locataires.
Si la régularisation n’a pas été faite les années précédentes, le bailleur sera en mesure de réparer l’oubli mais dans la limite des 5 années précédentes (prescription de droit commun de 5 ans) |
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Posté - 29 avr. 2016 : 20:46:57
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Même l'entretien desdits extincteurs n'est pas une charge récupérable. |
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jmr91200
Contributeur senior
859 message(s) Statut:
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Posté - 29 avr. 2016 : 21:40:29
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citation: Initialement posté par philippe388Drole de question ? vous soupçonnez les locataires de votre résidence ?
Pourquoi ? J'ai aussi des résidents "locataires" qui se sont posés la même question (à savoir si ces frais augmenteront leurs charges). |
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Franck1966
Contributeur vétéran
France
2096 message(s) Statut:
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Posté - 29 avr. 2016 : 22:19:38
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jmr91200, ayant eu le même pb dans un immeuble locatif, nous avons supprimé purement et simplement les extincteurs ! Les extincteurs sont obligatoires dans les chaufferies, les locaux techniques d'ascenseur et les immeubles de plus de 28m de hauteur. Donc si vous n'êtes pas dans un IGH ......... Et comme cela plus de pb de charges récupérables ...
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jmr91200
Contributeur senior
859 message(s) Statut:
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Posté - 30 avr. 2016 : 16:36:06
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Autre question : est-ce que le syndic a t-il intérêt à porter plainte contre X pour ce genre d'incident ? ou est-ce vain ? |
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9720fm
Contributeur actif
271 message(s) Statut:
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Posté - 30 avr. 2016 : 16:49:58
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citation: Les extincteurs sont obligatoires dans les chaufferies, les locaux techniques d'ascenseur et les immeubles de plus de 28m de hauteur. Donc si vous n'êtes pas dans un IGH ......... Ils ne seraient alors pas obligatoires dans les parkings couverts (sous-sol ou autre) ? |
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Posté - 30 avr. 2016 : 18:17:35
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jmr91200 :" Autre question : est-ce que le syndic a t-il intérêt à porter plainte contre X pour ce genre d'incident ? ou est-ce vain ?"
Le syndic gère le SDC, et par conséquent il faut se demander si c'est l'intérêt du syndic, pas du syndic
La police ne va pas lancer une enquête la dessus. Ils ont autre chose à faire.
Le syndic ET le CS doivent se poser une seule question : le SDC est il assuré pour le vandalisme ? et si cela concerne aussi les extincteurs. Et si OUI, maors le syndic devra déposer plainte afin que l'assurance prenne en charge tout ou partie de ce sinistre.
En ce qui concerne les charges récupérables par les bailleurs, les extincteurs ne figurent pas dans la liste.
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jmr91200
Contributeur senior
859 message(s) Statut:
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Posté - 30 avr. 2016 : 18:23:05
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citation: Initialement posté par philippe388Le syndic gère le SDC, et par conséquent il faut se demander si c'est l'intérêt du syndic, pas du syndic
… l'intérêt du Syndicat (SDC) vous voulez dire :) |
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Posté - 30 avr. 2016 : 18:44:33
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du syndicat !! évidemment. |
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Franck1966
Contributeur vétéran
France
2096 message(s) Statut:
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Posté - 02 mai 2016 : 13:03:54
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9720fm : OUI, les extincteurs sont obligatoires dans les parkings (1 tous les 15 voitures) ARC-COPRO : "Parkings L’arrêté du 31 janvier 1986 (articles 95 et 96) impose l’installation d’un extincteur portatif pour 15 voitures, ainsi que la présence d’une caisse de 100 litres de sable (avec une pelle si souvent oubliée) à chaque niveau de parking. Par ailleurs, dès que le parking dépasse trois niveaux, des dispositifs de lutte à déclenchement automatique sont obligatoires" |
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