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LeNabot
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13018 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 18:07:23
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http://www.boursorama.com/forum/message.phtml?file=358371946&pageForum=1
La Tribune - 27/03/07 -
Citigroup, la plus grande banque du monde, vient de décider de ne plus accorder de crédit hypothécaire au-delà de 95 % de la valeur d'un bien immobilier quand l'emprunteur ne peut pas prouver les revenus qu'il prétend avoir. C'est dire si, jusqu'à présent, Citigroup (et les autres banques, car ce n'est qu'un exemple) a été laxiste jusqu'à l'imprudence. On ne refuse pas en effet de financer à 100 % un bien dont le prix monte. Les banques ont donc prêté sans limite, alimentant les hausses, et maintenant elles vont faire l'inverse : elles vont restreindre le crédit, provoquant et accentuant les baisses. Tous les marchés qui ont été soutenus par le levier de l'emprunt, dont les trois principaux sont l'immobilier, les actions et les obligations (hormis les obligations d'État), sont susceptibles de se retourner à très court terme. Il s'agit bien sûr en premier lieu de l'immobilier aux États-Unis. Qu'on ne croie pas que seul le segment dit " subprime " sera affecté ! Les emprunteurs " subprime " (c'est-à-dire fichés comme mauvais payeurs) sont certes les premiers à souffrir, mais la quasi-totalité des acquéreurs se sont endettés au-delà de leurs moyens, et c'est donc tout le marché qui a été soutenu artificiellement. Le marché des actions est lui aussi soutenu par l'emprunt, sous forme de rachats d'entreprises financés par endettement, dits LBO (leveraged buy-out). Enfin, le marché obligataire a été porté par des opérations à levier. Cela s'appelle des CDS (credit default swap), instruments de hors-bilan grâce auxquels des spéculateurs peuvent acheter l'équivalent d'une obligation en déposant seulement 3 % de la somme. C'est très probablement le développement des CDS (voir graphique) qui est à l'origine de l'étonnant resserrement de l'écart de taux d'intérêt entre les obligations sans risque et les obligations risquées. À notre avis, ces trois marchés vont se retourner et la baisse sera accentuée par l'attitude des banques, qui vont exiger des garanties dès le premier signe de faiblesse. Le phénomène peut être très rapide, comme on l'a vu sur les crédits hypothécaires américains " subprime ", qui ont quasiment disparu en un mois, simplement parce que les banques réclament 5 % d'apport personnel.
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Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
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walt92
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670 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 18:27:48
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Citation : Initialement entré par LeNabot
http://www.boursorama.com/forum/message.phtml?file=358371946&pageForum=1
La Tribune - 27/03/07 -
Citigroup, la plus grande banque du monde, vient de décider de ne plus accorder de crédit hypothécaire au-delà de 95 % de la valeur d'un bien immobilier quand l'emprunteur ne peut pas prouver les revenus qu'il prétend avoir. C'est dire si, jusqu'à présent, Citigroup (et les autres banques, car ce n'est qu'un exemple) a été laxiste jusqu'à l'imprudence. On ne refuse pas en effet de financer à 100 % un bien dont le prix monte. Les banques ont donc prêté sans limite, alimentant les hausses, et maintenant elles vont faire l'inverse : elles vont restreindre le crédit, provoquant et accentuant les baisses. Tous les marchés qui ont été soutenus par le levier de l'emprunt, dont les trois principaux sont l'immobilier, les actions et les obligations (hormis les obligations d'État), sont susceptibles de se retourner à très court terme. Il s'agit bien sûr en premier lieu de l'immobilier aux États-Unis. Qu'on ne croie pas que seul le segment dit " subprime " sera affecté ! Les emprunteurs " subprime " (c'est-à-dire fichés comme mauvais payeurs) sont certes les premiers à souffrir, mais la quasi-totalité des acquéreurs se sont endettés au-delà de leurs moyens, et c'est donc tout le marché qui a été soutenu artificiellement. Le marché des actions est lui aussi soutenu par l'emprunt, sous forme de rachats d'entreprises financés par endettement, dits LBO (leveraged buy-out). Enfin, le marché obligataire a été porté par des opérations à levier. Cela s'appelle des CDS (credit default swap), instruments de hors-bilan grâce auxquels des spéculateurs peuvent acheter l'équivalent d'une obligation en déposant seulement 3 % de la somme. C'est très probablement le développement des CDS (voir graphique) qui est à l'origine de l'étonnant resserrement de l'écart de taux d'intérêt entre les obligations sans risque et les obligations risquées. À notre avis, ces trois marchés vont se retourner et la baisse sera accentuée par l'attitude des banques, qui vont exiger des garanties dès le premier signe de faiblesse. Le phénomène peut être très rapide, comme on l'a vu sur les crédits hypothécaires américains " subprime ", qui ont quasiment disparu en un mois, simplement parce que les banques réclament 5 % d'apport personnel.
On est vraiment obligé d'aller sur Boursorama pour lire un article de la Tribune ?
Walt92
PS: il me semble que les preteurs subrime américains ont déjà été abordés dans plusieurs fils. |
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LeNabot
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13018 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 19:40:04
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Vous êtes sûr d'avoir bien lu ? |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
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thoveyrat
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8410 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 20:44:22
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D'accord avec Le Nabot, Swap : cet article donne, beaucoup plus que les autres que j'ai lus sur la crise des crédits "subprime", une idée de l'ampleur des secteurs qui risquent d'être touchés. Songez que les acheteurs de CDS n'ont peut-être pas les fonds disponibles pour honorer leurs engagements... |
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Scorpion
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1366 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 21:59:10
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Citibank de ne demande plus que 5% d'apport, ce qui reste tres faible quand meme. Le crédit reste facile aux US. Ils voient les choses différemment de nous. |
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Pégase
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3665 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 22:44:02
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Merci à Scorpion de remettre en lumière ce que je me tue à dire: Le systême de prêt immo ou de crédit conso américain n'est absolument pas comparable au nôtre. Rendez-vous compte: Citation : Citigroup (...) vient de décider de ne plus accorder de crédit hypothécaire au-delà de 95 % de la valeur d'un bien immobilier...
1. Les banques françaises ne font pas (encore) de crédit hypothécaire 2. Les seules banques qui le proposent (certaines banques GB basées dans les iles anglo-normandes par ex) ne le font qu'a hauteur maxi de 60% de la valeur du bien.
Encore une fois, Lenabot cherche par tous les moyens à tenter de justifier sa présence et son obsession de déstabilisation par des articles qui n'apportent rien sur le sujet du marché français. Il ne cherche qu'a faire du bruit avec du 'sensationnel'...
Un vrai tabloïd anglais à lui tout seul ce nabot.
Pégase |
Edité par - Pégase le 27 mars 2007 22:45:14 |
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 23:22:59
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Pégase, au lieu de gesticuler vous pouvez commenter ce passage :
Qu'on ne croie pas que seul le segment dit " subprime " sera affecté ! Les emprunteurs " subprime " (c'est-à-dire fichés comme mauvais payeurs) sont certes les premiers à souffrir, mais la quasi-totalité des acquéreurs se sont endettés au-delà de leurs moyens, et c'est donc tout le marché qui a été soutenu artificiellement. |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
Edité par - LeNabot le 27 mars 2007 23:23:47 |
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Scorpion
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1366 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 23:26:37
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Oui mais les prix de l'immo sont à la baisse aux US, et un durcissement des conditions de pret va faire baisser la demande, et donc les prix. La tendance des prix de l'immo aux US est clairement à la baisse, et pour un bon moment encore. Ca ne fait que commencer chez eux. |
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LeNabot
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13018 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 23:29:57
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Ceci aussi qui devrait prêter à réfléchir.
Les banques ont donc prêté sans limite, alimentant les hausses, et maintenant elles vont faire l'inverse : elles vont restreindre le crédit, provoquant et accentuant les baisses. |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
Edité par - LeNabot le 27 mars 2007 23:30:19 |
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Scorpion
Pilier de forums
1366 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 23:35:01
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Citation : Initialement entré par LeNabot
Ceci aussi qui devrait prêter à réfléchir.
Les banques ont donc prêté sans limite, alimentant les hausses, et maintenant elles vont faire l'inverse : elles vont restreindre le crédit, provoquant et accentuant les baisses.
C'est exactement ce que j'ai dit plus haut. |
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 23:36:21
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Une autre dépèche pour Pégase qui de toute évidence, apprécie le sujet.
CINCINNATI (Reuters) - Les chefs d'entreprise américains commencent à s'inquiéter eux aussi de la saturation du marché immobilier, sans parler de la crise du subprime (crédit immobilier à risque), parce que leurs employés risquent de refuser de partir pour une nouvelle place simplement parce que vendre leur maison à l'heure actuelle impliquerait pour eux de perdre de l'argent.
"Les entreprises sont de plus en plus préoccupées", dit ainsi David Barlow, vice-président senior de SIRVA, une société spécialisée dans le redéploiement de personnel qui traite avec 350 entreprises.
"Il faut que les entreprises recrutent le personnel adéquat, quelle que soit la situation du marché immobilier. Mais compte tenu de ce qu'est le marché aujourd'hui, les entreprises ont de plus en plus de mal à faire bouger leurs employés", dit Barlow.
Il y encore un an, la hausse des prix de l'immobilier faisait qu'il était facile, voire même profitable, pour les employés de vendre leur logement et de partir exercer un autre emploi ailleurs.
Mais depuis, la situation du marché immobilier s'est tellement dégradée que les clients de Barlow proposent de plus en plus de dédommager les employés qui acceptent de déménager pour occuper un autre poste des pertes que leur causera la vente de leur maison.
"Les politiques de redéploiement sont devenues plus libérales et plus coûteuses qu'il y a trois ou quatre ans", explique Barlow.
John Challenger, patron de la firme de reclassement Challenger, Gray & Christmas, observe que si les hommes politiques louent le fait que 69% des Américains soient propriétaires de leur logement, peu nombreux sont ceux à avoir pensé aux répercussions économiques d'une force de travail devenue moins mobile.
"Quand on loue, on est plus mobile mais on a promu toujours plus la propriété du logement, ce fut un objectif national; mais cela entraîne certains problèmes", explique Challenger. "L'économie ne fonctionne plus de façon aussi efficace et c'est ce que l'on commence d'observer".
Ce problème est encore plus aigu dans les Etats où le chômage est élevé, comme le Michigan, l'Ohio et l'Indiana, victimes des déboires de l'industrie automobile.
"Quand on se trouvait dans un marché où l'appréciation des prix a été minimale, ce qui est largement le cas dans l'Ohio, partir pour un autre Etat, que ce soit la Floride, la Californie ou d'autres endroits où les prix ont plus monté, fait que se loger est inabordable", note l'économiste Ken Mayland, président de ClearView Economics. "Cela peut démolir un plan de carrière".
Challenger observe que les personnes licenciées se retrouvent dans une situation particulièrement pénible; elles ne peuvent pas rembourser leurs prêts et ne peuvent pas non plus se permettre de vendre à perte.
"Les gens se retrouvent coincés avec leur maison, qui valent moins maintenant qu'au moment où ils l'avaient achetée", dit-il. "Certains ne peuvent même plus payer s'ils ont perdu leur emploi et ils ne peuvent certainement pas se permettre de perdre 50.000 dollars en vendant leur maison à perte". |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
Edité par - LeNabot le 27 mars 2007 23:36:46 |
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Pégase
Pilier de forums
3665 réponses |
Posté - 27 mars 2007 : 23:54:02
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Mais oui! Continuez donc! J'espère seulement pour vous qu'il y a des membres d'UI qui sont américains ou qui ont des intérêts là bas, parce que moi, je l'ai même pas lu vos dernier article. Parceque tout ce que vous rapportez depuis peu ne concerne QUE les US. Et, vous savez quoi? On est en FRANCE! Et on s'en tape des US!
Je sais que vous allez me dire que si je m'en tape alors pourquoi lire ou encore contribuer à ce fil. Je vous rassure: Ce sera mon dernier message sur ce fil. J'en ai suffisemment dit pour que les lecteurs se fassent leur propre opinion.
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 28 mars 2007 : 00:17:17
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Citation : Initialement entré par Pégase
J'en ai suffisemment dit pour que les lecteurs se fassent leur propre opinion.
Oui. Vous n'avez surtout rien dit. |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
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jcm
Pilier de forums
5131 réponses |
Posté - 28 mars 2007 : 07:19:53
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Citation : Initialement entré par LeNabot
Pégase, au lieu de gesticuler vous pouvez commenter ce passage :
Qu'on ne croie pas que seul le segment dit " subprime " sera affecté ! Les emprunteurs " subprime " (c'est-à-dire fichés comme mauvais payeurs) sont certes les premiers à souffrir, mais la quasi-totalité des acquéreurs se sont endettés au-delà de leurs moyens, et c'est donc tout le marché qui a été soutenu artificiellement.
La quasi totalité ? C'est difficile à croire. Je n'y crois pas. |
jcm |
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jcm
Pilier de forums
5131 réponses |
Posté - 28 mars 2007 : 07:24:42
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Citation : Initialement entré par LeNabot
Citation : Initialement entré par Pégase
J'en ai suffisemment dit pour que les lecteurs se fassent leur propre opinion.
Oui. Vous n'avez surtout rien dit.
Pas d'accord. Pégase dit souvent des choses fort intéressantes. Beaucoup plus que certains dogmatiques, dont vous faites partie, qui n'ont de cesse de tenter de faire coincider les faits avec leur obsession (haine des AI, baisse de l'immo...), et ce, même dans le domaine juridique, faut le faire ! |
jcm |
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 28 mars 2007 : 07:56:17
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Citation : Initialement entré par jcm
Citation : Initialement entré par LeNabot
Citation : Initialement entré par Pégase
J'en ai suffisemment dit pour que les lecteurs se fassent leur propre opinion.
Oui. Vous n'avez surtout rien dit.
Pas d'accord. Pégase dit souvent des choses fort intéressantes.
Il faudra me dire lesquelles. J'ai beau relire, je ne vois rien.
Citation : Beaucoup plus que certains dogmatiques, dont vous faites partie, qui n'ont de cesse de tenter de faire coincider les faits avec leur obsession (haine des AI, baisse de l'immo...), et ce, même dans le domaine juridique, faut le faire !
On va dire que le dogme est du côté des agents immobiliers. Il est vrai qu'une rémunération au pourcentage ne peut que favoriser exclusivement une position haussière. Quant au côté juridique, j'ai bien l'impression que les magistrats n'aiment pas trop les agents immobiliers non plus. Faites donc une recherche sur legifrance avec comme mots cléfs "immobilier" et "amende civile" et vous serez fixé. |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
Edité par - LeNabot le 28 mars 2007 07:59:07 |
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jcm
Pilier de forums
5131 réponses |
Posté - 28 mars 2007 : 09:31:44
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Tiens vous tombez mal. Pas plus tard qu'hier j'ai gagné un procès. L'acquéreur n'avait déposé qu'une demande de prêt (refusé) alors que le compromis en prévoyait trois. Voici un extrait : « M. X avait donc l’obligation de rechercher un financement auprès de tout organisme mais en commençant par les trois indiqués au contrat. Le refus de la banque Y l’obligeait à solliciter les deux autres organismes de manière à établir auprès du vendeur qu’il avait épuisé tous les recours prévus et acceptés par lui. » Contrairement à une opinion couramment répandue, un seul refus de prêt ne suffit pas à annuler un compromis. Ce ne serait le cas que si le compromis ne prévoyait rien à ce titre, ou qu’un organisme. Sinon, le compromis fait la loi entre les parties. Moi je vais finir par croire que les juges m'aiment bien. J'ai gagné quelques dizaines de procès, perdu aucun, sauf en droit administratif où je n'en ai gagné que 3 sur 4. Mais là, on y va pour le fun. Je tiens à préciser que je ne suis pas à l'origine de ce procès, comme de beaucoup d'autres. Le proprio avait assigné le vendeur. J'ai été assigné pour ma part pour restituer le dépôt de garantie, que le juge m'a au final attribué à titre de dommages-intérêts. |
jcm |
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jcm
Pilier de forums
5131 réponses |
Posté - 28 mars 2007 : 09:35:29
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"Il est vrai qu'une rémunération au pourcentage ne peut que favoriser exclusivement une position haussière." Alors là c'est une belle connerie. Les AI se plaignent à longueur de journée des prix trop élevés. Ils préfèrent que le propriétaire accepte de baisser, quitte à baisser encore plus la comm, pour faire la vente. Un AI préfère des prix bas, parce qu'il fera plus de ventes, tout simplement. |
jcm |
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 28 mars 2007 : 11:41:23
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Citation : Initialement entré par jcm
Les AI se plaignent à longueur de journée des prix trop élevés.
La belle hypocrysie.... Depuis quand jcm, depuis quand ? Comme par hasard, depuis que les acquéreurs solvables se raréfient.
Pas folle la guêpe. |
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jcm
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5131 réponses |
Posté - 28 mars 2007 : 12:10:11
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Depuis toujours, LeNabot. Le problème n'est pas nouveau. |
jcm |
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 28 mars 2007 : 12:33:06
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Citation : Initialement entré par jcm
Depuis toujours, LeNabot. Le problème n'est pas nouveau.
Il y a un moyen jcm. Si vous prétendez lutter contre la hausse des prix, commencez donc par appliquer vos pourcentages sur les prix moyens de l'année 1998. Après on vous croira sur parole. |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
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