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d19941
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Posté - 14 mars 2010 : 10:14:14
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Nous avons fait un courrier de mise en demeure pour non réalisation des travaux de voirie au 20/02/2010 comme prévu par l'arrêté de lotir. Ce courrier a été envoyé au lotisseur , à la communauté de commune (qui a pris le coourrier pour elle et n'a rien compris, lamentable même au téléphone!) et également à la banque de garantie d'achement des travaux du lotisseur. Cela est fait mais on a pas préciser que nous demandions à débloquer la caution. En parallèle, je m'interroge surtout sur la caducité de l'arrêté de lotir. C'est incroyable qu'il n'y est aucune pénalité , aucune indemnité pour le retard. C'est quand même un arrêté signé par la mairie. Je pense voir le maire pour cela. Quelqu'un peut-il valider la chose? Faut-il que la lotisseur refasse une demande avec un nouvel arrêté? Je confirme à jean-Michel, la date de l'arrêté est le 21/02/2007 et la fin des travaux le 20/02/2010. Je suis pas un em*****ur à la base, mais je déteste l'injustice et que l'on prenne les gens pour des cons, ce que fait le lotisseur qui a presque tous les droits n'est pas normal et c'est pas fini. La mairie n'a pas vraiment de poid! Alors si je peux le faire Ch..r un max, je le ferai. De toute façon, je suis seul dans cette affaire à chercher des infos, à faire des démarches et à dire aux autres co-lotis ce qu'il se passe. Vendredi prochain, il y a AG que j'ai provoqué afin que tous soient au courant et qu'on prennent des décisions. Je vous remercie tous pour vos réponses, cela me permet d'avancer. |
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Posté - 14 mars 2010 : 13:18:04
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avez vous lu calmement les articles R442-12 et suivants du code de l'urbanisme ? |
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Signature de Emmanuel Wormser |
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cordialement Emmanuel Wormser
Un souci juridique ? Pensez à relire votre contrat d'assurance multirisques habitation. Une assistance juridique, voire une protection juridique est peut-être incluse dans votre contrat ! |
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d19941
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Posté - 14 mars 2010 : 20:15:43
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Merci Emmanuel, j'suis pas super calme, j'ai arrêté le tabac récemment.... J'ai lu et relu ,et en fait l'Article *R442-13 semble le plus interressant. Je comprend à peu près tout, mais comprendre précisément ce qui en découle... et surtout ce que je dois en faire par rapport à ce que j'ai déjà fait. Il y a tellement de choses qui ne vont pas! S'il n'y avait que cette histoire de délais d'achêvement des voiries, mais y'a tout le reste. J'ai essayer de faire les choses intelligemment avec le lotisseur, le chargé de programme est même venu chez moi et je pensais qu'on arriverait à partager cetaines choses mais le trou entre nous ne fait que s'agrandir. Soyons fort et continuons. David a bien gagné contre Goliath...
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d19941
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Posté - 16 mars 2010 : 18:37:45
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A priori, il y a un décret qui autorise un délai de 1 ans supllémentaire au lotisseur. La raison: crise économique afin de permettre aux projets d'abouttir. Ce décret serait valable jusqu'à fin 2010. J'ai oublié mes papiers donc plus d'infos plus tard. |
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Posté - 16 mars 2010 : 18:50:56
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Pas si sur........pour les arrêtes de lotir ancien modele |
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Signature de Jean-Michel Lugherini |
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Posté - 17 mars 2010 : 09:09:45
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En complément et de quoi, effectivement mettre des citation: arrêtes de lotir (merci l'iphone ) en travers de la gorge du lotisseur.
Vous avez tout le sujet exposé dessous !
http://jurisurba.blogspirit.com/arc...mentees.html
citation: 16 décembre 2009 Veilles administratives : 2 réponses ministérielles (commentées) sur le champ d’application du décret n°2008-1353 du 19 décembre 2008 Texte de la question (publiée au JO le : 07/07/2009 page : 6834) : « M. André Schneider attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, sur les difficultés d'application du décret n° 2008-1353 du 19 décembre 2008 qui prolonge le délai de validité des permis de construire, d'aménager ou de démolir, et des décisions de non-opposition à une déclaration préalable. Ce texte prévoit que, « par dérogation aux dispositions figurant aux premier et troisième alinéas de l'article R. 424-17 et à l'article R. 424-18 du code de l'urbanisme, le délai de validité des permis de construire, d'aménager ou de démolir et des décisions de non-opposition à une déclaration intervenus au plus tard le 31 décembre 2010 est porté à trois ans. Cette disposition ne fait pas obstacle à la prorogation de ces autorisations dans les conditions définies aux articles R. 242-21 à R. 424-23 du même code ». Le renvoi, par ce décret, aux seuls permis de construire, permis d'aménager et de démolir et aux décisions de non-opposition à déclaration préalable ainsi qu'aux seules dispositions des articles R. 424-17 et R. 424-18 issus du décret du 5 janvier 2007, ne précise pas si cette prolongation s'applique aux autorisations délivrées sous le régime antérieur. Il lui demande de bien vouloir lui indiquer si la prolongation exceptionnelle d'un an du délai de validité des autorisations d'urbanisme prévue par le décret du 19 décembre 2008 concerne uniquement les autorisations demandées après le 1er octobre 2007 ou si elle s'applique également aux autorisations instruites sous l'ancien régime »
Texte de la réponse (publiée au JO le : 15/12/2009 page : 12074) : « S'agissant des autorisations demandées ou des déclarations faites avant le 1er octobre 2007, il y a bien lieu d'appliquer les dispositions du décret n° 2008-1353 du 19 décembre 2008 relatif au délai de validité des autorisations d'urbanisme. En effet, même si l'article 26 du décret du 5 janvier 2007 précise que ces autorisations ou déclarations restent soumises aux règles de compétence, de forme et de procédure en vigueur à la date de leur dépôt, la durée de validité est une règle de fond et non de forme ou de procédure. L'article 26 ne lui est donc pas applicable. Le décret du 19 décembre 2008 est également applicable aux permis de construire accordés avant le 1er octobre 2007 »
Texte de la question (publiée au JO le : 11/08/2009 page : 7784) : « M. Michel Terrot attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du logement et de l'urbanisme sur la prolongation de durée de validité des permis de construire prévue par le décret n° 2008-1353 du 19 décembre 2008. Il a pris bonne note de la réponse apportée le 21 juillet 2009 (JO AN, page 7232) à la question n° 45246, par laquelle il était indiqué que les permis de construire accordés avant le 1er octobre 2007 bénéficient de la prolongation de durée de validité prévue par le décret n° 2008-1353 du 19 décembre 2008. Compte tenu du sens de cette réponse, il souhaiterait avoir la confirmation que la prorogation bénéficie également aux autorisations de lotir délivrées sous l'empire des règles antérieures à la réforme des autorisations d'urbanisme, qu'elle aient été délivrées avant le 1er octobre 2007 ou après cette date, et, partant, s'il convient d'ajouter un an de validité aux 18 mois et trois ans prévus par les dispositions de l'ancien article R. 315-30 du code de l'urbanisme »
Texte de la réponse (publiée au JO le : 15/12/2009 page : 12075) : « L'article 1 du décret n° 2008-1353 fixe précisément le champ d'application de la prorogation du délai d'un an des autorisations de construire en indiquant que cette disposition concerne « le délai de validité des permis de construire, d'aménager ou de démolir et des décisions de non-opposition à une déclaration intervenus au plus tard le 31 décembre 2010 ». Compte tenu du régime particulier de caducité des autorisations de lotir, délivrées en application des règles en vigueur avant la réforme du 1er octobre 2007, celles-ci ne figurent pas au nombre des actes énumérés par ledit décret. En conséquence, les autorisations de lotir régies par la législation antérieure à la réforme évoquée ne peuvent bénéficier des dispositions dérogatoires introduites par le texte réglementaire du 19 décembre 2008. Leur durée de validité reste fixée à dix-huit mois et trois ans, en application de l'ancien article R. 315-30 du code de l'urbanisme. En revanche, les lotissements ayant fait l'objet d'un permis d'aménager ou d'une non-opposition à déclaration préalable depuis le 1er octobre 2007 en bénéficient »
Commentaires : Voici deux réponses particulièrement intéressantes pour ce qui concerne la vraie problématique du délai de validité des autorisations de lotir délivrées après le 1er octobre 2007 mais en conséquence d’une demande régulièrement déposée avant cette échéance.
En effet, suivant la règle posée par l’article 26 du décret du 5 janvier 2007 (dans sa rédaction issue du décret du 11 septembre 2007) les demandes présentées avant le 1er octobre 2007 restent régies par les règles de compétence, de forme et procédure en vigueur avant cette date : telle étant la raison pour laquelle les demandes d’autorisation de lotir présentées avant cette échéance mais dont le délai d’instruction expirait après celles-ci ont abouti à la délivrance d’autorisations de lotir et non pas de permis d’aménager.
Il reste, comme le précise à juste titre les réponses ministérielles précitées, que la règle posée par l’article 26 susvisé ne régie pas le délai de validité des autorisations d’urbanisme puisqu’il s’agit d’une règle de fond.
Or, les dispositions des articles R.424-17 et suivants, ainsi que celles du décret du 19 décembre 2008, ne visent pas expressément les autorisations de lotir ; élément déterminant selon la seconde réponse susvisée.
Mais à s’en tenir à la rare jurisprudence rendue à propos de l’application dans le temps des articles R.424-17 et suivants, le délai de validité d’une autorisation d’urbanisme doit être déterminée en considération de celui en vigueur à sa date de délivrance.
On voit donc mal comment le régime des autorisations de lotir délivrées après le 1er octobre 2007 pourrait rester déterminé par l’ancien article R.315-30 dans la mesure où :
- d’une part, il s’agit donc d’une règle de fond ne relevant pas de l’article 26 du décret du 5 janvier 2007 ; - d’autre part, l’article 315-30 a été abrogé le 1er octobre 2007 par l’entrée en vigueur du décret du 5 janvier 2007.
On admira ainsi le brio avec lequel la seconde réponse susvisée évite soigneusement d’aborder le problème des autorisations de lotir délivrées après le 1er octobre 2007 alors que l’objet de la question posée était précisément d’avoir « la confirmation que la prorogation bénéficie également aux autorisations de lotir délivrées sous l'empire des règles antérieures à la réforme des autorisations d'urbanisme, qu'elle aient été délivrées avant le 1er octobre 2007 ou après cette date »…
Patrick E. DURAND Docteur en droit – Avocat au barreau de Paris Cabinet FRÊCHE & Associés
**modération** ajout de la référence de la source |
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Signature de Jean-Michel Lugherini |
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Édité par - Emmanuel Wormser le 17 mars 2010 09:20:01 |
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d19941
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Posté - 17 mars 2010 : 14:13:36
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Merci Emmanuel pour cette info. J'avais trouvé un peu tout et son contraire. y'a plus qu'a.. |
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d19941
Nouveau Membre
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Posté - 17 mars 2010 : 14:14:56
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Pardon, merci Jean-Michel. |
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Posté - 17 mars 2010 : 14:38:51
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d19941
Nouveau Membre
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Posté - 01 avr. 2010 : 20:03:45
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Bonjour, en effet, l'arrêté de lotir est caduque et ils sont obligé d'en refaire un pour terminer les travaux de finition et cela en accord avec les co-lotis. On verra ce que l'on peut négocier mais je n'y crois pas trop. J'ai appelé également la banque de cautionnement pour la garantie d'achement des travaux puisque nous avions fait la mise en demeure. Je leur demande de débloquer l'argent (belle somme). Le banqieur me répond qu'il ne débloque que l'argent lorsqu'il y a faillite du lotisseur. Je lui rappelle allors les texte de loi (les artcicle 442-13 à 442-17) mais rien y fait. Il va appellé le lotisseur... Il y a une sorte de vide puisque le lotisseur nous dit qu'il va commencer les travaux fin avril (aucun écris bien sur), que ceux-ci devraient etre terminés depuis le 20 février. Et qu'il faut un nouvel arrêté. Quand celui-ci a eu besoin de prendre de l'argent dans nos comptes- séquestres, ça se fait sans problème. Mais quand le co-lotis demande le respect des engagements cela devient une vrai montagne a surmonté. A ce jour, il y a une sorte de vide (qui n'en ai pas un pour moi) La banque doit nous versé l'argent que le lotisseur décide ou non de faire les travaux dans les 2 mois. Si on refuse le nouvel arrêté de lotir (permis modificatif) alors que l'ancien est caduque, quelles vont être les conséquences. J'espère pouvoir négocier. Qu'en pensez-vous? J'ai pas encore eu le temps de prendre contact avec un avocat au nom de l'ASL mais il va falloir le faire. |
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Posté - 01 avr. 2010 : 22:23:12
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mettez le notaire dans la boucle... et prenez un avocat. |
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Signature de Emmanuel Wormser |
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cordialement Emmanuel Wormser
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d19941
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Posté - 01 avr. 2010 : 22:47:34
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Bonjour Emmanuel, Le notaire est déjà au courant (plus ou moins) mais elle fait un peu la sourde oreille... Un boulot cool, pas trop de problème, et quand y'en a, ben c'est la vie quoi. Que veux tu dire en la mettant dans la boucle? Quand je lui ai parlé de la caducité de l'arrêté, elle a rigolé! |
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Posté - 01 avr. 2010 : 22:55:40
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elle a un devoir de conseil et ne peut pas enregistrer la vente de "n'importe quoi"... sa responsabilité risque donc d'être engagée si elle n'a pas pris toute la mesure du risque qu'elle faisait porter aux acheteurs... et là , ça fait moins rire ! |
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Signature de Emmanuel Wormser |
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d19941
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Posté - 06 avr. 2010 : 15:37:54
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Salut,
j'ai pris rdv avec un avocat mercredi prochain. Je vous tiendrais informé de ses réponses. j'attend également que le lotisseur nous recontacte pour le permis de lotir modificatif. Est-ce que cela se fait uniquement par courrier ou par une procédure différente (genre réunion avec le notaire) afin de donner notre accord ou non.??? |
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Posté - 06 avr. 2010 : 16:32:52
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ne plus rien faire sans avis de l'avocat... si vous avez eu la bonne idée d'en prendre un, il faut lui faire confiance et ne pas faire ce qui contreviendra à l'accomplissement de la stratégie qu'il va mettre en oeuvre. |
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Signature de Emmanuel Wormser |
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d19941
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Posté - 07 avr. 2010 : 10:06:54
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OK et merci Emmanuel, j'attend l'entretient avec l'avocat. Par contre, je viens de récupérer l'arrêté de vente par anticipation. Il est dit: art 2: "Lesdits travaux, hormis les travaux de finition, devront être achevés au plus tard le 02/05/2008 et en totalité au plus tard le 20/02/2010". (cela reprend l'arrêté de lotir). Par contre, il y a l'article 4: "Est abrogé la disposition de l'arrêté d'autorisation de lotir prévoyant sa caducité en cas de non achèvement des travaux dans les délais impartis". => que conclure??? y'a pas grand chose à faire tout est écrit en notre sens puis son contraire quatre lignes plus loin. J'ai également la lettre d'engagement du lotisseur s'engageant à terminer les travaux dans le délai imparti de 3 ans conformément à l'arrêté. Cela pour obtenir l'arrêté de vente par anticipation. Cela se mort la queue! En fait , on permet de rédiger des arrêtés avec des contraintes que l'on abroge avec un article d'un autre arrêté??? Je présente tout ça à l'avocat et on verra, mais je ne suis pas vraiment confiant sur nos possibilités. Il y a 184 864 euros de caution en banque pour terminer les travaux, si la loi dis que cet argent doit être débloqué à la date de finition totale des travaux pourquoi est-il si difficile de la faire??? Le lotisseur peut donc avoir autant de retard qu'il le souhaite. |
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Posté - 07 avr. 2010 : 11:42:29
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le délai de caducité d'un arrêté de lotir n'est pas fixé par l'arrêté du maire mais par des lois et règlements opposables inclus dans le code de l'urbanisme.
toute mention contraire à cela est illégale.
donc reportez vous aux délais légaux. |
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Signature de Emmanuel Wormser |
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d19941
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Posté - 07 avr. 2010 : 13:37:02
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J'ai pris note,et si je résume, il y a l'arrêté de lotir de la mairie + l'arrêté de vente par anticipation (toujours de la mairie), lesquels font référence au code de l'urbanisme. Donc, ces arrêtés (article 4) sont contraires à la loi fixée par le code de l'urbanisme. Devant le tribunal, c'est le code de l'urbanisme qui fait référence si je comprend bien. Comment se fait-il que la mairie rédige cela dans son arrêté? Merci pour tes informations précieuses qui me permettrons d'exposer au mieux le problème à l'avocat. |
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Posté - 07 avr. 2010 : 13:54:41
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c'est plus fin que ça.
il faut lire attentivement le R315-30 ancien qui s'applique aux lotissements pré-réforme |
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Signature de Emmanuel Wormser |
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cordialement Emmanuel Wormser
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d19941
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Posté - 08 avr. 2010 : 09:30:00
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Bonjour Emmanuel,
j'ai lu, relu le R 315-30. Voilà ce que j'ai trouvé http://www.adef.org/site/?p=72. Donc pas de caducité de l'arrêté. Il ne reste plus que des dommages et intérêts si on décide de faire un procès pour le retard. |
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