****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Titre : "Faut-il acheter de l'immobilier ancien dans Paris aux prix actuels ?" Date : 30 mars 2007 Source : tradingsat.com
Citation :Nous nous placerons ici strictement sur le plan qui est le notre ; le plan financier.
Voyons d’abord la rentabilité du placement. Celle-ci tourne pour un investisseur particulier entre 3 et 6 % brut pour un appartement à partir de 100 m2. Quand je dis brut il n’y a pas seulement les impôts à déduire, mais aussi éventuellement les frais des agences qui s’occupent de la gestion de votre appartement si vous aurez à le louer. Si vous l’habitez, comparez la rentabilité des autres placements avant de décider si vous devenez acquéreur ou non. N’oubliez pas bien sûr d’y inclure le coût du crédit.
La plupart de mes interlocuteurs me rétorquent alors : premièrement les loyers s’évaporent alors que les mensualités du crédit vous permettent d’acquérir un bien. Deuxièmement au bout d’un certain temps vous ne paierez plus de loyer. Troisièmement ce bien va prendre de la valeur.
Aux deux premiers arguments, il est facile de répondre que en réalité vous recevez un service (le fait d’habiter quelque part) contre un paiement (loyer ou mensualité) et qu’il faut évaluer le coût comparatif de ce service dans les deux cas. Sans oublier d’y ajouter la taxe foncière et l’éventuel ISF. Examinons maintenant le troisième argument.
Un bien immobilier a des chances de prendre de la valeur quand il est acheté en bas de cycle et non en haut d’un cycle, (ce qui est le cas aujourd’hui). Bien sûr, il existe toujours des opportunités qui font que un bien est sous coté pour toutes sortes de raisons et qu’ il présente des opportunités d’investissement. (comme en bourse pour certains actifs sous cotés). Mais il n’y a pas que les marchés financiers qui connaissent des vents de folies, le marché immobilier est aussi victime de ces accès et souvent de façon plus durable, car il concerne plus de gens et surtout de nombreux organismes se mettent en oeuvre pour attiser le feu.
D’autre part quand on achète un bien immobilier on regarde rarement les charges qui peuvent surgir. Je ne parle pas des charges courantes, mais des charges d’entretien qui sont à rajouter au prix d’acquisition et qui seront à comparer avec l’éventuelle plus-value.
Franchement, je ne vois pas où il trouverait une rentabilité brute supérieure à 4% (240€/an pour un logement ayant coûté 6000€/m², frais et travaux compris, avec ça on n'a que du très très moyen), dans Paris? Pourquoi alors "3 à 6%"? Pour les chambres de bonne?
Je trouve qu'il y a une plus grande visibilité sur la Bourse actuellement. Mais qui peut prédire l'avenir ? Mme Tessier, hier. ouaf, ouaf.
----------------- Je pourrais aussi dire que cliquer sur le pseudo d'un membre et parcourir ses textes sont d'une grande utilité, car les dialogues étaient bien enrichissants.
Ayez le courage de remonter les pages qui pour certains en ont plus de 501 PAGES composées de 24 SUJETS chacune en moyenne. IL Y A DE LA BONNE LECTURE A PRENDRE. FASTIDIEUX MAIS TRES INSTRUCTIF.
"Un bien immobilier a des chances de prendre de la valeur quand il est acheté en bas de cycle et non en haut d’un cycle, (ce qui est le cas aujourd’hui). "
Ceux qui ont acheté en 90 et qui ont vendu dernièrement ne s'en sont pourtant pas si mal sortis.
Encore faut-il pouvoir acheter et vendre au moment que l'on choisit.
Pour la plupart des particuliers, hormis les bailleurs et investisseurs, l'achat d'un logement est déterminé par des facteurs non économiques (agrandissement ou réduction de la famille, mutation professionnelle, succession...).
Choisir d'acheter en haut de cycle, comme maintenant, est un pari risqué si l'on n'est pas sûr de pouvoir vendre en haut du cycle suivant. Et qui peut en être sûr ?
"Un bien immobilier a des chances de prendre de la valeur quand il est acheté en bas de cycle et non en haut d’un cycle, (ce qui est le cas aujourd’hui). "
Ceux qui ont acheté en 90 et qui ont vendu dernièrement ne s'en sont pourtant pas si mal sortis.
Oui. Ca veut dire que le marché actuel est plus cher que 90 et qu'on est est en haut de cycle vec une tendance baissière à venir.