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vttdechaine
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Posté - 20 juil. 2006 :  11:38:58  Voir le profil
Toujours aussi ancien (fin mars 2006).
http://immobilier.nouvelobs.com/info_209_herault.html

Montpellier : Un avenir incertain
23/03/2006
Citation :
Malgré un fort ralentissement des transactions dans l’ancien, les prix restent encore assez élevés. L’attentisme est de rigueur sur un marché apathique


Nadège Doreau, nourrice agréée, et son mari, poseur de sols, recherchaient une maison à Montpellier où ils vivaient depuis treize ans. Ils voulaient absolument un extérieur pour leurs enfants. Mission impossible étant donné leur budget : 140 000 euros maximum. Ils ont trouvé dans leurs prix, à 70 km de là, au Bousquet-d'Orb. Une maison avec un garage, deux terrasses et une cour.«On fait un sacrifice parce que mon mari continue de travailler à Montpellier, en attendant de trouver un travail ici. Mais notre seul regret est de ne pas être partis plus tôt. » Elisabeth, elle, cherche à acheter un studio ou un F1 dans un but locatif. Elle désespère : «C'est très cher. Les biens à vendre, après la tornade du CAC 40, ne sont pas extraordinaires, et il faut compter au bas mot entre 80 000 et 110 000 euros pour ce que je recherche. » Comme beaucoup, elle attendra.
Le marché montpelliérain stagne. Pourtant, si les prix de l'ancien ne flambent pas, ils ne s'effondrent pas non plus. Ils sont même dans la fourchette haute pour les petits appartements et les bons emplacements. Mais nombre d'agents immobiliers en conviennent : « Pour les maisons et les villas qui ne payaient pas de mine et se vendaient à prix d'or », les prix sont remis à jour et sont beaucoup plus raisonnables. Philippe Mathan, de l'agence ICI, affirme qu'elles sont dépréciées d'office de 10%. Cette agence a connu, comme beaucoup d'autres, un fort ralentissement du nombre d'affaires au dernier trimestre de 2005. «Les acquéreurs sont plus hésitants, leur comportement a changé. Les ventes que nous avons réalisées ce dernier trimestre de 2005 ont toutes été négociées», explique-t-il, inquiet pour l'année à venir à cause de la raréfaction des acquéreurs. « Les gens sont écoeurés. Beaucoup n'ont que 150 000 euros, pas plus, pour se loger. Ces primo-accédants-là, on ne les voit plus depuis un an.» Selon les données de la Fnaim du quatrième trimestre de 2005, le prix moyen du mètre carré ancien est de 2 702 euros pour une maison (+14,5% en un an) et de 2 547 pour un appartement (+11,2%). «La barre symbolique des 2 000 euros/m2 a été franchie en 2005. Je ne sais pas s'il faut s'en réjouir. C'est assez surprenant et personne n'y comprend rien.» Me François Granier s'essaie à un pronostic : «La croissance va se poursuivre en 2006, mais elle sera plutôt de l'ordre de 6 à 8%.» Les taux d'intérêt très bas sont, selon les professionnels, la raison principale de ces augmentations ou tout au moins du maintien vers le haut des prix de l'immobilier. Conséquence de la mévente : il y a du stock sur tous les types de logements anciens, à la vente comme à la location où, là aussi, les prix sont parfois revus à la baisse.
Dans le neuf, par contre, les ventes se maintiennent à un très bon rythme. Le prix moyen du mètre carré, logements en primo-accession compris, a atteint 3 230 euros début 2006. Il augmente de 4,9% en six mois et de 8% en un an (au quatrième trimestre de 2004, le mètre carré était à 2 990 euros et l'augmentation était à deux chiffres). L'essentiel de la production est réalisé dans des ZAC et désormais le tiers des logements proposé est réservé aux primo-accédants. Ce volume a entraîné une érosion du nombre des investisseurs, qui représentaient 40 à 45% du marché fin 2005, contre 68% fin 2004. Le stock a lui aussi baissé : 420 appartements étaient en vente fin 2005, contre 543 en juillet dernier. 1 006 logements ont été vendus au cours de l'année 2005, contre 1 180 en 2004. « Ici, les opérations ont été un peu moins nombreuses. C'est lié au foncier. L'activité des promoteurs locaux s'est développée ailleurs. A Juvignac ou à Béziers, par exemple, explique Xavier Longin, responsable de Stratis Conseil, observatoire de l'immobilier. Dans le neuf, les grands appartements ont du mal à trouver preneur. Ils sont trop chers. Seuls les ménages à revenus élevés peuvent y accéder. »
D'autres opérations vont voir le jour au sud et au sud-est de la ville. Une première tranche de 300 logements est lancée dans le nouveau quartier de l'Ovalie et sera mise en vente à l'été 2006. Le coup d'envoi des Grisettes devrait être donné fin 2006. Du côté du futur port, la ZAC Parc Marianne démarre : 300 logements (de 8 à 9 étages) vont être construits par Eiffage, Dominium, Marignan, Nexity et Sagec, qui commercialise des logements à 3 500-4 000 euros/m2 (2 700 euros en prête locatif social, 2 350 euros en primo-accession). En première ligne sur le bassin Jacques-Coeur, Ellul propose des appartements à 3 400 euros/m2. «La Ville a mis en place une stratégie qui va lui permettre de débloquer encore du foncier pour les cinq ans à venir. Le relais devra être ensuite pris par l'Agglo», souligne Marc Séchaud, patron de la Sagec. Après deux ans de discussions, les 90 élus de la Communauté viennent de voter le schéma de cohérence territoriale dictant les grandes orientations d'aménagement pour les vingt années à venir. La lutte contre l'étalement urbain est une priorité : en quarante ans, l'espace urbanisé a été décuplé, alors que la population a été multipliée par deux. L'heure est à la densification. La même réflexion devra se poursuivre bien au-delà de l'Agglo, sur le territoire voisin de la vallée de l'Hérault, qui a atteint en 2005 la population qu'elle aurait dû atteindre en 2008, mais aussi sur celui du Clermontais et du Lodévois, qui devront à leur tour répondre aux besoins de type urbain de leurs nouveaux résidents.



3 questions à Marc Séchaud

Le Nouvel Observateur. - Le prix du neuf peut-il continuer d'augmenter ?
Marc Séchaud. - A Montpellier, le foncier est tenu par la Serm (Société d'Equipement de la région montpelliéraine) qui définit les prix de vente. Ils sont ici 20 à 30% moins cher que dans d'autres grandes villes. Le mètre carré se situe entre 280 et 300 euros maximum, mais en échange nous avons des objectifs à tenir : plafonnement des prix de vente, programme de primo-accession... Le coût des matières premières, lui, ne fléchit pas et celui des travaux a augmenté de 25% en trois ans. La demande est très forte, et les besoins sont réels. On ne voit pas ce qui va baisser.

N. O. - A ce niveau de coût, à qui s'adresse la promotion privée ?
M. Séchaud. - Nous avons mis en place une méthode basée sur le principe de 33% de primo-accession, 33% de produits encadrés, 33% de produits libres. C'est une politique spécifique à Montpellier, précurseur en la matière, et qui s'étend à d'autres grandes villes. Tout cela devra s'harmoniser, mais depuis mars nous nous en tenons à cette proportion, alors que jusque-là ce n'était pas tout à fait le cas. Pour les primo-accédants, le prix du mètre carré varie de 2 350 à 2 500 euros avec obligation de garder le bien au moins cinq ans. Les prix encadrés vont fluctuer selon la période. Pour les opérations classiques, les biens sont commercialisés entre 3 500 et 3 800 euros/m2. Mais pour les opérations de standing ils peuvent atteindre 5 000 à 5 500 euros.

N. O. - Construit-on assez ?
M. Séchaud. - Etant donné le déficit de logements, les constructions couvrent à peine le renouvellement. 1 500 à 2 000 logements sortent de terre chaque année, alors qu'il en faudrait 3 000 à 3 500. Ce qui est commercialisé en ce moment ne sera pas livré avant dix-huit mois, dans le meilleur des cas. Les chantiers ont du mal à démarrer. On manque d'entreprises pour les réaliser. C'est un problème nouveau, qui vient s'ajouter aux autres.

Myriem Lahidely




Marty
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vttdechaine
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Posté - 20 juil. 2006 :  16:32:35  Voir le profil

Pour ceux qui continueront à affirmer que tout va bien puisque les prix montent :

Mardi 11 Juillet 2006

Immobilier: surveillez le niveau des ventes, pas des prix (France Info)
Citation :

La hausse des prix immobiliers est vraiment en train de ralentir. Lentement. Selon les notaires d’Ile de France, dont les chiffres s’arrêtent à la fin du premier trimestre, le prix des appartements anciens libres à Paris a tout de même augmenté de 12,7% sur un an, dont un peu moins de 2% entre janvier et mars. Les agents immobiliers de la Fnaim constatent pour ce qui les concerne que les prix - France entière cette fois-ci -ont augmenté à un rythme nettement inférieur -9%- mais sur un an à fin juin et non à fin mars. Les chiffres de la Fnaim sont confirmés par ceux de l’indice BoursoPAP conçu par le magazine de Particulier à Particulier à partir des chiffres fournis dans six grandes villes. Quant aux notaires, ils estiment prudemment que l’augmentation des prix, toujours dans la capitale, pourrait passer sous la barre des 10% d’ici la fin de l’année. Les notaires sont donc les plus circonspects de tous ceux qui collectent des statistiques immobilières. On les comprend un peu. L’évolution des prix en dehors de Paris est en effet plus inquiétante que dans la capitale. Dans la grande couronne et dans la petite couronne autour de Paris, le rythme de hausse des prix était, à fin mars, supérieur à 15%. Selon la Fnaim, à fin juin, les prix étaient encore en hausse d’environ 15% à Lyon, à Dijon et à Bordeaux. Bref, le marché immobilier reste encore très porteur. Les notaires observent que les moins de trente ans représentent 25% des acquéreurs contre 22% il y a cinq ans. Tandis que les agents immobiliers observent que la solvabilité des acquéreurs se tient encore bien. Seule ombre au tableau pour eux : les ventes commencent à baisser de ci de là, alors que les notaires les ont vu augmenter , mais toujours au premier trimestre.
Au niveau atteint par les prix, un vrai retournement de situation n’est cependant pas exclu si les taux d’intérêt montent franchement, ce qui n’est pas le cas. L’indicateur à suivre, ce ne sont pas les prix, mais les ventes en nombre. Le jour où les ventes baissent vraiment sera le signal que les prix ont touché leur plafond.





Marty
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vttdechaine
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Posté - 23 juil. 2006 :  18:21:04  Voir le profil
Communication de Nahb du 19 juillet 2006 traduit par mes soins (si vous relevez des erreurs, n'hésitez pas ) :

Citation :
Le logement chute de 5,3 % de juin


Le total des logements commencent à tombé de 5,3% en juin à un taux annuel saisonnier ajusté de 1,850 millions d'unités, selon les données du Département du Commerce aujourd'hui. Ceci représente une baisse de 11% sur 1 an.

Le logement individuel a baisser de 6,5 % pour le mois de juin avec 1,486 millions d'unités avec une baisse de 13,8 % sur 1 an par rapport au mois de juin 2005. La construction collectives était en hausse de 0,3 % sur 1 mois à une valeur saisonnière ajustée de 364.000 unités.

« Les études de NAHB des constructeurs de logements individuels ont montré une baisse régulière de la confiance depuis le milieu de l'année dernière, et les constructeurs agissent en conséquence. Ils ralentissent leur production puisque les conditions du marché et la demande se refroidissent, » a dit David Pressly, le président de l'Association Nationale des Constructeurs de maisons (NAHB) et constructeur lui-même de maisons à Statesville, N.C.

« Les déclins de juin pour les logements individuels et les permis montrent clairement que la tendance à la baisse de logements est toujours en route. C'est un modèle conforme à nos signaux, » a dit l'Economiste de la NAHB David Seiders.

« Les constructeurs rapportent une baisse non seulement systématiques pour les ventes de maisons, mais aussi les augmentations dans les annulations de ventes et les inventaires en raison de l'érosion des conditions de financement de même qu'un retrait des investisseurs et spéculateurs du marché. »

Trois des quatre régions rapportées diminue leurs commencements de chantier pour ce mois. La construction de nouvelles maisons et les nouveaux appartements est en baisse de 11,5% dans le Nord-est, 4 %dans le Sud et 10,2% dans l'Ouest. Les logements commencés augmentent dans le Midwest de 3 % en juin alors qu'il y avait eu une grande baisse le mois précédent.

Les permis de construire au total ont diminué 4,3% en juin à un taux annuel saisonnier ajusté de 1,862 millions d'unités, à -14,9% sur 1 an. L'émission de permis pour le logements individuels a baissé de 6,3 % sur une base nationale à un rythme de 1,395 millions d'unités pour le mois de juin, reflétant les baisses dans toutes régions du pays. Le rythme d'émission de permis de logements collectifs a augmenté de 2 % à un rythme de 467.000 unités, bien que ce niveau soit en baisse de 6,2% sur 1 an.

« Étant donné l'élan de baisse évident dans le secteur du logement, de même que les risques considérables, le Federal Reserve Board doit procéder avec la grande prudence dans sa gestion de la politique monétaire dans les mois à venir, » a dit Seiders.

Visiter l'Housingeconomics Com, la publication en ligne du Groupe de Science économique de NAHB, pour le logement analyse du marché approfondi, les prévisions, la statistique de logement et plus. Visiter www.housingeconomics.com pour les détails.


et son texte original

Citation :
Housing Starts Drop 5.3 Percent In June Printer Friendly

July 19, 2006 - Total housing starts dropped 5.3 percent in June to a seasonally adjusted annual rate of 1.850 million units, according to figures released by the Commerce Department today. This was 11.0 percent below the pace of a year ago.

Single-family housing starts were down 6.5 percent for the month to a pace of 1.486 million units, a 13.8 percent drop from the June 2005 pace. Multifamily housing construction was up 0.3 percent for the month to a seasonally adjusted pace of 364,000 units.

“NAHB’s surveys of single-family builders have been showing a steady decline in confidence since the middle of last year, and builders are acting accordingly. They are slowing their production as market conditions and demand cool down,” said David Pressly, president of the National Association of Home Builders (NAHB) and a home builder from Statesville, N.C.

“The June declines in single-family starts and permits clearly show that the housing downswing still is underway, a pattern consistent with our signals from the field,” said NAHB Chief Economist David Seiders. “Builders are reporting not only systematic declines in home sales, but also increases in sales cancellations and inventories—due to eroding affordability conditions as well as a withdrawal of investors/speculators from the market.”

Three of four regions reported decreases in housing starts for the month. Construction of new homes and apartments was down 11.5 percent in the Northeast, 4.0 percent in the South and 10.2 percent in the West. Housing starts increased 3.0 percent Midwest in June following a large decline the previous month.

Issuance of total building permits decreased 4.3 percent in June to a seasonably adjusted annual rate of 1.862 million units, 14.9 percent below the pace of a year ago. Single-family permit issuance was down 6.3 percent on a national basis to a pace of 1.395 million units for the month, reflecting declines in all regions of the country. The pace of multifamily permit issuance was up 2.0 percent to a pace of 467,000 units, although this level was 6.2 percent below a year earlier.

“In view of the obvious downward momentum in the housing sector, as well as the considerable downside risks that lie ahead, the Federal Reserve should proceed with great caution as it manages monetary policy in the months ahead,” said Seiders.

Visit HousingEconomics.com, the online publication from NAHB Economics Group, for housing in-depth market analysis, forecasts, housing statistics and more. Visit www.housingeconomics.com for details.




Marty
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morloc
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139 réponses

Posté - 29 juil. 2006 :  14:50:33  Voir le profil
Pour ceux qui ont du mal a s'y retrouver dans tout ca et qui n'ont pas la prétention ni l'envie de devenir des experts en conjoncture économico-immobilière:

Le site immobilier des notaires rubrique tendance du marché première phrase:
Citation :
"Le retournement du marché se confirme de mois en mois"



http://www.immonot.com/tendMarche.do;jsessionid=80BE92E62CBDA62323C5EA80905577D2


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vttdechaine
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2262 réponses

Posté - 02 août 2006 :  10:23:47  Voir le profil
Lettre du moniteur immo de ce matin sur les informations fournient par l'Etat.

Citation :
Autorisations de construire: +14,3% au deuxième trimestre


Le nombre d'autorisations de construire a progressé de 14,3% et le nombre de mises en chantier de 9,3% au cours de la période avril-juin 2006 par rapport à un an plus tôt, selon un communiqué du ministère de l'Emploi et du logement publié le 1er août.
Sur la période, les autorisations portent sur 141 144 logements et les mises en chantier sur 109 853. C'est "toujours le logement collectif qui soutient la croissance à un niveau à deux chiffres", avec une hausse de près de 23%, contre 5,3% pour le logement individuel, selon le ministère.
Sur les douze derniers mois, l'évolution des autorisations de construire affichait fin juin une hausse de 13,8%, avec 550 582 permis délivrés. Sur cette même période, le nombre de mises en chantier a progressé de 12%, à 429 688.
Les surfaces autorisées de locaux non-résidentiels voient leur progression ralentir au deuxième trimestre, avec une hausse de 3,8% à 12,6 millions de m2, contre une forte hausse de 21% enregistrée au premier trimestre.
Ce sont surtout les équipements collectifs de santé (+49,1%), les bureaux et les locaux agricoles qui participent à cette progression.
Toujours pour les locaux non-résidentiels, les ouvertures de chantiers progressent de 6,6% à 38,5 millions de mètres carrés au deuxième trimestre, en ralentissement par rapport aux deux derniers trimestres.

(01/08/2006)



Marty
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morloc
Contributeur vétéran

139 réponses

Posté - 03 août 2006 :  14:41:44  Voir le profil
"Il devient de plus en plus difficile de vendre une maison aux États-unis" l'info n' a rien d'extraordinaire, mais le fait que ce soit sur la revue de presse de la FNAIM semble démontrer que nous entrons dans un ère nouvelle.

http://www.fnaim.fr/infos/revue-de-presse/2006/semaine31.aspx?xtor=RSS-1

( info trouvé sur http://www.pressecrackimmo.canalblog.com/ )
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vttdechaine
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2262 réponses

Posté - 03 août 2006 :  17:24:05  Voir le profil
Citation :
Initialement entré par morloc

"Il devient de plus en plus difficile de vendre une maison aux États-unis" l'info n' a rien d'extraordinaire, mais le fait que ce soit sur la revue de presse de la FNAIM semble démontrer que nous entrons dans un ère nouvelle.

http://www.fnaim.fr/infos/revue-de-presse/2006/semaine31.aspx?xtor=RSS-1

( info trouvé sur http://www.pressecrackimmo.canalblog.com/ )


On notera aussi que ce n'est pas la première fois que des propos "baissiers" sont recencés sur le site de la FNAIM. On ne pourra plus dire qu'il n'en on pas parlé ! Ils auront prévenu leurs clients de cette possibilité.

Marty
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vttdechaine
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Posté - 04 août 2006 :  13:04:25  Voir le profil
http://www.pap.fr/Actu/boursopap/boursopap.asp

Allez une petite baisse...
Oui ce n'est pas un indice officielle.
Oui cela ne touche que 8 grandes villes françaises.
Oui c'est une petite baisse "ridicule".

mais cet indice avait suivi les augmentations officielles par le passé.
mais si cela baisse dans 8 grandes villes avec L’indice au 1er août 2006 a été calculé sur la base de 13.152 transactions enregistrées au cours du mois de juillet je ne pense pas que cela augmente dans les 36 000 autres communes françaises
mais une baisse lorsque nous sommes sur les mois où il y a le plus de demandes dans l'année c'est inquiétant.


Marty
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bouzigues
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Posté - 05 août 2006 :  08:27:49  Voir le profil  Voir la page de bouzigues
Marty,


Même celui qui fait des pompes s'essouffle.

N'est pas shadok qui veut.
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morloc
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139 réponses

Posté - 06 août 2006 :  01:59:20  Voir le profil
Citation :
Même celui qui fait des pompes s'essouffle.

N'est pas shadok qui veut

Je ne sais plus qui disais de marty "laissez le pédaler c'est un sportif". Moi je dis chapeau pour le boulot, heureusement qu'il est la toujours présent et partout pour rétablir un certain équilibre; ( même si je le trouve pas assez incisif et trop poli )
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vttdechaine
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2262 réponses

Posté - 07 août 2006 :  16:20:01  Voir le profil
ROME (Reuters) - Les taux d'intérêt de la zone euro restent "très accommodants" après la hausse de jeudi et de nouveaux ajustements sont prévisibles dans les mois qui viennent, a déclaré Lorenzo Bini Smaghi, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE).

"Même après la hausse décidée jeudi, on ne peut nier que le niveau actuel des taux, 3%, implique que la politique monétaire reste très accommodante, étant donné que le rendement nominal augmente à un taux de plus de 4%", a-t-il dit, dans un entretien publié par Il Sole 24 Ore.

"Pour ce motif, il faut s'attendre à ce que le processus d'ajustement des taux d'intérêt se poursuive dans les mois à venir. Le rythme dépendra de l'évolution de fond de l'économie européenne", a-t-il ajouté.

Pour comprendre la raison pour laquelle les taux ont monté ces derniers mois, il faut se rappeler qu'à la fin 2005, les taux de la zone euro étaient "à des niveaux très bas, 2% en termes nominaux et pratiquement à zéro nets d'inflation", a poursuivi Bini Smaghi.

La récente accélération du durcissement monétaire "s'explique par le fait qu'au premier semestre, la croissance a dépassé les prévisions".

Prié de dire si la crise du Liban, la cherté du pétrole, un euro fort et les signes d'un ralentissement de la croissance aux Etats-Unis étaient des facteurs de risque, Bini Smaghi a dit que "pour le moment, le risque le plus grand est de nature inflationniste", contré au mieux par une hausse des taux d'intérêt.

La hausse d'un quart de point à 3,0% du taux de refinancement de la BCE a été la quatrième opérée depuis décembre 2005.


Marty
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bibix
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1598 réponses

Posté - 07 août 2006 :  16:27:53  Voir le profil
Citation :
Initialement entré par morloc

Citation :
Même celui qui fait des pompes s'essouffle.

N'est pas shadok qui veut

Je ne sais plus qui disais de marty "laissez le pédaler c'est un sportif". Moi je dis chapeau pour le boulot, heureusement qu'il est la toujours présent et partout pour rétablir un certain équilibre; ( même si je le trouve pas assez incisif et trop poli )



C'est du second degrès non?
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vttdechaine
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2262 réponses

Posté - 09 août 2006 :  19:15:21  Voir le profil
Repris sur le site de France3.


Citation :
France: le logement largement en tête des dépenses
Publié le 04/08 à 15:42

Les ménages français consacrent une part de plus en plus importante de leur budget aux postes transports et logement

La dépense des ménages a augmenté de 2,1% en 2005.
Dans une étude parue vendredi 4 août, l'Insee constate que la consommation des ménages a augmenté de 2,1% en 2005, alors que leur pouvoir d'achat n'a progressé que de 1,1%.

Ce dynamisme de la consommation, "signifie que les ménages ont réduit leur épargne, qui passe de 15,8% à 14,9% en un an"

Cette "solide" consommation "constitue le socle de la croissance du PIB en 2005 (+1,2%)", relève l'Institut national de la statistique et des études économiques.

Ce phénomène n'est pas nouveau puisqu'il existe depuis 2001 (avec des taux de 2 à 2,5%) et succède à une période encore plus faste entre 1998 et 2000, caractérisée par un taux de croissance de la consommation des ménages de 3,6% en moyenne, rappelle l'étude.

La nette hausse des prix de l'énergie a peu affecté la consommation dans ce secteur, si bien que la part des produits énergétiques dans le panier des ménages est passée de 7,3% en 2004 à 7,7% en 2005.

Mais elle demeure loin encore du niveau atteint par le poste logement, qui s'est hissé en 2005 à un "maximum historique de 24,7%", en particulier du fait de l'augmentation des loyers, et de la diminution des aides publiques, relève l'Insee.

Le prix des loyers a "fortement augmenté": +4,0% contre +2,7% en 2004. "Il faut remonter à 1992 pour retrouver une progression plus marquée", souligne l'Insee.

La consommation de biens et services de loisirs et de culture a décéléré en 2005 mais reste "soutenue" (+4,2 % après +5,5 % en 2004). Elle reste très dynamique pour ce qui est des biens et services des technologies de l'information et de la communication (+11,4% après +12,9 %).

Alors qu'elle ne représente que 4,2% du total de la dépense de consommation des ménages, elle a ainsi "contribué pour un quart à la hausse du volume des dépenses en 2005". Les achats d'appareils de réception, de reproduction et d'enregistrement du son et de l'image continuent leur forte progression, note l'Insee.

Les dépenses de transports ont progressé pour leur part de 0,8% en volume, soit moins qu'en 2004, mais se hissent à une part de 14,9% de l'ensemble des dépenses (le deuxième poste du budget après le logement et juste devant l'alimentation).

Les Français ont continué d'acheter des automobiles mais surtout de marque étrangère (avec une part de 44%). La consommation de services de transports poursuit sa progression (+5,3%), bénéficiant en premier lieu à l'aérien et au ferroviaire.

L'Insee note enfin que les dépenses de santé à la charge des ménages sont "en forte progression" (+6,6%), tandis que celles consacrées à l'alimentaire et à l'habillement demeurent modérées.


Marty
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scaredas
Contributeur vétéran

191 réponses

Posté - 10 août 2006 :  10:57:04  Voir le profil
Merci Marty pour toutes ces informations !

... je préfère également voir un peu de concret au lieu de n'entendre que des affirmations gratuites, non fondées, qui ne reflètent qu'une opinion qui, bien que respectable à la base, le devient moins lorsque qu'elle n'exprime qu'attaques gratuites - voire insultantes - pour le moins désagréables à lire.
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vttdechaine
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Posté - 10 août 2006 :  14:30:13  Voir le profil
Citation :
Initialement entré par scaredas

Merci Marty pour toutes ces informations !

... je préfère également voir un peu de concret au lieu de n'entendre que des affirmations gratuites, non fondées, qui ne reflètent qu'une opinion qui, bien que respectable à la base, le devient moins lorsque qu'elle n'exprime qu'attaques gratuites - voire insultantes - pour le moins désagréables à lire.



Merci infiniment. Cela m'aidera un peu pour me décarcasser pour la suite .

Marty
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vttdechaine
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Posté - 10 août 2006 :  15:54:07  Voir le profil
http://www.empruntis.com/financement/actualites/index.php?id_actu=369

Citation :

Bulle immobilière : des économistes ne l'excluent plus...

La situation actuelle du marché de l'immobilier, dont les chiffres les plus récents montrent qu'il poursuit toujours sa hausse (notre articleà, correspond-elle à la définition de l'économiste Joseph Stiglitz, pour qui une "bulle" est un état du marché dans lequel "la seule raison pour laquelle le prix est élevé aujourd'hui est que les investisseurs pensent que le prix de vente sera encore plus élevé demain, alors que les facteurs fondamentaux ne semblent pas justifier un tel prix" ? La question est de moins en moins éludée par des économistes qui refusent désormais le consensus des milieux professionnels.

C'est notamment le cas des analystes économiques de Natexis Banques Populaires, qui s'inquiètent d'un décalage de plus en plus flagrant entre prix des logements, pouvoir d'achat des Français et croissance économique. "Si, en sept ans, les prix de l'immobilier ont augmenté de quasiment 100% dans l'Hexagone, le produit intérieur brut français en valeur n'a progressé que de 25%", souligne la banque dans sa dernière lettre trimestrielle.

Par ailleurs, une récente étude de la maison de courtage Exane BNP Paribas, signée par les économistes Jean-Pierre Petit et Emmanuel Ferry, fait remarquer qu'en général le terme de bulle est "le plus souvent prohibé, notamment par les pouvoirs publics, afin de ne pas susciter d'inquiétudes". Mais dans le même temps, selon les auteurs, "l'objectif principal des pouvoirs publics est souvent d'entretenir cette bulle", via la politique fiscale et monétaire...

S'agissant du cas spécifique de la France depuis 2000, ils estiment que la "bulle (...) est probablement voulue pour des raisons économiques". Et d'évoquer notamment : compenser la chute de la Bourse entre 2000 et 2002, éviter une remontée du taux d'épargne, favoriser les dépenses des ménages en biens d'équipement.

Reste la question de savoir si la "bulle" risque d'éclater ou au contraire de dégonfler en douceur, et dans quel laps de temps.
Pour Marc Touati, de Natexis Banques Populaires, la hausse des prix devrait encore "résister" quelques mois "avant de subir les affres de la croissance sans emploi, du surendettement des ménages et de la remontée des taux à long terme", ajoutant que "le retour à la réalité risque d'être cinglant"...

De son côté, tout en estimant que la probabilité d'un atterrissage brutal est "faible" dans les 18 mois, de l'ordre de 20%, Exane explique que la situation actuelle n'est "pas soutenable dans le temps", ni "d'un point de vue économique, ni d'une point de vue social". Si les prix continuent de progresser à un rythme de 15 à 20% par an et que la "bulle" continue d'enfler, la probabilité d'un krach immobilier passe alors à 70% pour 2007, selon l'étude...

Source : © UniversImmo.com

© Empruntis.com




Marty
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vttdechaine
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Posté - 10 août 2006 :  16:06:09  Voir le profil
http://www.liberation.fr/actualite/economie/197758.FR.php

Citation :

Christian de Boissieu, professeur à Paris-I, analyse la pause décidée par la Fed dans la hausse des taux d'intérêt.
Etats-Unis :«Pas encore le scénario catastrophe»
Par Christian LOSSON
QUOTIDIEN : Mercredi 9 août 2006 - 06:00

Statu quo.
La Réserve fédérale américaine (Fed) a décidé, hier soir, de laisser inchangé son principal taux, à 5,25 %. Elle marque ainsi une pause après 17 resserrements monétaires depuis juin 2004, «même si les risques d'inflation demeurent». La Fed table sur «une décélération graduelle de l'immobilier». Entretien avec Christian de Boissieu, professeur à l'université Paris-I.

L'économie américaine se retrouve-t-elle au bord de la crise de nerfs ?
Non, on n'en est pas encore à un scénario-catastrophe, mais un point de bifurcation vers un atterrissage plutôt en douceur. Même si, dans la vie, les choses ne se passent pas toujours en douceur... La croissance au premier trimestre pointait à 5,6 % ; elle est descendue à 2,5 % au deuxième. C'est le yo-yo habituel : la croissance annuelle avoisinera les 3 %. Ce qui est loin d'être catastrophique.

Sauf que la bulle immobilière donne, elle, des signes d'implosion ?
S'il y a un secteur sensible à la hausse des taux d'intérêt, c'est bien l'immobilier. Il a soutenu l'expansion américaine et permis de digérer l'explosion de la bulle Internet. Les ménages ont tenté de récupérer dans la pierre ce qu'ils ont perdu dans les valeurs du Net. De quoi alimenter leur consommation, jusqu'à un taux d'épargne négatif. Mais il y avait, jusque-là, une sorte de cercle vertueux d'«effet de richesse» : la valeur des biens immobiliers a poussé les propriétaires à multiplier les hypothèques rechargeables pour consommer davantage. Et alimenter la croissance. Ce mécanisme-là se tarit considérablement.

Quel impact pour la croissance américaine ?
Cela va inévitablement l'affaiblir : les ménages vont moins consommer et devoir épargner. La question, c'est de savoir comment et à quel rythme. Malgré la pause décidée hier par la Réserve fédérale américaine, la hausse des taux d'intérêt risque de se poursuivre. Les taux d'intérêt à long terme, qui jouent beaucoup sur l'immobilier, restent encore à des niveaux acceptables : 4,91 % à dix ans sur les emprunts d'Etat. Et ils servent de valeur refuge en cas d'incertitude géopolitique. On pensait, depuis trois ans, qu'ils allaient augmenter ? On s'est tous plantés.

Mais les Etats-Unis vivent sous la menace de leurs déficits jumeaux, budgétaire et commercial ?
Oui, mais le déficit budgétaire s'est plutôt réduit en 2005, à 317 milliards, soit 2,6 % du PIB. Motif : les plus-values fiscales et les rentrées d'impôts liées au bénéfice des entreprises. Le déficit extérieur, lui, a explosé : plus de 800 milliards de dollars, soit 6,4 % du PIB. Si la croissance ralentit, cela va recreuser le déficit budgétaire, le dollar va s'affaiblir : c'est là l'épée de Damoclès sur l'économie mondiale...

Sans parler du chômage en hausse, de l'inflation qui flambe avec le pétrole, du financement des fonds de pension, de...
L'inflation, c'est relatif ! On n'est pas face à ce qu'on appelle «un effet de deuxième tour», puisque la hausse des prix de détail et des prix de l'énergie n'a pas entraîné de «dérapages» salariaux. Les hausses de salaires ont été digérées par les gains de productivité des firmes américaines. Avec la mondialisation, les firmes évitent de trop répercuter le choc énergétique dans leurs prix de vente.

Mais les ménages s'endettent !
Je ne milite pas pour la lecture intégrale de la «Bibliothèque rose» ! La hausse des taux d'intérêt à venir révélera le phénomène de surendettement, masqué jusque-là par d'aussi faibles taux.


Marty
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asi77
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Posté - 10 août 2006 :  18:40:26  Voir le profil
merci Marty pour cet intéressant article.



... finalement, rien ne vaut une simulation achat/location pour bien comprendre : http://asi77.free.fr
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vttdechaine
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Posté - 16 août 2006 :  13:58:22  Voir le profil
Page très interessante de l'INSEE concernant le bâtiment et l'immobilier.

http://www.insee.fr/fr/indicateur/tableau_de_bord/fiche_tableau_de_bord.asp?id_tbc_the=3

Voir principalement les parties sur les ventes, la demande, la construction et les stocks.

Marty
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vttdechaine
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Posté - 16 août 2006 :  14:15:50  Voir le profil
Nouvelles du marché américain (corrélé au marché français depuis une belle lurette - voir à ce sujet les statistiques sur adef.org).
Les chiffres de vente -7% sur le marché global mais certains états dépassent les -25%.

http://www.realtor.org/Research.nsf/files/REL06Q2S.xls/$FILE/REL06Q2S.xls

Marty
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