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Posté - 27 févr. 2010 : 01:56:45
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Bonjour à toutes et tous,
Je suis le nouveau président d'une ASL d'une résidence toute neuve, dont les 3 dernières maisons qui la compose ne sont pas encore vendues. Je suis stupéfait de voir qu'un de nos co-lotis à fait installer tout un pan de son toit en photovoltaïque !! Et cela en opposition à 2 articles du cahier des charges et sans aucune demande au préalable. Avant la pose de ces panneaux, alors que son prestataire commencait à déballer le matériel, j'ai signalé à ce voisin qu'il ne respectait aucune règle. La réponse fut laconique " Je fais ce que je veux chez moi, vous n'avez qu'à m'attaquer en justice".
Avez-vous déjà eu connaisance d'un cas similaire ? Pensez-vous qu'il faille aller en justice ? Je trouve l'attitude de ce voisin purement scandaleuse et irrespectueuse. Cela commence bien !! Nos murs ne sont meme pas secs !
Pour information, notre ASL est légalement effectuée, publication au JO + Greffe des Hypothèques. Le notaire a parfaitement fait son travail en faisant signer à chaque propiétaire le cahier des charges + statuts lors de la signature de chaque lot.
A vous lire
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Édité par - kalimasta7075 le 27 févr. 2010 02:02:30 |
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popolus
Contributeur actif
216 message(s) Statut:
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Posté - 27 févr. 2010 : 02:26:55
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Le cahier des charges a-t-il été publié à la conservation des hypothèques?
Que disent exactement les 2 articles de ce cahier des charges?
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CHRI64
Contributeur senior
638 message(s) Statut:
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2
Posté - 27 févr. 2010 : 06:54:08
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Le fond de la question est de savoir si l'ASL a qualité à agir auprès d'un co-loti ou si seul un autre co-loti peut le faire. La jurisprudence a tranché : l'ASL ne peut pas attaquer en justice hors obligation liée aux parties communes. |
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Piovem
Contributeur senior
France
523 message(s) Statut:
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3
Posté - 27 févr. 2010 : 08:06:31
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Mais ce co-loti est en infraction sur une chose essentielle: La modification de l'aspect des façades et l'apparence en général de l'ensemble immobilier. Je suis quasi-certain qu'un article quelconque doit le rappeler dans vos statuts. rien que pour ça il aurait dû vous demander la permission, ne serait-ce que pour harmoniser les futures installations, si jamais il obtient cette permission. Pour l'instant son installation est illégale. C'est à vous de trouver le petit article. Vous avez encore un restant d'hiver pour y passer vos nuits à éplucher les statuts, cahier des charges, actes notariés, etc. |
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CHRI64
Contributeur senior
638 message(s) Statut:
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4
Posté - 27 févr. 2010 : 09:10:34
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Pour la même raison que le fondement de la jurisprudence - caractère contractuel du CDC, étranger à l'ASL - celle-ci (par son Bureau) ne peut qu'avoir un rôle consultatif. |
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popolus
Contributeur actif
216 message(s) Statut:
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5
Posté - 27 févr. 2010 : 10:12:01
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Beaucoup d’ASL ont pour objet le contrôle de l'application du cahier des charges.
Est-ce le cas de votre association ?
citation: CHRI64: La jurisprudence a tranché : l'ASL ne peut pas attaquer en justice hors obligation liée aux parties communes.
Serait-il possible d’avoir les références de cette jurisprudence ? |
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CHRI64
Contributeur senior
638 message(s) Statut:
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6
Posté - 27 févr. 2010 : 10:30:03
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Voir le Jurisclasseur Verbo, Association Syndicale des Copropriétaires, § 37 : jurisprudence en matière d'intérêt à agir d'une ASL quant au respect des prescriptions du CDC favorable aux clauses statutaires permettant à l'ASL d'agir concernant les équipements communs à l'exclusion des autres prescriptions.
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Posté - 27 févr. 2010 : 10:41:42
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Dans la situation décrite par "Populus":
citation: Beaucoup d’ASL ont pour objet le contrôle de l'application du cahier des charges. et donc si les statuts le prévoient, je ne suis pas d'accord avec vous CHRI 64
citation: La jurisprudence a tranché : l'ASL ne peut pas attaquer en justice hors obligation liée aux parties communes.
citation: Voir le Jurisclasseur Verbo, Association Syndicale des Copropriétaires, § 37 : jurisprudence en matière d'intérêt à agir d'une ASL quant au respect des prescriptions du CDC favorable aux clauses statutaires
L'ASL peut agir en justice tant en demande qu'en défense
Aix en provence, 4eme chambre, D, 8 novembre 2006, arrêt n° 2006/402. RG: 00/15379 |
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Signature de Jean-Michel Lugherini |
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Mout
Contributeur vétéran
1083 message(s) Statut:
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Posté - 27 févr. 2010 : 12:13:09
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L'ordonnance de 2004 et le décret de 2006 limitent l'OBJET LEGAL des ASL. Les statuts des ASL doivent être conformes: - aux dispositions légales - aux stipulations du cahier des charges publié
Le cahier des charges publié est la "la loi des parties".
Les "parties" en question sont les colotis.
Seuls les colotis peuvent agir en demande d'exécution du contrat qui les lie.
CHRI64 : ravie de ne plus être seule à faire entendre la loi et le bon sens! |
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9
Posté - 27 févr. 2010 : 12:21:02
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Posté - 27 févr. 2010 : 12:35:28
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CHRI64
Contributeur senior
638 message(s) Statut:
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Posté - 27 févr. 2010 : 13:45:41
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Exact pour les parties communes. A condition que l'ASL en soit propriétaire.
Faux pour les parties privées (lots d'habitation).Voir l'art 1134 du code civil.
Si l'objet de l'ASL ignore cet article en faisant intervenir un tiers entre les co-contractants, il est illégal.
Comme le rappelle Mout, c'est aussi du bon sens.
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Posté - 27 févr. 2010 : 14:57:59
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La notion de bon sens s’emploie beaucoup aujourd’hui !!!
Il serait courtois de l’employer avec plus de modestie.
citation: S.P. (divisions foncière)…l’un des plus grands Professeur et spécialistes du lotissement.: De même devront être clairement précisés les pouvoirs de l’ASL à exercer toute action afférente aux équipements communs (mise en œuvre de la garantie décennale, mise en cause de la responsabilité délictuelle du lotisseur, mise en œuvre de la garantie d’achèvement) et éventuellement au CONTROLE de l’application du REGLEMENT et/ou du cahier des charges du lotissement, ainsi que les modalités par lesquels le président de l’association est habilité à ester en justice.
Et je ne vois pas en quoi l’article 1134 vient contrarier le propos.
L'arrêt ci-dessous a de multiples intérêts et concernant les droits et obligations qui dérivent d'une ASL....et corroborait la possibilité du contrôle du CDC dans les parties privatives tel que les auteurs précédents l'ont évoqués.
citation: Attendu, d'autre part, qu'ayant exactement retenu que les droits et obligations qui dérivent de la constitution d'une association syndicale de propriétaires sont attachés aux immeubles compris dans le périmètre de l'association et les suivent, en quelque main qu'ils passent, jusqu'à la dissolution de l'association ou la réduction de son périmètre,
citation: Association syndicale libre et liberté d'association http://www.paperblog.fr/245766/asso...association/Publié le 23 octobre 2007 par Christophe Buffet Cet arrêt rejette la demande de la propriétaire d'une maison située dans un lotissement, qui avait contesté l'existence de l'association syndicale et son appartenance à cette association syndicale, en jugeant que cette association syndicale était née à partir de la première vente de lots d'une part et que le cahier des charges de la vente faite à cet acquéreur faisait état du lotissement, d'autre part. On notera que cette propriétaire avait invoqué l'application de l'article 11 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, relatif à la liberté d'association qui a pour corollaire la liberté de ne pas être membre d'une association. « Attendu, selon l'arrêt attaqué (Bastia, 29 mars 2006), que, par jugement du 24 juin 1999, Mme X... a été déclarée adjudicataire d'une maison avec cour et jardin constituant le lot n° 11 du lotissement Marines de Bravone, dont les équipements communs sont gérés par l'Association syndicale libre Marines de Bravone (l'ASL); que, contestant tant l'existence de l'association que son appartenance à celle-ci, Mme X... l'a assignée en restitution de charges ; Attendu que Mme X... fait grief à l'arrêt de la débouter de sa demande et d'accueillir la demande reconventionnelle en paiement présentée par l'ASL, alors, selon le moyen : 1 / qu'une association syndicale libre formée par une seule personne est dépourvue d'existence juridique et la constatation de son inexistence peut être demandée à tout moment et sans qu'un délai de prescription, ni aucune régularisation ne puissent être opposés au demandeur ; qu'en jugeant, cependant, que l'ASL, créée par le seul lotisseur en 1972, avait pris naissance en 1974, date de la vente du premier lot entre ce dernier et le premier acquéreur, soit il y a plus de trente ans, et qu'il convenait, en conséquence, de faire droit à la fin de non-recevoir tirée de la prescription de la demande en nullité de la constitution de l'association, lorsque celle-ci était inexistante pour avoir été créée par une seule personne, la cour d'appel a méconnu l'article 5 de la loi du 21 juin 1865 ; 2 / qu'à supposer que l'ASL ait une existence juridique, l'adhésion à une association syndicale libre par acquisition d'un lot et, par là même, l'acceptation de ses statuts est subordonnée à l'information préalable de l'acquéreur quant à l'existence de l'association en cause ; qu'en décidant, toutefois, que le consentement de Mme X... à l'adhésion aux statuts de l'ASL s'induisait de l'acquisition de son lot, lorsque celle-ci n'avait, en aucune manière, été préalablement à la vente informée de l'existence de cette association, l'arrêt attaqué a violé les articles 11 de la Convention européenne des droits de l'homme et 1134 du code civil ; 3 / qu'il appartient au vendeur d'informer l'acquéreur, préalablement à la vente, des charges pesant sur la chose, objet de la vente, et en particulier, de son inclusion dans le périmètre d'une association syndicale libre ; qu'en jugeant néanmoins qu'il appartenait à l'acquéreur -Mme X...- de réclamer les titres de propriété se trouvant entre les mains de ses vendeurs pour être informée de l'existence de l'ASL, lorsque l'obligation d'information incombait au vendeur, les juges du fond ont manifestement méconnu l'article 1134 du code civil ; Mais attendu, d'une part, qu'ayant constaté qu'il résultait des statuts de l'ASL du 21 septembre 1972 élaborés par le lotisseur que tout coloti deviendrait automatiquement membre de l'association par l'acquisition d'un lot dépendant de l'ensemble immobilier, dénommé Groupe d'habitations Marines de Bravone, la cour d'appel a retenu à bon droit que l'ASL avait pris naissance à partir de la première vente de lots pour être valablement formée entre le lotisseur et le premier acquéreur ; Attendu, d'autre part, qu'ayant exactement retenu que les droits et obligations qui dérivent de la constitution d'une association syndicale de propriétaires sont attachés aux immeubles compris dans le périmètre de l'association et les suivent, en quelque main qu'ils passent, jusqu'à la dissolution de l'association ou la réduction de son périmètre, la cour d'appel, qui a relevé que le cahier des charges publié préalablement à la vente sur saisie mentionnait l'existence du lotissement Marines de Bravone, a exactement déduit, de ces seuls motifs, sans violer l'article 11 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, que les statuts de l'ASL étaient opposables à Mme X... »
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Signature de Jean-Michel Lugherini |
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Édité par - Jean-Michel Lugherini le 27 févr. 2010 15:34:49 |
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popolus
Contributeur actif
216 message(s) Statut:
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Posté - 27 févr. 2010 : 16:02:26
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Autre témoignage. Voici un extrait du jurisclasseur :
Toutefois, le dernier arrêt cité ne me paraît pas très convaincant.
Remarque: sur mon ordinateur le message de kalimasta7075 est immédiatement suivi d'une publicité concernant justement les panneaux solaires. |
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CHRI64
Contributeur senior
638 message(s) Statut:
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Posté - 27 févr. 2010 : 16:33:05
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Loin de moi une quelconque intention d'être discourtois en évoquant le bon sens. Il s'agit là d'opposer ce que chacun peut comprendre aux connaissances pointues que nécessite souvent l'interprétation des lois, là où plusieurs codes s'entremêlent ( civil, urbanisme, administratif, environnement, etc).
Concernant l'article 1134, il dit que la convention ( = contrat = CDC) forme la loi entre les parties. Les tiers n'ayant pas signés la convention en sont exclus par définition. La loi ne leur est pas imposable et il ne peuvent pas s'y opposer (sauf préjudice personnel). Si je conviens avec mon boulanger qu'il me livrera un croissant tous les jours, payable à chaque fin de mois et que je ne le paye pas, il aura qualité à agir. Si mon voisin m'attaque en justice pour cette même raison, il sera débouté car il est étranger à la convention. Mais vous savez bien tout cela !
Concernant vos 3 citations : J'y adhère. Mais je ne vois pas bien le rapport avec la possibilité d'une ASL d'attaquer un propriétaire pour l'obliger à respecter le CDC de son lot.
La première est générale. Elle énonce que "devront être clairement précisés les pouvoirs de l'ASL" Tout à fait d'accord. C'est pourquoi il faut bien distinguer entre parties communes et parties privées, et ne pas laisser implicite la restriction aux parties communes. Comme c'est souvent le cas.
La deuxième est au cœur de la constitution d'une ASL. Ok.
La troisième dit que l'ASL peut se défendre en justice (Ok, et heureusement) et traite de l'obligation d'adhérer à l'association (= citation n°2).
Nombreux sont les cas où une ASL peut aller en justice ( paiement de cotisation, dégradation espaces verts, détournement de ruisseau …) Mais rien de tout cela va à l'encontre de la jurisprudence que j'indiquais.
Pour en revenir à la question de kalimasta 7075 : c'est à lui de savoir s'il veut aller devant la justice. Mon conseil est de le faire à titre de propriétaire et non de Président , après s'être bien assuré que le CDC est suffisamment bien fait pour exclure les toits en photovoltaïque.
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Posté - 27 févr. 2010 : 17:12:51
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à moins que les statuts de l'ASL ne lui confient explicitement la défense du règlement et/ou du CdC en cas de violation par un coloti dans son lot... ce qui reste possible comme l'indiquent les citations produites....et , comme vous le soulignez, que le CdC proscrive les modifications de toiture.
et c'est justement au nom de la liberté de contracter prévue par les article 1134 et autres du code civil qu'une telle capacité à ester peut être dévolue statutairement à l'ASL. |
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Signature de Emmanuel Wormser |
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cordialement Emmanuel Wormser
Un souci juridique ? Pensez à relire votre contrat d'assurance multirisques habitation. Une assistance juridique, voire une protection juridique est peut-être incluse dans votre contrat ! |
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Mout
Contributeur vétéran
1083 message(s) Statut:
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Posté - 27 févr. 2010 : 19:03:04
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C'est à croire que certains forumeurs font partie d'une association de défense des ASL dévoyées...
Il faut être bien peu concerné par les ASL pour leur attribuer des droits "hors la loi".
CHRI64, avez-vous sur la langue la JP qui constate qu'une association syndicale ne représente pas ses membres?
popolus: un extrait de JURISCLASSEUR qui met dans le même panier les associations syndicales libres et les associations loi 1901, c'est ahurissant!
citation: Je suis le nouveau président d'une ASL d'une résidence toute neuve, dont les 3 dernières maisons qui la compose ne sont pas encore vendues. Je suis stupéfait de voir qu'un de nos co-lotis à fait installer tout un pan de son toit en photovoltaïque !! Et cela en opposition à 2 articles du cahier des charges et sans aucune demande au préalable
remarque : les "colotis" sont "les membres" de l'ASL. On peut dire, Ã la limite, "nos membres" quand on parle au nom de l'ASL. Mais pas "nos" colotis
Les articles du cahier des charges de lotissement (publié?) sont-ils si formels? Des clauses excluant les panneaux photovoltaïques me semblent assez abusives eu égard aux dispositions légales et urbanistiques...
La "demande préalable" devait être faite en matière d'urbanisme, certainement!
En quoi ces panneaux portent-ils préjudice aux "colotis" : est-ce laid?
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Édité par - Mout le 27 févr. 2010 19:13:23 |
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Posté - 27 févr. 2010 : 19:30:30
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Kalimasta, pour plus de clarté, pouvez vous reproduire ici d'une part l'objet statutaire de l'ASL et d'autre part les deux fameux articles non respectés ? |
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Signature de Emmanuel Wormser |
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cordialement Emmanuel Wormser
Un souci juridique ? Pensez à relire votre contrat d'assurance multirisques habitation. Une assistance juridique, voire une protection juridique est peut-être incluse dans votre contrat ! |
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Posté - 27 févr. 2010 : 19:35:00
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citation: Initialement posté par MoutC'est à croire que certains forumeurs font partie d'une association de défense des ASL dévoyées... Il faut être bien peu concerné par les ASL pour leur attribuer des droits "hors la loi". gaffe , le mythe revientcitation: CHRI64, avez-vous sur la langue la JP qui constate qu'une association syndicale ne représente pas ses membres? popolus: un extrait de JURISCLASSEUR qui met dans le même panier les associations syndicales libres et les associations loi 1901, c'est ahurissant! citation: Je suis le nouveau président d'une ASL d'une résidence toute neuve, dont les 3 dernières maisons qui la compose ne sont pas encore vendues. Je suis stupéfait de voir qu'un de nos co-lotis à fait installer tout un pan de son toit en photovoltaïque !! Et cela en opposition à 2 articles du cahier des charges et sans aucune demande au préalable remarque : les "colotis" sont "les membres" de l'ASL. On peut dire, à la limite, "nos membres" quand on parle au nom de l'ASL. Mais pas "nos" colotis vous auriez donc préféré "nos membres" ? citation: Les articles du cahier des charges de lotissement (publié?) sont-ils si formels? Des clauses excluant les panneaux photovoltaïques me semblent assez abusives eu égard aux dispositions légales et urbanistiques... exclure les panneaux solaires serait sans doute inattendu mais interdire les modification d'aspect des toitures, c'est tout à fait possible...citation: La "demande préalable" devait être faite en matière d'urbanisme, certainement!
et ça n'a aucun rapport avec le CdC ou l'ASLcitation: En quoi ces panneaux portent-ils préjudice aux "colotis" : est-ce laid? le laid et le beau..., les gouts et les couleurs, les coups et les douleurs, les couts et les fureurs, ...
edit : correction de balises |
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Signature de Emmanuel Wormser |
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cordialement Emmanuel Wormser
Un souci juridique ? Pensez à relire votre contrat d'assurance multirisques habitation. Une assistance juridique, voire une protection juridique est peut-être incluse dans votre contrat ! |
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Édité par - Emmanuel Wormser le 27 févr. 2010 20:20:15 |
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Posté - 27 févr. 2010 : 19:52:27
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Posté - 27 févr. 2010 : 21:56:23
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