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aljo
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 41 Posté - 07 oct. 2010 :  21:30:28  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
merci a tous de ces participations, je reprends un peu
pour les motifs de la mairie
considérant les courriers des co-indivisaires dénonçant la réalisation de travaux sur un passage en indivision sans leur accord
considérant la présence effective d'un rail permettant le coulissement du portail sur le dit passage
considérant qu'il s'agit d'une contestation sérieuse sur la pleine propriété d'une partie du milieu des travaux

sinon pour le reste :

je retiens les 3 actions de Laurent
-une en tant qu'indivisaire protégeant l'intérêt de l'indivision. (limites)
-une pour faire cesser la gêne de stationnement (nous deux)
-une pour faire cesser la gêne du portail (mon voisin)

par contre vous dites
(Ici je en pense pas que l'indivision soit fondée à intenter une action, car le portail ne constitue pour moi ni une gêne en soi ni une utilisation anormale de l'indivision).
en fait ils ont qd meme reduit le virage et donc la capacité a maneuvrer ok je réalise que c est les bornes et pas le portail directemetn c 'est ca ?

et je retiens qu'il ne faut pas parler de servitude de passage.


Jean-Michel Lugherini
Pilier de forums

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Revenir en haut de la page 42 Posté - 07 oct. 2010 :  21:40:32  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Hormis la pose d’une clôture et encore, il convient de vérifier si celle-ci est soumise à autorisation, en quoi tout ceci concernerait-il la mairie ?
C’est du droit purement privé !


Un avocat saura prendre les choses en main !
Signature de Jean-Michel Lugherini 
Cordialement

aljo
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Revenir en haut de la page 43 Posté - 07 oct. 2010 :  21:44:10  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Pour les motifs de la mairie je répondais au deuxième post la mairie a trouvé des arguments elle-même et jugé bon de refusé la demande et pour être franc j'ai été surpris de leur refus....
Et oui la pose d'une clôture est soumise a une Déclaration de travaux.
De toute facon ils ont fait un recours directement au tribunal administratif
Maintenant oui nous sommes convaincu que cela devra se régler TGI.
Sinon il y aura donc un expert qui sera nommé ? donc cela sert il de faire venir avant un huissier et un géomètre avec ?
Nous voyons un avocat la semaine prochaine....

Édité par - aljo le 07 oct. 2010 22:03:20

Emmanuel Wormser
Modérateur



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Revenir en haut de la page 44 Posté - 07 oct. 2010 :  23:06:28  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
donc voie pénale à mettre en oeuvre pour travaux soumis à autorisation réalisés malgré un refus d'autorisation...
Signature de Emmanuel Wormser 
cordialement
Emmanuel Wormser

Un souci juridique ? Pensez à relire votre contrat d'assurance multirisques habitation.
Une assistance juridique, voire une protection juridique est peut-être incluse dans votre contrat !

aljo
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Revenir en haut de la page 45 Posté - 08 oct. 2010 :  07:24:41  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Emmanuel pour ce coté de l'affaire (au penal) cela est indépendant du reste, c est cela ?

Laurent CAMPEDEL
Contributeur vétéran



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Revenir en haut de la page 46 Posté - 08 oct. 2010 :  10:47:33  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
citation:
Initialement posté par aljo

merci a tous de ces participations, je reprends un peu
pour les motifs de la mairie
considérant les courriers des co-indivisaires dénonçant la réalisation de travaux sur un passage en indivision sans leur accord
considérant la présence effective d'un rail permettant le coulissement du portail sur le dit passage
considérant qu'il s'agit d'une contestation sérieuse sur la pleine propriété d'une partie du milieu des travaux

sinon pour le reste :

je retiens les 3 actions de Laurent
-une en tant qu'indivisaire protégeant l'intérêt de l'indivision. (limites)
-une pour faire cesser la gêne de stationnement (nous deux)
-une pour faire cesser la gêne du portail (mon voisin)

par contre vous dites
(Ici je en pense pas que l'indivision soit fondée à intenter une action, car le portail ne constitue pour moi ni une gêne en soi ni une utilisation anormale de l'indivision).
en fait ils ont qd meme reduit le virage et donc la capacité a maneuvrer ok je réalise que c est les bornes et pas le portail directemetn c 'est ca ?

Exactement !
Qu'il est mis un portail est anecdotique sur ce problème.
Le problème est uniquement le non respect du bornage et la spoliation d'une partie de terrain à l'indivision.

Que le portail coulisse sur le terrain de l'indivision n'est pas pour moi une occupation condamnable. Car elle n'apporte pas de gêne réelle dans le passage. Certes il occupe un peu de terrain. Mais à mon sens il est fait pour ça.
Par contre, qu'il passe devant la parcelle d'un autre et qu'il ai fallu modifier les limites de terrains, c'est inacceptable.

citation:

et je retiens qu'il ne faut pas parler de servitude de passage.

Ce n'est de toute façon pas l'objet du débat dans votre histoire.

Signature de Laurent CAMPEDEL 
Pour être des hommes libres, soyons raisonnés . Mais surtout pas raisonnables.

Laurent CAMPEDEL
Contributeur vétéran



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Revenir en haut de la page 47 Posté - 08 oct. 2010 :  12:01:35  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
citation:
Initialement posté par Jean-Michel Lugherini
Accessoirement une servitude se donne à un fonds , non à une personne.
Tu dois confondre avec "se donner un droit à soi-meme...servitude - bornage...etc"
Une indivision , c'et une autre personne .......


Salut Jean-Michel

Je pense qu'une partie de notre désaccord trouve son origine ici :
http://www.courdecassation.fr/publi...s_11335.html


Par ailleurs des personnes sont en indivision lorsqu'elle sont titulaires simultanément de droits concurrents et identiques sur un même bien ou ensemble de biens qui constituent une masse indivise et, si la jurisprudence considère parfois l'indivision comme une entité distincte des personnes qui en font partie, elle considère également qu'une indivision n'a pas de personnalité morale, ni de capacité juridique.

Une indivision n'est donc pas un fond comme un autre. C'est un collectif de personne. D'où le raisonnement "un fond pour un autre fond" ne peut pas être appliqué.

D'où finalement j'en suis arrivée à trouver la notion d'indivision forcée... et le résumé qu'en fait l'office de Baillargues.
http://www.onb-france.com/familia/Q...-forcee.html

Il y a indivision forcée lorsque des biens à raison d’un état de fait ou par l’effet d’une convention sont affectés à titre d’accessoires indispensables à l’usage commun de deux ou plusieurs immeubles appartenant à des propriétaires différents.

C'est exactement le cas qui nous occupe ici. Par état de fait, la parcelle est l'accessoire indispendable à l'usage des parcelles voisines appartenant aux indivisaires.
Et il n'y a donc nul besoin absolu de convention. Et comme je l'écrivais précédement, par déduction pure, ce serait alors une convention d'indivision et non des servitudes accordées à des fonds riverains. Et on rejoint là la phrase que j'extrayais de la jurisprudence citée : il n'est pas possible de reconnaître à des propriétaires indivis d'un fonds un droit de passage sur ce même fonds
Les propriétaires A, B, et C d'un fond indivis ne peuvent pas accorder au proprétaire A un droit de passage sur ce fond.
La raison en est simple : il est lui-même propriétaire pour parti de ce fond.
Car comme le rappelle la cour de cassation, la jurisprudence établie considère l'indivision comme une entité indistincte des personnes qui en font partie. Lorsqu'on parle d'un terrain en indivision, on considère un collectif de propriétaires et non un fond.

L’indivision forcée n’est pas une servitude.
Elle ne peut donc pas d'éteindre par non usage.

lorsque le bien indivis est un terrain nu, séparant les bâtiments des copropriétaires, chacun d’eux peut pratiquer des vues droites dans ses bâtiments

On peut ouvrir une porte, et à fortiori une ouverture dans sa clôture, sur l'indivision forcée qui est un terrain nu (cas de ces passages privés).


L'analyse de l'office répond également à mes interrogations au sujet de la sortie de l'indivision et autre contradiction.

Les droits des indivisaires en indivision forcée sont restreints par rapport à ceux des indivisaires ordinaires. La principale est que l’indivisaire ici ne peut pas demander le partage de la chose indivise (l’article 815 du Code civil ne s’applique pas). L’autre conséquence est que le droit dans l’indivision forcée ne peut être cédé ni hypothéqué séparément de celui de l’immeuble bénéficiant de l’indivision forcée.

Et enfin, et là cela concerne directement "aljo" :

Aussi la question de l’exercice du droit de préemption de l’indivisaire ne se pose pas. En indivision forcée, l’un des co-indivisaires ne peut, sans avoir le consentement de l’autre ou des autres : – établir dans une cour commune un dépôt permanent de fumier ou en faire un lieu de stationnement permanent, - installer dans un passage commun des tuyaux rétrécissant ce passage ou élever un mur empêchant le passage des voitures ou encore poser une clôture constituant une gêne permanente pour la circulation. Chacun des copropriétaires ne doit se servir de la chose commune que dans l’intérêt du fonds dont elle est destinée à assurer la desserte ou l’usage.

Tous ces éléments sont issus de jurisprudences établies au fil du temps, jusqu'à ce qu'en soit dévellopé cette notion d'indivision forcée.


En conclusion Jean-Michel, je maintiens ce que je comprends de la jurisprudence que je cite : il est illégal d'établir sur un fond indivis des servitudes au profit des indivisaires pris séparément.
Et il n'est même pas obligatoire d'établir un réglement d'indivision.

Ceci dit, nous nous rejoignons sur la conclusion : nue propriété pour le riverain le plus enclavé, riverain qui accorde aux autres riverains les servitudes nécessaires. Mais ce n'est pas la solution la plus économique par contre. Ceci explique certainement le pourquoi du choix si fréquent des indivisions forcées...

Signature de Laurent CAMPEDEL 
Pour être des hommes libres, soyons raisonnés . Mais surtout pas raisonnables.

Jean-Michel Lugherini
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Revenir en haut de la page 48 Posté - 08 oct. 2010 :  15:38:37  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Laurent
désole, je maintiens l inverse avec la même force, mais me sens pas de repartir sur le sujet
tu remets en cause ce qui pour tous semblait être un baba
fais faire une consultation juridique par un juriste spécialise ou un notaire voire le cridon
navre
Signature de Jean-Michel Lugherini 
Cordialement

Édité par - Jean-Michel Lugherini le 08 oct. 2010 15:42:12

Laurent CAMPEDEL
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Revenir en haut de la page 49 Posté - 08 oct. 2010 :  17:19:41  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
citation:
Initialement posté par Jean-Michel Lugherini

Laurent
désole, je maintiens l inverse avec la même force, mais me sens pas de repartir sur le sujet
tu remets en cause ce qui pour tous semblait être un baba
fais faire une consultation juridique par un juriste spécialise ou un notaire voire le cridon
navre



Jean-Michel, c'est un exposé de l'office notariale de Baillargues que je cites...

Un autre exposé, sur un site fait par un notaire et à destination des notaires : http://www.intranot.fr/pub/quest058.html
Les chemins indivis.
A la suite d'une convention ou d'un état de fait un chemin est apparu comme l'accessoire indispensable à l'usage commun d'immeubles appartenant à des propriétaires différents, il s'agit d'une indivision forcée qui a un caractère perpétuel. Les copropriétaires ne peuvent s'y soustraire. Lorsqu'un propriétaire cède son immeuble, il cède obligatoirement sa quote-part du chemin ; s'il fractionne l'immeuble sa quote-part est également fractionnée.
Chaque propriétaire indivis possède des droits identiques sur la totalité du bien commun et doit en user dans le respect des droits des autres indivisaires. Il peut accomplir sans le consentement des autres indivisaires des actes matériels d'usage et de jouissance à condition que cet usage soit compatible avec la destination du bien et les droits des autres indivisaires, il peut ainsi faire poser une canalisation sous le passage commun mais pas affecter cette voie à la desserte d'un immeuble comprenant 15 logements.


Là encore, nulle mention d'établissement de servitudes entre une parcelle indivis et les parcelles riveraines appartenant aux indivis pour l'établissement d'un droit de passage.

Qui est le "tous" dont tu parles ?

Signature de Laurent CAMPEDEL 
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Jean-Michel Lugherini
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Revenir en haut de la page 50 Posté - 10 oct. 2010 :  18:48:53  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
citation:
A la suite d'une convention ou d'un état de fait un chemin est apparu comme l'accessoire indispensable à l'usage commun d'immeubles appartenant à des propriétaires différents, il s'agit d'une indivision forcée qui a un caractère perpétuel. Les copropriétaires ne peuvent s'y soustraire. Lorsqu'un propriétaire cède son immeuble, il cède obligatoirement sa quote-part du chemin ; s'il fractionne l'immeuble sa quote-part est également fractionnée.


citation:
un chemin est apparu comme l'accessoire indispensable


Et qu'il te faudra donc ester en justice pour faire "apparaître" cet état de fait.........

ET si tu as une convention...définissant les.......

Il y a un intérêt certain à ce quelle s'apparente pour le moins....à une définition de servitudes de passage...

Et si tu as un notaire qui passe outre en vendant le terrain en pleine propriété d'un des voisins....lui-même co-indivis de cet accès car rien aux Hypo n'est retranscrit concernant "l'accessoire", car rien ne le sera dans ce sens....
Tu retournes en justice...

Est-il si difficile que cela d'établir une servitude de passage bien claire sur cet accès indivis qui évitera toutes questions intelectuelles ou pour le moins de se les poser et d'éviter à la justice de traiter tous les cas que nous trouvons en expertise ?

Il a bien fallut à la justice se positionner au travers de JP sur ces cas mal traités et leurs décisions (bien sur) sont logiques lorsque c'est une évidence.......mais combien "d'évidences".......sur tous les cas possibles ?

Tu auras , à l'inverse les cas....ou tout ou partie de ces "indivisions" ne seront pas considérés comme accessoires...

Revenons dans le cas présenté......tout ou partie de l'accès se doit-il d'être considéré comme l'accès ?
C'est certainement ce qu'un avocat présentera en tant que dire à l'expert pour laisser cet "empietement" de quelques dizaines de cms...au delà de sa limite....

A ce propos, il me semble que c'est plutôt sur l'aspect construction à usage privatif sur sol indivis qu'il faudrait plaider, mais bon, je ne suis pas avocat......

Bon, j'espère que tu conseilleras tout comme moi de rajouter "une petite définition de servitudes sur ces accès indivis"...pour éviter de donner de travail aux experts......

Signature de Jean-Michel Lugherini 
Cordialement

aljo
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Revenir en haut de la page 51 Posté - 20 févr. 2011 :  07:54:58  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
je remonte mon sujet pour des nouvelles :
finalement nous avons fais jouer la protection juridique chacun de notre coté (mon voisin au mur et moi-même)...
Nous avons également fais venir un huissier et un géomètre (en décembre) pour faire remettre les bornes et les effectuer les constations de dégradation du mur et du reste.
Une des bornes n'a pu être remise car évidemment située dans la propriété des indélicats
J'avais rencontré l'avocat de la protection juridique le 11/02/2011 (oui ça prends du temps) et il devait envoyer un courrier a l'avocat de la partie adverse cette semaine.
La petite blague est que nos voisins ont vendu et déménagé cette semaine. Quid des poursuite les nouveaux propriétaires ou les anciens ?
Ca va devenir compliqué non si les acquéreurs ne sont pas au courant ?

Je vous remet ce que nous demandions :
* Un réalignement de tous leurs éléments de clôture (portail, grillage et chemin de roulement voir le portillon) sur leur limite réelle.
* Suppression des plantations du côté du passage commun au niveau du biseau
* Une remise en place de la borne (à 4m47)
* Interdiction de stationner dans le passage commun.
* De mettre les poubelles chez eux et non dans le passage commun.
* Un remboursement des frais engagés.



Emmanuel Wormser
Modérateur



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Revenir en haut de la page 52 Posté - 20 févr. 2011 :  09:35:25  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
vous allez demander à votre avocat de rencontrer les nouveaux voisins pour leur expliquer la situation : tout ça va peut-être se finir à l'amiable sauf si les nouveaux ... font annuler la vente !
Signature de Emmanuel Wormser 
cordialement
Emmanuel Wormser

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