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En attendant que vous cherchiez des éléments factuels, en voici d'autres qui ne vont pas dans votre sens:
http://www.rmc.fr/edito/info/54991/debut-de-crise-dans-limmobilier-/
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Il n'y a pas de crise immobilière ", selon Christine Boutin
[ 02/07/08 - 10H41 ]




La ministre du Logement Christine Boutin a estimé mercredi qu'il n'y avait " pas de crise immobilière " et qu'il n'y aurait pas de " forte diminution des prix " à l'avenir, compte tenu de la structure de l'offre et de la demande.
" Pour moi, il n'y a pas , a affirmé Christine Boutin, ministre du logement, dans un entretien au quotidien économique La Tribune. " Dans la mesure où la demande demeure très forte et l'offre stagne, personnellement je ne crois pas à une forte diminution des prix ", a-t-elle ajouté. Selon Mme Boutin, " il est nécessaire de construire, construire et construire encore ". S'adressant "à ceux qui sont inquiets", la ministre du Logement a rappelé que "le tassement du marché" n'est "pas comparable à ce qu'on a pu connaître dans les années 1990-1992, où la demande était inférieure à l'offre". Pour la ministre, la situation actuelle de l'immobilier est "un dégât collatéral de la crise financière mondiale, qui impose aux banques françaises d'être plus exigeantes pour l'octroi de prêts aux particuliers et aux promoteurs". Dans ce contexte, Mme Boutin indique être "très attentive à l'évolution des taux d'intérêt", précisant que la hausse des taux "a amputé la capacité d'achat des acquéreurs de l'ordre de 12%" depuis 2005 et de 2% sur avril et mai 2008. (avec AFP)

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Initialement posté par Gei

Vous voulez dire que vous sortez d'une gigantesque partie de Monopoly où, pour se rappeler le bon temps de la bulle immobilière, des AI fiévreux se sont achetés et vendus des petites maisons vertes et des gros hôtels rouges !?

Le management de la force de vente, c'est tout un art...

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Initialement posté par jcm

Eh bien votre sens de l'humour est méprisant.
Et votre lien ne fonctionne pas.

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Initialement posté par isaline

Fanette44,

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le marché est bloqué, les vendeurs gardent leurs biens soit pour continuer à y habiter soit pour le mettre ou remettre en location.
L'immobilier ce n'est pas comme la bourse, du papier qui brûle, les propriétaires n'ont rien perdu

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En êtes-vous vraiment persuadée ????? Pouvez-vous me dire quel est votre intérêt à conserver un bien (remboursé et acheté il y a plus de 15 ans naturellement) dans un contexte de baisse ??? Petit exemple : prenez une baisse de 0,8% par trimestre (c'est bien ce qui est observé...), cela vous fait une baisse de la valeur de votre bien de 3,2% sur l'année. Une ASV fonds euros est à 4,05% net de tout. Pour compenser la différence entre votre -3,2 et un +4,05, il faut que le loyer payé vous laisse une fois payés les charges et impôts un rendement annuel de 7,25%... Difficile à trouver n'est-ce pas !? (et je vous laisse faire les calculs pour 1,5% de baisse trimestrielle, ce qui correspond à de plus en plus de prévisions pour 2008 - 2009).

Isaline

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Le Livret A grignoté par l'inflation
par Amélie Laurin


Au 1er août, le produit phare de l’épargne réglementée devrait passer à 3,75 %, voire à 4 %. Un coup de pouce bienvenu, mais insuffisant.

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Initialement posté par FORBAN

depuis quelques jours, j'ai des vendeurs qui appellent, poussent la porte de l'agence, complétement affoler, car pas de visite même de PAP
ils baissent leur prix, c'est vrai que beaucoup etaient bien au dessus du prix de marché. ILs avaient le sentiment d'avoir un chateau et malheureusement certains AI leur ont fait croire;
Certains de la profession ont creusé leur tombe en surestiment des biens pour les prendres en exclu et faire plaisir aux clients pour leur vendre un autre habitation
Il faut revenir à la réalité et être près de ses vendeurs pour les aider à passer le cap et nous aussi car les affaires ne sont pas florissante. Je plains les AI qui ont différents négos qu'il faut payer même sans chiffre d'affaire
courage le ciel va bien a un moment redevenir bleu
bon courage à tous

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Vendredi 04 juillet 2008 à 16:41
"Il n'y a pas de crise de l'immobilier"
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sur VIADEO Catégorie : Immobilier
(Lavieimmo.com) - « Crise de l’immobilier ? Quelle crise ? », se demande le réseau L’Adresse dans un communiqué publié vendredi.

Serge Redon, directeur du réseau, a récemment indiqué que l’enseigne a enregistré en moyenne une progression de 2% de sa production (compromis générés) au cours des cinq premiers mois de l’année, ainsi qu’une progression de 14% en encaissé (réalisations concrétisées). « Certes, le marché est plus tendu, notamment dans le neuf, mais le ralentissement dans l’ancien est progressif », a estimé Serge Redon. Il n’y a donc pas de crise de l’immobilier comme on voudrait le faire croire ».

V.J.

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Les agents immobiliers n’ont plus peur d’évoquer la baisse des prix
Après plusieurs mois de méthode Coué, les agents immobiliers évoquent désormais une probable baisse des prix. Century 21 et Laforêt immobilier se sont exprimés cette semaine, pour admettre
un possible recul des prix de l’ancien de 10 à 15% d’ici à la fin de l’année.
Marché tiraillé
‘’Depuis un an, nous sommes entrés dans une période d’ajustement du marché immobilier qui, pour l’heure, ne fait en apparence que tester ses lignes de résistance’’ veut croire Hervé Bléry, président de Century 21 France. Selon lui, le marché reste tiraillé entre plusieurs aspects contradictoires.

La faible variation du prix moyen par m2 français à 2 554 euros selon Century 21, en hausse 0,72% sur 6 mois, pourrait être interprétée hâtivement comme une stabilisation des prix tout juste calés sur la pente de l’inflation. Mais ce premier chiffre cache des disparités régionales plus contrastées : à l’intérieur même de chaque région, les écarts se creusent entre les prix en centres villes qui résistent et les banlieues et grandes banlieues où les prix accusent déjà des baisses atteignant souvent 10%. La région maudite est le Limousin où les prix ont perdu 7,59% en 6 mois. La région bénie, la Lorraine, qui dans le même temps enregistre une évolution des prix de + 9,22%.

Vendeurs trop gourmands
Deuxième tiraillement entre la demande structurelle, qui est solide, et la demande solvable, de plus en plus réduite. Les causes sont bien identifiées dans la mesure où elles sont en train de devenir des causes nationales : resserrement des critères d’octroi des prêts par les banques, hausses des taux de crédit et renchérissement du prix des carburants.

Enfin troisième grand écart, entre les aspirations des vendeurs à faire de juteuses plus-values, et le budget réaliste des acquéreurs. Trois grands écarts qui vont continuer tirailler le marché en 2008 pour aboutir à une baisse du volume des ventes dans l’ancien de l’ordre de 15%, selon le réseau Century 21.

Ristourne de 10%
Chez Laforêt immobilier, on essaie de prendre les choses du bon côté. Patrick-Michel Khider et Bernard de Crémiers, coprésidents fondateurs de l’enseigne se réjouissent de « passer d’un marché de pénurie à un marché d’équilibre ». Une situation qui conduit déjà les acheteurs à demander des ristournes de 10% sur les prix affichés par les vendeurs. Cette tendance baissière devrait conduire à un recul des prix estimé là encore a -15% d’ici à deux ans. « Pour notre enseigne, cette correction de prix ne représente rien d’inquiétant. Un « bon » marché est un marché fluide où il y a des transactions », explique-t-on chez Laforêt, où décidément, on mise sur le mental.

De son côté, le réseau Guy Hoquet ne veut pas donner de chiffres sur la conjoncture. Mais il prévoit une baisse de 15% de ses activités cette année. C’est le bon moment pour engager une opération séduction, d’autant qu’une étude commandée par l’enseigne révèle que 66% des Français ont une mauvaise opinion des agents immobiliers. Selon Guy Hoquet, «en période de crise, nous devons plus que jamais porter nos efforts sur le renforcement de notre expertise et sur la qualité de la relation client.» Pas sûr que le grand sourire et le petit café suffisent pour soutenir le marché.

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SI vous avez une bonne adresse à prix cassé à Paris, n'hésitez pas Prados

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La ministre du Logement Christine Boutin a estimé mercredi qu'il n'y avait " pas de crise immobilière " et qu'il n'y aurait pas de " forte diminution des prix " à l'avenir, compte tenu de la structure de l'offre et de la demande.

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Initialement posté par Prados

Fanette44,

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SI vous avez une bonne adresse à prix cassé à Paris, n'hésitez pas Prados

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J'en ai. mais elles ne sont pas pour vous.

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La ministre du Logement Christine Boutin a estimé mercredi qu'il n'y avait " pas de crise immobilière " et qu'il n'y aurait pas de " forte diminution des prix " à l'avenir, compte tenu de la structure de l'offre et de la demande.

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Et c'est tout ce que vous avez trouvé? En quoi la ministre du logement est-elle parole d'évangile? Vend elle des biens immobiliers à ses heures perdues?
Cherchez, Fanette44, cherchez.... J'ai le pressentiment que l'été va être chaud pour les vendeurs.

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La ministre du logement doit tout de même avoir quelques rapports sous les yeux.

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La gaffe d'une ministre révèle le malaise immobilier
Par Florence Floux, mis à jour le 15/05/2008 - publié le mercredi 14 mai 2008, mis à jour à 18:09

Une note en possession de la ministre du logement dévoile les craintes du gouvernement britannique à propos des prix immobiliers pour cette année.

La ministre britannique du logement Caroline Flint ne pensait pas déclencher un tel événement médiatique en se rendant au 10 Downing Street le lundi 12 mai. Mais c'était sans compter les photographes qui l'ont non seulement prise en photo alors qu'elle se rendait à pied à la réunion, mais qui ont également eu l'idée d'agrandir les images des documents qu'elle avait en main.

On a donc pu voir dans les journaux britanniques de ce mercredi des extraits de cette note officielle. "Les prix de l'immobilier devraient baisser de 5 à 10% cette année", pouvait-on lire. Une nouvelle qui fait peur aux analystes financiers et qui a eu l'effet d'une bombe de l'autre côté de la Manche.
"Cette note n'a fait que révéler des choses que les experts avaient déjà annoncées", a expliqué Caroline Flint dans une tentative pour apaiser les esprits. Mais le document indiquait tout de même qu'"il est impossible de savoir réellement à quel point pourraient chuter les prix". Une bien mauvaise nouvelle pour les investisseurs et les propriétaires.

Le document de Caroline Flint dresse un parallèle avec le crash immobilier des années 1990, ce qui fait craindre le pire aux analystes, d'après le Times. D'autant plus que, de leur côté, les constructions de logements stagnent. Pas de quoi réjouir les amateurs d'immobilier en ces temps de crise économique.

Il est vrai qu'une baisse des prix immobiliers n'est pas vraiment chose courante en Angleterre. Sur les cinq dernières années, ils ont augmenté de 45,5%, rappelle le Telegraph.

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Prados vous qui n'êtes même pas capable de relouer un logement à Courbevoie sans le baisser alors qu'il y a une forte demande en locatif vous devriez vous abstenir de jouer au donneur de leçons.

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Initialement posté par Prados

Fanette44,
Je penserai à l'immobilier francais ce soir pendant le feu d'artifice du 4 juillet.

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Initialement posté par Prados

Fanette44,

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Prados vous qui n'êtes même pas capable de relouer un logement à Courbevoie sans le baisser alors qu'il y a une forte demande en locatif vous devriez vous abstenir de jouer au donneur de leçons.

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C'est même moi qui ai proposé la baisse au locataire. Je préfère un locataire heureux de payer un loyer en dessous du marché.

PS: Je ne donne pas de lecon. Je fait part de mon expérience, qui ne vaut que ce qu'elle vaut. Je ne demande pas à personne de me lire, ni à suivre mes dires. Regardez donc ma signature.

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La Tribune.fr - 07/04/08 à 19:02 - 436 mots

Immobilier
Le marché français de l'immobilier est-il contaminé par la dégringolade des prix dans le monde ?
Pour la première fois, le monde entier semble touché par une crise immobilière, malgré les spécificités de chaque marché. La contamination se fait par le biais des hausses de taux et de la psychologie des acteurs.
De Londres à Tokyo, de Sydney à Tallinn, les prix de l'immobilier baissent. Mondialisation oblige, c'est sans doute la première fois de l'histoire qu'un tel phénomène a lieu, à des degrés divers, certes, mais quasiment partout en même temps. Auparavant, l'éclatement d'une bulle ne touchait qu'un pays à la fois, ou quelques-uns seulement. Les éléments, qui ont entraîné la hausse des prix de l'immobilier ces dernières années, vont de taux d'intérêt historiquement bas à la nouvelle croissance de certains pays, Espagne ou Irlande, en passant par le rattrapage économique en Europe de l'Est ou en Asie. Résultat, entre 1997 et 2007, les prix ont bondi de 300% en Irlande, de 220% au Royaume-Uni, de 200% en Espagne par exemple.

Cependant, toutes les économies ne sont pas logées à la même enseigne. Leurs spécificités expliquent ces différences. Il y a par exemple l'habitude de contracter des prêts à taux variables, comme en Espagne, ce qui, en période de renchérissement du coût de l'argent, ne peut que plomber le marché.

Il y a également la coutume de s'endetter très fortement pour acheter un appartement coûte que coûte, comme au Royaume-Uni, ce qui produit le même effet sur le marché. Et quand, comme cela a été le cas aux États-Unis, on cumule les deux, c'est la catastrophe assurée! À l'inverse, emprunts à taux fixe et ratio revenus sur dettes immobilières plus faible sont de nature à protéger certains marchés. C'est vrai pour la France, où les emprunts à taux fixe comptent pour 90% de tous les prêts, et où l'encours de crédit par rapport aux revenus n'atteint que 53%. Les prix ont reculé de 4,3% sur un an chez nous, mais de 6,9% en moyenne outre-Atlantique, de 6,3% outre-Manche, de 8% au-delà des Pyrénées.

En fait, si contamination il y a entre marchés, elle vient d'un autre phénomène: la hausse des taux, qui est générale, en cette période de retour de l'inflation, et la crise financière, due en partie à celle des emprunts à risques aux Etats-Unis, et qui a fragilisé les banques, ce qui les rend moins enclines désormais à prêter de l'argent.

latribune.fr

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