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Emmanuel WORMSER
Modérateur
20024 réponses |
Posté - 02 avr. 2009 : 08:20:37
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ce que je veux dire, Dominique, c'est l'inscription en ER d'un secteur du PLU ne présage en rien de la réalisation effective d'une voie DFCI... qu'elle est donc à mon sens parfaitement inutile ! |
cordialement Emmanuel Wormser
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maevagolf
Nouveau Membre
7 réponses |
Posté - 05 mai 2009 : 19:50:54
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Citation : Initialement posté par larocaille
Citation : Initialement posté par JEAN6
Pour répondre, à Larocaille, je dirai que je suis en désaccord sur un certain nombre de points
Un PPRif contient un grand nombre de recommandations et non que des obligations, l'exemple apporté par Sacados en est un ; ces recommandations peuvent porter sur la réalisation d'ouvrages de défense qui ne sont pas forcément des obligations ; et seul le texte du règlement permet de le déterminer
Un réglement aussi strict qu'un PPRIF ne peut pas laisser les choses au bon vouloir des uns et des autres, sinon il ne sert à rien. Pour moi, les recommandations sont bien des obligations puisque le Préfet pourra vérifier si ses recommandations ont été suivies d'effet. J'interprète la recommandation comme une injonction polie faite au maire de prendre l'arrêté correspondant.
Citation : A ma connaissance aucun PPRif ne contient d'obligation de moto-pompe, seulement la recommandation d'en disposer d'une ( si piscine évidemment) ; tiens voilà un exemple !
En ces termes précis, je n'en ai pas encore vu, mais derrière des termes tels "moyens autonomes d'aspersion d'un débit minimal de 3 mètres cube heure et d'une autonomie d'au moins 3 heures", il y a 90% de chance que le moyen exigé soit satisfait par une motopompe. Par contre j'ai déjà lu des PPRIF imposant de disposer d'une piscine ou d'un bassin de retenue d'eau. Le plus drôle, c'est que certains PLU n'autorisent pas cette piscine imposée par le PPRIF couvrant la même zone.
Citation : En revanche, nous sommes d'accord - et "je ne réve pas" - sur la commission de l'erreur faite qui consisterait à intégrer dans la révision d'un PLU le zonage PPRIF, de manière contraire à ce que disent les textes sur les PPRif, qu'une lecture - mais un peu rapide - de l'article L 126-1 du code semble annuler `
Mais contrairement à ce que vous écrivez annexer un Pprif à un PLU ne veut pas dire intégrer ; conséquences identiques mais procédure distincte et pour le reste nous sommes d'accord et vous dites "non" alors que nous sommes d'accord
Pour annexer un PPRIF à un PLU il faut réviser le PLU. Je n'en dirais pas plus pour éviter les discordes.
Citation : Enfin, sur l'autorisation de reconstruire en zone rouge, vous n'avez pas répondu à ma question que je peux formuler autrement, si un PPRIF classe rouge et non défendable un secteur, n'est-il pas vain me dit-on dans certains règlement de PPRIF d'autoriser une reconstructibilité alors qu'à mon sens le permis sera refusé en application de l'article R 111-2 au vu de la qualification de ce secteur au PPRif. Qu'en pensez-vous ? Autrement j'ai l'impression que cette clause n'est qu'un sommiphère destiné à la crédulité des élus et administrés auxquels on annonce l'absence de conséquence sur le bâti d'un classement en zone rouge ? Est-ce que vous partagez cette impression
Contrairement, à des idées un peu trop vite reçues, rien n'impose qu'une zone rouge soit inconstructible. Il existe de nombreux PPRIF où la construction en zone rouge est juste soumise à conditions de défense passive (matériaux) et/ou active (moyens individuels de défense). Les conséquences sur le bâti sont donc uniquement celles que le PPRIF prévoit. Je ne crois pas un seul instant à une éventuelle incrédulité des élus sur ce point, et dans de nombreux cas les qualificatifs de cynisme et de partisanisme sont les plus justes.
D'autre part, des sujets restent tabous, comme l'accroissement de la vulnérabilté des espaces boisés classés en zone rouge, ou encore de savoir ce qui justifie de maintenir en zone rouge un espace sinistré.
Citation : Enfin, je me pose une question peut-être idiote : Sur l'existant endommagé par quoi que ce soit, à partir de quel stade, quelle gravité des dommages subis, doit-on déposer un permis ou une DP ? Quelle est la limite entre réparation et reconstruction ?
La question est judicieuse car la réponse des autorités en la matière sera certainement empreinte du cynisme et du partisanisme déjà évoqué. Au niveau purement légal et réglementaire, je distinguerais l'ampleur du sinistre selon qu'il provoque ou non des modifications substancielles sur l'aspect extérieur du bâtiment. L'effondrement du toit ou des murs nécessitera un PC ou une DP pour remettre le bâtiment en état, et exposera le propriétaire au bon vouloir des autorités. Mais si les réparations peuvent être réalisées sans modification de l'aspect extérieur du bâtiment, aucune autorisation n'est exigible. En effet, une particularité de la reconstruction à l'identique réside dans le fait que la loi considère que le sinistre a un effet définitif et que c'est de l'aspect sinistré du bâtiment qu'il convient de tenir compte pour apprécier à quelle autorisation la réfection sera soumise. La marge de manoeuvre peut être importante puisque sans autorisation il est possible de remplacer des éléments de charpente, des huisseries et tout autre élément du bâtiment qui aurait conservé son aspect à l'issue du sinistre. Si il y a un conseil à donner à un propriétaire sinistré en zone rouge, c'est de refuser toute inspection de ses bâtiments afin qu'il préserve les quelques libertés que le Code de l'Urbanisme lui accorde. Sur le fond, la fameuse (ou fumeuse) clause d'interdiction de reconstruire après sinistre est tout à fait contestable car elle soumet le propriétaire à une "peine" sans qu'il soit nécessaire de prouver qu'il ait commis une faute. Cet aspect "pénal" en contradiction avec les droits constitutionnels devrait devenir d'actualité dans les années à venir. Pour l'instant, de nombreuses procédures sont engagées sur le corollaire immédiat de la dépréciation des biens situés en zone rouge et assujettis à la clause de non reconstruction. La jurisprudence en la matière est intéressante puisqu'elle admet la "gratuité" des mesures d'utilité publique tant qu'elles apportent un bénéfice aux administrés en compensation des efforts qu'ils consentent.
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maevagolf
Nouveau Membre
7 réponses |
Posté - 05 mai 2009 : 19:56:21
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Contrairement, à des idées un peu trop vite reçues, rien n'impose qu'une zone rouge soit inconstructible. Il existe de nombreux PPRIF où la construction en zone rouge est juste soumise à conditions de défense passive (matériaux) et/ou active (moyens individuels de défense).
MESSAGE POUR LAROCAILLE
Concerné par un PPRIF drastique sur ma commune du BOULOU(66) je voudrai savoir dans quel PPRIF il était autorisé de reconstruire en zone rouge? on me dit que c'est impossible!! merci d'avance
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Emmanuel WORMSER
Modérateur
20024 réponses |
Posté - 05 mai 2009 : 20:23:06
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Larocaille est en congés... seriez vous résident du lotissement des chartreuses ? |
cordialement Emmanuel Wormser
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JEAN6
Pilier de forums
302 réponses |
Posté - 05 mai 2009 : 20:39:46
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Alors là. M. Worsmer, vous me bluffez ... de Grenoble aller sortir un article d'avant hier de mon cher vieil Indépendant ... et que vous connaissiez le lotissement des chartreux ou euses... ( moi, qui connais bien ce coin ... j'aurais dit le "lotissement des Albéres" et me serais trompé...) Il est vrai que Le Boulou, Soréde etc comportent de grands lotissements ... )
Pour répondre au nouvel intervenant :
Même si je suis en désaccord avec la majeure partie des écrits de La Rocaille, sur ce seul sujet, écrits que vous avez repris, la curiosité de PPRif à zone rouge annoncée reconstructible est à voir dans le Var à compter du second Pprif qui y fut publié celui de Saint Raphael, le tout entouré de plein de circonvolutions ;
le fait qu'un Pprif n'interdit pas la reconstructibilité, ne rendra pas pour autant cette dernière possible en application du R 111-2 ...
Prescrire un PPRif au pays de l'une des meilleures eaux qui soit...mais c'est une ânnerie ...
Vous devez intervenir fortement et de manière très documentée auprès du commissaire enquêteur
Une intervenante, Mout, nous a expliqué que l'enquête publique sur sa commune ( mais je crois en dehors de vos "PO" ou 66 ) avait abouti à un avis défavorable
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JEAN6
Pilier de forums
302 réponses |
Posté - 05 mai 2009 : 20:51:25
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Votre dossier du Boulou pose un autre problème, celui des conseils municipaux qui donnent des avis favorables sous réserves, comme celui de votre conseil en février dernier, soit :
de donner un avis favorable à l’élaboration du projet du PPRIF avant enquête publique. que cet avis est émis sous réserve que soient améliorées les limites de zonage en bleu, dans le secteur des « Chartreuses du Boulou » (dont plan ci-joint), compte tenu de l’engagement des co-lotis par rapport aux travaux effectués d’une part, et ceux que la commune s’engage à réaliser (chemin DFCI) d’autre part.
Il faut exiger de votre maire qui va être entendu par le commissaire enquêteur qu'il proteste vigoureusement contre le zonage proposé sur votre lotissement avec des arguments précis à la clef
Mais il aurait mieux valu que la conseil municipal prenne un avis défavorable en l'état de ce zonage et non pas un avis favorable sous réserve |
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maevagolf
Nouveau Membre
7 réponses |
Posté - 08 mai 2009 : 09:47:48
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alors bravo!! effectivement je fais partie du lotissement des chartreuses au boulou. notre ASL a rencontré le commissaire en queteur,le sous prefet,le maire mais nous sommes confronté à des administratifs tres psycho rigide qui détiennent la vérité on peut se demander comment faire face à un responsable de la sécurité qui vous dit que pour des raisons de responsabilités, le prefet n'accepte pas comme dans le var des pprif "conditionnels", qui aime qu'on l'attaque en justice car cela conforte sa position par une jurisprudence.... bref l'enquéte publique se termine le 11 mai et on sait déjà que l'avis du commissaire sera vraiment consultatif et que l'on sera traité de la même maniére qu' à collioures, argeles sorede laroque montesquieu....rouge rouge rouge ils m'ont dit en réunion que le pprif avec droit de reconstruction ou construction n'existait pas, car cela est contraire au texte pouvez vous me donner la copie du pprif qui prouve le contraire ? Merci à tous |
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Emmanuel WORMSER
Modérateur
20024 réponses |
Posté - 08 mai 2009 : 09:49:58
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je maintiens pour ma part ma conviction qu'une zone rouge de PPRIF ne peut pas être constructible.
c'est donc bien le classement "rouge" qu'il faut contrer, pas le règlement de la zone rouge !
il doit exister dans le dossier un tableau permettant, de manière formelle, de déterminer la couleur de la zone en fonction des enjeux (axe1), avec prise en compte de la vulnérabilité de l'enjeu (axe 1bis), de l'aléa (axe2), avec prise en compte des mesures de protection contre l'aléa (axe2 bis) : c'est sur ce tableau qu'il faut s'appesantir à mon sens. |
cordialement Emmanuel Wormser
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Edité par - Emmanuel WORMSER le 08 mai 2009 10:02:48 |
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maevagolf
Nouveau Membre
7 réponses |
Posté - 08 mai 2009 : 10:22:34
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ce qui est incroyable c'est que l'on a absolument pas tenu compte du travail de débroussaillement réalisé.nous avons dépensé l'année derniére 85000€ pour nous mettre aux normes de 50m le calcul d'aléa reste indentique à 2007 malgré nos démarches. si nous passons à 100m, c'est X4 ce travail et la dépense.... il y a chez nous beaucoup de retraités dont la maison est la seule fortune!pourront ils payer? Notre espoir est que la mairie fasse les travaux demandés(échappatoires sup et débroussaillement)et que nous puissions faire une révision du pprif avez vous connaissance d'une quelconque déduction fiscale pour ces travaux de débroussaillement obligatoires du pprif? |
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Emmanuel WORMSER
Modérateur
20024 réponses |
Posté - 08 mai 2009 : 10:28:08
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avant de parler déduction fiscale, j'attire votre attention sur la nécessaire distinction entre obligation de débroussaillage -qui permet de continuer à habiter actuellement sur place, en fait- et inconstructibilité de la zone -qui ne concerne que l'interdiction de multiplier dans l'avenir les constructions existantes et donc d'augmenter l'enjeu.
distinguez bien les deux... |
cordialement Emmanuel Wormser
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Edité par - Emmanuel WORMSER le 08 mai 2009 10:42:24 |
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JEAN6
Pilier de forums
302 réponses |
Posté - 08 mai 2009 : 15:35:04
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Pour répondre à Maevagolf tout un lot de réponses qui se veulent pragmatiques :
déductibilité des travaux de débroussaillements : Non
sauf deux axes,
vous êtes en ASA- et pas en ASL - et l'ASA a notamment pour objet la DFCI, dans ce cas et depuis 2007,déduction de la moitié des cotisations syndicales jusqu'à 1 000 euros, soit 500 euros à déduire de votre IR
éventuelle possibilité de la déduction des travaux ménagers, style chèque emploi service, si effectué par un employé qui vous soit propre ( à voir)
50 m de débroussaillement
Objectivement en interface sur zone naturelle, c'est peu ; le débroussaillement périmétrique est d'ordinaire fixé à 100 m par les PPrif, et ce n'est pas idiot
Attention, le PPRIf peut obliger les secteurs rouges et bleux à débroussailler ; ne pas le faire sera dorénavant constitutif d'un délit ( et non comme avant Pprif d'une contravention )
Il est quasi certain que les 50 m correspondaient à l'arrêté préfectoral applicable au département et pas aux seules communes priffées ; en vous mettant à 50 m, vous n'aviez fait que respecter une obligation antérieure...
Lorsqu'on est confronté à un PPRIF, contrairement à ce que vous semblez faire, il ne faut surtout pas se plaindre du coût du débroussaillement, puisque ce dernier est la seule solution pour tenter de combattre les zones rouges ; il ne faut pas courir deux lièvres à la fois et tout au contraire, il faut se battre sur l'acceptation du débroussaillement par les colotis et sur ses conséquences en termes de réduction du risque ; d'ailleurs le question se pose d'un risque et d'un zonage rouge en aval d'un débroussaillement périmétrique de 100 m
Les zones conditionnelles du Var
Il n'est pas absurde que le préfet des PO refuse de suivre son collègue du Var puisque les zones conditionnelles du Var sont illégales sauf à être appliquée à une zone d'urbanisation future
La psycho rigidité des services
Le mot est terriblement exact ; la seule manière de tenter de s'en sortir, c'est d'agir de manière quasi professionnelle ; en particulier il eut fallu démontrer techniquement que les travaux faits avaient été de nature à réduire le risque initial ; par exemple et s'il existe chez vous une zone périmétrique de 100 m, démontrer l'absurdité du classement rouge en aval de cette zone, ne pas hésiter également à démontrer qu'il est aberrant que les cotisations syndicales des uns restés en rouge servent au classement en bleu des autres colotis, dans le même lotissement ; il aurait fallu convaincre un bureau d'études de travailler à vos cotés , un expert judiciaire, voire recueillir des avis autorisés d'anciens cadres des SDIS, des sociétés spécialisées dans les problèmes forestiers, etc Bref un sacré boulot qui passe d'abord par la mobilisation totale des compétences en interne.
Sur Internet, on trouve des travaux réalisés par des ASL à l'occasion des enquêtes publiques ( à BIOT 06, je crois ) et qui peuvent servir d'exemples ; mais pour vous c'est trop tard ( le 11)
La prise en charge par la commune
GRos problème, le code forestier interdit la prise en charge des débroussaillements par les communes, même si ces dispositions sont ignorée dans certains PPRIF ; cela dit à la décharge des PPRIFmen, comment faire quand ce débroussaillement porte sur la zone périmétrique d'une interface qui n'est pas un lotissement et ne connaît pas d'associations de propriétaires ; en ce qui vous concerne puisqu'Asl, il est légal que la charge du débroussaillement vous soit laissée..
La suite
Il vous attendre le rapport du commissaire enquêteur, et la suite ...
Dés que l'arrêté sera publié, il sera souhaitable que vous l'attaquiez au Tribunal, mais avec un dossier techniquement solide . Sachez que la matière est très peu connue et très peu pratiquée et qu'elle est difficile
Collioure
Laroque,Argelés, je savais qu'elles étaient priffées, mais Collioure ? En êtes-vous sur ? |
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JEAN6
Pilier de forums
302 réponses |
Posté - 08 mai 2009 : 15:46:00
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Et dernières réponses
Zone rouge avec constructibilité : Inconnue au bataillon à ce stade
Zone rouge avec reconstructibilité conditionnelle des bâtiments sinistrés : cf PPrif de Saint Raphael - var - maisà mon sens intérêt de cette clause annulé par les dispositions nationales
Révision d'un PPRif dans l'avenir :
On peut réver.. La mise en place est tellement couteuse en budget et temps fonctionnaires que la révision en est illusoire , sauf à forcer la révision par une action TA, mais ....
Le seul exemple que je connais à Mandelieu (06) pour transformer en B1 l'emprise d'une grosse ZAC en cours qui était rouge, le tout financé par l'aménageur avec l'aide de l'Onf ; l'enjeu financièrement était considérable....
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JEAN6
Pilier de forums
302 réponses |
Posté - 08 mai 2009 : 16:00:28
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Et comme je suis en retard d'une guerre, je précise à Maevagolf qu'il n'existe pas de zones rouges où la constructibilité serait conditionnée à l'usage de dispositions constructives ( matériaux etc) ; ceci correspond aux seules zones bleues
zones rouges et zones bleues sont qualifiées de zones à risque, ou zones à danger pour les distinguer des zones NCR non concernées par le risque
D'où la probable origine de la confusion que vous avez commise. |
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