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Brèves : 
 Les Français se laissent gagner aux énergies renouvelables - 4/2/2013
 les Français et la prévention des incendies domestiques - 4/2/2013
 Le mal-logement continue de s'aggraver et met les familles en difficulté - 1/2/2013
 Transition écologique : le Premier ministre envoie des lettres de cadrage - 29/1/2013
 L'Allemagne ne serait plus à l'abri de la hausse des prix et des loyers... - 28/1/2013
 Les investisseurs institutionnels et le logement : L'IEIF redresse quelques idées reçues - 23/1/2013
 Comment l'UNPI justifie les locations indignes... - 23/1/2013
 Dans un marché immobilier en berne, le réseau Century 21 propose plus de 1.200 postes - 22/1/2013
 Logement: : vers une gouvernance à l'échelle de toute la région ? - 22/1/2013
 Construction neuve : le casse-tête des terrains - 22/1/2013

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Les Français se laissent gagner aux énergies renouvelables

4/2/2013 
Pour la troisième année consécutive, le baromètre 2013 (1) réalisé par l'Ifop pour l'association Qualit'EnR, chargée de la qualification des entreprises d'installation de systèmes d'énergie renouvelable, confirme l'intérêt des Français pour les énergies renouvelables : ils seraient 40% à avoir déjà équipé leur logement principal en énergie renouvelable, soit 5% de plus qu'en janvier 2012. Le taux d'équipement atteint même 60% pour les propriétaires de maisons individuelles, et il est même de 63% pour les habitants de communes rurales contre 14% pour les parisiens, note l'Ifop.

Ce taux d'équipement est atteint principalement au moyen des inserts, favoris des personnes âgées et des communes rurales, et des poêles à bois, qui sans surprise arrivent en tête avec respectivement 19% (+3% en un an) et 14% (+3%), suivis par les pompes à chaleur (11%), les panneaux photovoltaïques (6%), les chauffe-eau solaires (5%), les systèmes solaires combinés chauffage/eau chaude (4%) et les chaudières bois (4%).

37 % des Français interrogés manifestent par ailleurs l'intention de s'équiper, soit 6% de plus qu'en 2012 et 12% de plus qu'en 2011. C'est le chauffe-eau solaire qui suscite le plus d'intérêt (17%, soit +4% depuis un an), suivi du système solaire combiné (16%), des panneaux photovoltaïques (15%) et du poêle à bois (14%).

Le taux de confiance dans les différents types d'énergies renouvelables évoqués plus haut varie de 82% à 85%, sauf pour les panneaux photovoltaïques qui n'atteignent que 73%, ce qui n'est pas si mal... Cette confiance est également accordée aux installateurs d'équipements énergétiques à 61%, plaçant le label de qualité ou la qualification en tête des critères de confiance (79%).

Enfin, 96% des personnes interrogées estiment qu'il faut encourager en France les énergies renouvelables pour la production de chaleur et d'électricité, devant le gaz naturel (80%), le nucléaire( 54 %), le charbon (43%), le gaz de schiste (35%) et le fioul (32%). Mais l'action des pouvoirs publics pour promouvoir les EnR est jugée insuffisante par 67% des personnes interrogées...


(1) étude réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 8 au 9 janvier 2013 pour Qualit'EnR - échantillon de 1.008 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, établi par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d'agglomération.

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les Français et la prévention des incendies domestiques

4/2/2013 
Le 8 mars 2015, tous les logements devront être équipés d'un DAAF (détecteur autonome avertisseur de fumée). Pourtant, si un grand nombre de Français déclare connaître l'existence de cette loi, ils ne sont par exemple que 21% à savoir à qui - du propriétaire ou du locataire - revient la responsabilité de l'installation de l'appareil : c'est une des informations révélée par un sondage réalisé pour Kidde, spécialiste mondial de la prévention et de la lutte contre les incendies domestiques (1).

Le risque d'incendie de son logement continue à être perçu de manière ambigüe : si 77% des Français considèrent que le risque d'incendie de son lieu d'habitation est un sujet à prendre au sérieux, ils ne sont que 47% à penser que leur lieu d'habitation pourrait être touché par ce type de risque. Cependant, 54% des Français se déclarent tout de même préoccupés par la prévention de ce type de risque...

Concernant les DAAF, 97% des Français déclarent qu'ils savent au moins à peu près de quoi il s'agit. 65% d'entre eux déclarent aussi savoir que d'ici mars 2015, l'installation de détecteurs de fumée serait obligatoire dans tous les logements ce qui est remarquable en soi. Par contre, 61% des sondés pensent que la responsabilité de l'installation et de l'entretien d'un détecteur de fumée incombe au propriétaire du logement et 6% au locataire. 21% seulement déclarent qu'il s'agit de l'occupant, ce que prévoit la loi (sauf pour les locations saisonnières, les locations meublées, les logements de fonction et les foyers, où c'est au propriétaire de veiller à l'installation et au bon fonctionnement du détecteur).

Lorsqu'on leur demande s'ils pensent équiper leur logement d'un détecteur de fumée, 59% des Français déclarent une intention positive d'ici à mars 2015 : 9% avant la fin 2012, 18% en 2013 et 32% avant mars 2015. En termes de volume, 30% des Français qui pensent s'équiper achèteraient 1 détecteur, 27% en achèteraient 2 et 23% en achèteraient 3 ou plus. Un achat qui se ferait en grande surface de bricolage ou en magasin spécialisé, pour un prix situé autour de 30 euros...


(1) enquête réalisée par téléphone du 2 au 5 septembre 2012, par l'institut de sondage LH2, auprès de 1.010 responsables ou coresponsables des achats d'équipement du logement

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Le mal-logement continue de s'aggraver et met les familles en difficulté

1/2/2013 
C'est devenu une routine : chaque année, la Fondation Abbé Pierre tire la sonnette d'alarme un peu plus fort. Dans la 18e édition de son rapport sur le mal logement, elle chiffre à 0,685 million le nombre de personnes privées de domicile personnel, à 2,78 millions celles vivant dans des conditions de logement très difficile (privation de confort, surpeuplement grave), et à 5,1 millions celles en situation de réelle fragilité à court terme, dont 1,22 millions de locataires en impayé, et 3,22 millions en situation de surpeuplement au sens large. Ainsi 8,2 millions de Français vivent en situation de difficulté plus ou moins grave liée au logement.

Même si ces chiffres n'ont pratiquement pas bougé depuis 2011, le mal-logement atteint à présent les classes moyennes. L'accélération de la progression du chômage et de la précarité en 2012 risque malheureusement d'augmenter encore le nombre de mal-logés dans les deux ou trois années qui viennent, au fur et à mesure que les demandeurs d'emploi longue durée d'aujourd'hui deviendront des chômeurs en fin de droit...

La Fondation Abbé Pierre reprend le chiffre communément admis de 900.000 logements manquants par rapport aux besoins de la population française. Elle attend que les décisions politiques s'inspirent du "Contrat social pour une nouvelle politique du Logement", signé par le président de la République le 1er février 2012 alors qu'il était en campagne électorale, contrat qui constitue désormais pour la Fondation Abbé Pierre "la grille d'analyse et d'évaluation des mesures adoptées (ou qui doivent l'être) par le nouveau gouvernement".

Pour les quelques 150.000 personnes sans domicile, les dispositifs d'hébergement d'urgence sont saturés. Le principe fondamental de l'accueil inconditionnel n'est toujours pas effectif en 2012. Les demandes d'hébergement reçues au 1156 ont augmenté de 37 % en novembre 2012 (par rapport à novembre 2011), de 52% chez les jeunes de 18 à 24 ans et de 60% chez les familles avec enfants, désormais majoritaires. Faute de places disponibles, plus de 3 personnes sur 4 n'obtiennent pas de prise en charge. L'augmentation des appels au 115 se manifeste dans des territoires
qui étaient jusqu'à présent épargnés, y compris en zone rurale, sachant que de nombreuses personnes n'appellent plus par découragement...

La hausse des prix augmente la part du logement dans le budget des ménages sans que les aides au logement ne parviennent à la compenser ; la fondation cite le rapport de l'IGAS 2012 selon lequel "certains ménages supportent aujourd'hui, malgré le bénéfice de l'aide, des taux d'effort prohibitifs et des restes à vivre particulièrement faibles".

La fondation rappelle également que les impayés progressent et tous les indicateurs disponibles soulignent une inquiétante dégradation de la situation. En 2012, selon un bilan effectué par l'UNCCAS, les difficultés quotidiennes liées au paiement du loyer ou des factures d'énergie sont devenues le premier élément déclencheur des nouvelles demandes d'aides adressées aux CCAS. Le Secours Catholique signale dans son dernier rapport que sur 60% des 1,422 millions de personnes accueillies en 2011 confrontées à des impayés, 40% des cas concernent le loyer et l'énergie.

Difficultés également pour les familles : "si tant de pères passent si peu de temps avec leurs enfants, c'est aussi un problème de logement", avait lancé la Fondation Abbé Pierre dans le cadre de la mobilisation générale pour le logement en 2012. Elle souhaitait attirer l'attention sur les difficultés que peuvent avoir des pères séparés pour accueillir leurs enfants quand ils ne disposent pas d'un logement suffisamment grand ! En se transformant, la famille s'expose davantage aux difficultés de logement. "La source principale de fragilité réside dans la constitution de ménages où il n'y a plus qu'un seul adulte, et donc qu'une seule source de revenu dont ni le niveau, ni la permanence ne sont assurés en période de crise économique. La transformation de la famille s'accompagne alors bien souvent d'une précarité accrue, et de l'entrée dans l'incertitude de ménages qui précédemment arrivaient à faire face aux dépenses de la vie quotidienne", indique la fondation.

En attirant l'attention sur les "familles fragiles", elle souhaite mettre en lumière deux évolutions distinctes mais également préoccupantes. La première est due à la crise du logement qui déstabilise les familles ; la seconde est liée à la profonde mutation des structures familiales, qui élargit le cercle des ménages exposés au mal-logement. La crise du logement contraint les familles à s'éloigner, ou à vivre dans de mauvaises conditions. Elle compromet aussi les projets conjugaux et familiaux. Les CAF dénombrent de plus en plus de personnes déclarant vivre en couple bien qu'elles ne partagent pas le même logement que leur conjoint(e)...

Les médias ont également mis en évidence que la crise du logement contraint aussi d'autres couples à continuer de vivre ensemble alors qu'ils ont décidé de se séparer ! Elle contrecarre la politique familiale qui a jusqu'ici dynamisé la démographie française : le nombre d'enfants par couple, peut à terme en être réduit. De manière générale, elle freine le développement personnel de nombreux jeunes et retardant leur autonomisation !

Enfin, les cohabitations subies au sein de la famille concernent également de nombreux adultes, d'âge plus avancé (voire d'âge mûr) qui, face à des accidents de la vie, sont contraints de revenir vivre chez leurs parents (ou leurs enfants). "C'est le cas de jeunes trentenaires, ceux que l'on appelle "la génération boomerang" qui n'ont pas d'autre choix que de revenir habiter avec leurs parents suite à une dégradation de leur situation professionnelle, une séparation de couple ou d'autres événements déstabilisants qui altèrent leurs ressources, et ne laissent pas d'autre choix que de renoncer (au moins provisoirement) à se loger par soi-même. C'est le cas également de certains seniors notamment lorsque le passage à la retraite provoque une diminution importante des ressources ; la situation est plus difficile encore quand ces personnes, principalement des femmes, n'ont pas eu de carrière complète ou se retrouvent seules après le décès de leur conjoint...

La Fondation Abbé Pierre souhaite ainsi une fois de plus attirer l'attention des responsables politiques sur quatre enjeux majeurs qu'il convient de ne pas éluder pour atteindre les objectifs du "Contrat social" : produire suffisamment de logements pour répondre aux besoins sociaux, maîtriser les loyers et améliorer la couverture des aides au logement, refonder la politique en faveur des sans-abri et des mal-logés, et enfin poursuivre la rénovation urbaine et relancer la politique de la ville.


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Transition écologique : le Premier ministre envoie des lettres de cadrage

29/1/2013 
Il l'avait annoncé le 4 décembre lors du séminaire gouvernemental sur la transition énergétique : le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a fixé à chacun des ministres concernés les actions prioritaires à engager en 2013, et procèdera ainsi annuellement à l'avenir (comme les conférences environnementales). Pour le chef du gouvernement, la "transition écologique" doit devenir "un des éléments de la sortie de crise", et l'ensemble des politiques publiques doit être profondément modifiées, "ce qui implique des capacités de mobilisation interministérielles et de programmation gouvernementales nouvelles".

A l'égalité des territoires et au logement, Cécile Duflot devra s'attacher prioritairement à deux chantiers : la rénovation énergétique et "la prise en compte de la densification et des outils permettant de freiner l'artificialisation des espaces agricoles", dans le projet de loi relatif au logement et à l'urbanisme mis en chantier pour une adoption en fin d'année ou début d'année prochaine.

Un "plan de rénovation énergétique" doit être finalisé au cours du premier semestre et engagé pour rénover en priorité les logements les plus mal isolés, mais avec l'objectif de "mettre aux meilleures normes énergétiques un million de logements neufs et anciens par an à terme" (en fait 500.000 logements neufs, nécessairement aux normes de la "RT2012", et 500.000 en rénovation). Cécile Duflot devra travailler en lien avec la ministre de l'écologie, Delphine Batho, pour accélérer le rythme des travaux de rénovation lourds sur le parc social, en renforçant l'aide apportée par l'éco-prêt logement social et en améliorant les autres aides, comme le dégrèvement de la taxe foncière sur les propriétés bâties (avec le ministère de l'économie et des finances), veiller à ce que l'ANAH puisse renforcer son action en matière de lutte contre la précarité énergétique, orienter l'Eco-prêt à taux zéro ("Eco-PTZ") et le crédit d'impôt développement durable (CIDD) vers les rénovations lourdes dans une logique de simplicité, d'efficacité et d'équité, et enfin élaborer des nouveaux systèmes de financement basés sur l'intervention des "tiers investisseurs". La rénovation énergétique devra s'accompagner d'une attention particulière sur la qualité de l'air intérieur, à laquelle les différents acteurs devront être sensibilisés.

En ce qui concerne les bâtiments neufs, le Premier ministre demande de définir pour fin 2013, début 2014 un label de performance énergétique et environnementale qui soit en adéquation avec les travaux sur les évolutions de la réglementation, et de définir, grâce aux travaux menés en 2013, un label pour les bâtiments à énergie positive (BEPOS) qui prendra en compte le recours aux énergies renouvelables, une approche quartier et îlot urbain et l'énergie grise des matériaux. Pour valoriser les filières vertes locales, le ministère du Logement et le CSTB devront travailler sur l'amélioration des procédures d'évaluation des produits de construction, et proposer aux professionnels une offre de formation initiale et continue adaptée...

Par ailleurs, Cécile Duflot devra remettre au Premier ministre, en début de cette année, une feuille de route sur la ville durable qui s'appuiera sur le label Eco-quartier, accessible à tous les territoires, mettant l'accent sur le processus, la qualité de la démarche et la certification des résultats dans la durée. L'objectif est de promouvoir à l'exportation une offre intégrée en matière de développement urbain durable, de développer la compétitivité des entreprises françaises et "créer des démonstrateurs de la ville durable".

De son côté, à l'écologie, Delphine Batho devra soutenir activement les énergies renouvelables, proposer des pistes d'amélioration pour l'élaboration des plans climat-énergie territoriaux (PCET) innovants et ambitieux, proposer, avec le ministère de l'économie et des finances, la façon de développer la fiscalité écologique, qui débouchera mi 2013 sur des propositions pour le projet de loi de finances pour 2014.

Un paragraphe de la lettre de cadrage du ministre de l'économie et des finances concerne les compteurs communicants : il est en effet demandé au ministre, en concertation avec le ministère de l'écologie, de "favoriser les changements de comportement de nos concitoyens par un déploiement des compteurs communicants dans l'électricité et le gaz, outils indispensables de la nécessaire prise de conscience par les consommateurs des vrais prix de l'énergie et de la maîtrise de leur consommation". On sait que le déploiement de ces compteurs doit démarrer début 2014...

Christiane Taubira, à la justice, est également concernée notamment pour favoriser la rénovation énergétique des logements (en lien avec Cécile Duflot) en mettant en place des mesures favorisant les travaux dans les copropriétés et en oeuvrant pour sensibiliser les syndics de copropriétés aux enjeux de cette rénovation énergétique.

Même Stéphane Le Foll, ministre de l'agriculture, est mobilisé : il devra "étudier sans délai les moyens pour valoriser au mieux la ressource forestière par le développement du bois-énergie, par l'utilisation accrue du bois dans la construction et la rénovation thermique des bâtiments"... Quant au ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, il est invité à soutenir l'innovation dans les domaines des énergies renouvelables (solaire, éolien, notamment en mer…), la sobriété énergétique et les technologies du bâtiment, et a participé à l'identification des outils financiers et réglementaires les plus adaptés à l'implication des petites et moyennes entreprises dans la politique de rénovation thermique des bâtiments, en soutenant leur compétitivité...


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L'Allemagne ne serait plus à l'abri de la hausse des prix et des loyers...

28/1/2013 
Le coût du logement qui grimpe dans les grandes villes et commence à exclure les moins riches des centres-villes : alors que la France envie la sagesse de l'immobilier allemand, l'accès au logement est appelé à peser dans la course à la Chancellerie qui démarre. On parle même de "folie des loyers" (Mietenwahnsinn) ! Une étude récente de l'institut berlinois DIW atteste de cette envolée : le prix du mètre carré à l'achat a ainsi augmenté de 72% à Berlin (loyers: +28%), de 50% Hambourg (+23%) ou de 37% à Munich (+16%). La croissance de la population et des salaires ainsi que la faible construction de logements neufs donnent lieu dans certains quartiers à de véritables "remplacements de population". A contre-courant de la France, le volume de transactions sur le marché immobilier a augmenté de 25% en 2012. En décembre 2012, la Banque fédérale allemande s'est même inquiétée de la naissance d'une bulle immobilière, inquiétude partagée par plusieurs organismes privés (Allianz, Cushman & Wakefield, Immobilienscout). Même si tout le monde reconnaît que le caractère spéculatif est marginal et que les crédits hypothécaires n'ont pas explosé comme en Irlande ou en Espagne avant la crise. Certains craignent cependant que ce "boom immobilier" se transforme en une bulle, notamment si les banques, faute de rentabilité suffisante sur d'autres marchés, abandonne leur politique conservatrice en termes de crédits...

Le candidat SPD, Peer Steinbrück, en difficulté dans les sondages choisit pour sa campagne le terrain social - logement, retraites, précarité de l'emploi - et promet de réguler davantage les augmentations des loyers déjà encadrés (15% en quatre ans contre 20% maximum en trois ans aujourd'hui). La CDU, aujourd'hui au pouvoir, reprend une argumentation familière en France : alors qu'il existe déjà des mécanismes de régulation en place, dont cherche d'ailleurs à s'inspirer le gouvernement français, elle prévient qu'une "sur-régulation" des acteurs et notamment des bailleurs, conduira à un blocage du marché, ce qui augmentera in fine les prix.


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Les investisseurs institutionnels et le logement : L'IEIF redresse quelques idées reçues

23/1/2013 
Dans une étude intitulée "La détention de logements par les institutionnels : faits avérés et contrevérités", l'IEIF (Institut de l'épargne immobilière et foncière) a tenté de faire la lumière sur le désengagement des "zinzins" - les SCPI, SIIC, OPCI, compagnies d'Assurance, etc. - de l'immobilier résidentiel, à un moment où le gouvernement tente d'inverser le mouvement de fuite par rapport à cet actif jugé peu rentable et couteux en gestion : entre 1985 et 2009, 1,2 million de logements ont en effet été cédés par les personnes morales, soit en bloc, soit "à la découpe".

L'état des lieux effectué évalue le poids du logement dans les actifs détenus par ces mêmes institutionnels, les performances réellement obtenues dans le logement et une comparaison avec les autres classes d'actifs immobiliers, les incitations juridiques et fiscales et la prise de conscience des professionnels eux-mêmes de l'intérêt à revenir sur le logement et le développement d'actifs résidentiels alternatifs (résidences étudiants, séniors et santé).

En valeur, le résidentiel représente 14,5 milliards d'euros pour les compagnies d'assurances, de l'ordre de 7,5 milliards pour les SIIC, de 3,2 milliards pour les SCPI et environ 1,4 milliard pour les OPCI soit en tout près de 27 milliards d'euros, correspondant à 15% du total de l'immobilier détenu par les investisseurs institutionnels.

Et surprise : s'il est vrai que les institutionnels ont cédé une part importante de leurs actifs immobiliers, il apparaît que le résidentiel n'a pas été plus arbitré que l'immobilier d'entreprise, du moins par les compagnies d'assurance, qui sont dans le viseur du gouvernement. Par ailleurs, les performances globales dans le résidentiel sont comparables à celles des autres classes d'actifs immobiliers même si le rendement locatif obtenu par le résidentiel est faible, nettement inférieur à celui dégagé par les autres classes d'actifs immobiliers. La performance globale a été "rattrapée" par la valorisation et elle est supérieure aux autres (11,7% en 2011 contre 9,5% pour les commerces, 7,2 pour les bureaux et 6,2 pour la logistique et les locaux d'activités) !

Une comparaison internationale est édifiante : contrairement à des idées reçues, la détention d'actifs résidentiels par les institutionnels est tout aussi importante en France que dans certains pays où ces derniers sont réputés en détenir une part très importante dans leur parc, l'Allemagne en tête. Seuls la Suisse et les Pays-Bas font mieux (respectivement 29 et 23% contre 15% pour la France et l'Allemagne)...


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Comment l'UNPI justifie les locations indignes...

23/1/2013 
Alors que plusieurs affaires choquantes d'exploitation indigne de micro-logements viennent de défrayer la chronique, comme la dernière en date d'une mère célibataire et son enfant expulsés par voie de fait illégale (changement des serrures) d'un taudis de 4m2 que leur propriétaire leur facturait depuis deux ans 200 euros par mois, l'UNPI (Union nationale de la propriété immobilière) qui revendique plus de 200.000 adhérents a livré son explication. Selon son président, Jean Perrin, invité sur Europe 1, "si on en est là, c'est parce qu'il y a un véritable problème et qu'il n'est pas traité ; dénoncer cette situation, c'est bien mais quelle est la réalité sur le terrain : on ne construit pas assez de logements dans les secteurs tendus donc il ne faut s'étonner que les gens cherchent des solutions". Et d'ajouter : "deuxièmement, il y a des gens qui s'entassent en Ile-de-France alors qu'il y a plein de logements vides dans de beaux secteurs de France, Saint-Etienne, Belfort. Souvent, ce sont des personnes qui ne travaillent pas, donc elles n'ont pas l'obligation d'être sur Paris. Il y a aussi un certain nombre de personnes qui ne sont pas forcément en situation régulière et qui sont prêtes à prendre n'importe quoi, dans n'importe quelles conditions. Il faut donc plutôt s'attaquer à ces causes", a-t-il conclu...

Réagissant aux informations parues dans la presse, la ministre en charge du logement a pour sa part indiqué réfléchir à des sanctions contre les propriétaires hors la loi, semble-t-il de plus en plus nombreux avec la crise et la difficulté d'accès au logement. Par exemple être obligés de reloger leurs locataires et s'il ne le font pas, la ville ou l'Etat le feront, mais aux frais du propriétaire !

Selon Christophe Robert, délégué général adjoint à la Fondation Abbé Pierre, cité par Le Figaro, "le phénomène croît depuis dix ans et se tend un peu plus chaque année". "20% des situations que je traite concernent des affaires de logement faisant moins de 9 m², ajoute Samuel Mouchard, chargé de mission à la Fondation Abbé Pierre, également cité par le même quotidien. "Et les loyers ne sont jamais anecdotiques: de 100 à 200 euros du mètre carré. J'ai vu des appartements de 5 m² loués à 500 ou 600 euros ! (...) La capitale compte un nombre très important de petites surfaces, que certains n'hésitent pas à louer à des tarifs exorbitants juste pour faire de l'argent"...

Rappelons qu'en application d'un décret du 31 janvier 2002, la location comme la mise à disposition à titre gratuit pour habitation principale de surfaces de moins de 9 m² est interdite. Le propriétaire risque des poursuites pour hébergement incompatible avec la dignité humaine. Il encourt cinq ans d'emprisonnement et 150.000 euros d'amende.


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Dans un marché immobilier en berne, le réseau Century 21 propose plus de 1.200 postes

22/1/2013 
Bravade ou acte de foi en l'avenir ? Alors que dans leur ensemble les agents immobiliers font grise mine, touchés fortement par l'effondrement de l'activité du marché de l'immobilier ancien, le réseau Century 21, rassemblant quelque 800 agences immobilières et cabinets d'administration de biens employant 5.500 collaborateurs salariés ou agents commerciaux sur toute la France, lance une stratégie offensive de développement pour les 10 prochaines années et souhaite dès à présent pourvoir plus de 1.200 postes couvrant les principales activités exercées en agences : la transaction, la gestion locative, l’administration de biens, la copropriété ou l’immobilier de commerce et d’entreprise. 17 métiers différents sont ainsi proposés allant de l’assistante commerciale au manager d’agence. Au total, 148 postes administratifs, 939 postes à caractère commercial et 129 postes d’encadrement sont à pourvoir.

Si les activités de gestion locative et de syndic de copropriété des cabinets adhérents, non impactées par la crise, sont structurellement en besoin de recrutement, il est plus surprenant de voir proposer des postes de commerciaux alors que la FNAIM (Fédération nationale de l'immobilier) annonçait au début du mois la perte dans la profession d'agent immobilier de près de 10.000 postes en 2012. Mais le paradoxe n'est peut-être qu'apparent : il est en réalité tentant pour un réseau tablant sur l'avantage concurrentiel d'une franchise de prendre en augmentant son potentiel de production des parts de marché sur une profession qui a au contraire tendance à réduire la voilure...


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Logement: : vers une gouvernance à l'échelle de toute la région ?

22/1/2013 
C'est le projet exprimé par le maire de Paris Bertrand Delanoë, à l'occasion de la présentation de ses voeux à la presse le 21 janvier : la création d'une instance de pilotage et de coordination doit figurer dans le projet de loi sur l'acte III de la décentralisation attendu pour le mois de mars, permettant "d'être plus efficace ensemble sur la politique du logement, de l'hébergement d'urgence, de l'environnement" et à ce titre de la rénovation thermique des logements. Elle devra fédérer la région Ile-de-France, la Ville de Paris, les départements de petite et grande couronnes et les intercommunalités", a souligné le maire de Paris, précisant qu'elle doit couvrir le "périmètre urbain au sens de l'INSEE", c'est-à-dire les 412 communes du coeur de l'agglomération. Approche que partage le président de la région, Jean-Paul Huchon, qui considère le périmètre régional comme plus pertinent pour penser le logement, car la grande couronne est devenu le réceptacle de populations ne pouvant plus se loger dans le centre en raison de la pénurie et des coûts.

Le maire de Paris souhaite que l'instance de gouvernance soit à adhésion obligatoire, et dispose de "moyens coercitifs" de mettre en oeuvre la cohérence métropolitaine", notamment dans ses objectifs de construction de logements sociaux. Elle devrait bénéficier de "transferts de compétences", incluant "l'hébergement d'urgence et l'environnement".

Bertrand Delanoë et Jan-Paul Huchon, même s'il y a des nuances entre eux, n'avancent pas seuls sur ce sujet : le 10 janvier déjà, la ministre de la décentralisation, Marylise Lebranchu avait laissé entendre que le gouvernement était décidé à doter la région parisienne d'une "autorité organisatrice plus forte" pour l'habitat, afin de lutter plus efficacement contre "la spéculation foncière" ; visitant une opération de rénovation urbaine à Pantin (Seine-Saint-Denis), en compagnie du maire PS Bertrand Kern et de la députée PS Elisabeth Guigou, la ministre a dit y travailler avec Cécile Duflot, la ministre chargée du Logement et de l'égalité des territoires. L'objectif est de "vaincre des procédures longues, difficiles, onéreuses".

Le gouvernement serait également, selon des informations rapportées par l'AFP, décidé à fusionner en un seul les quatre établissements publics en charge du foncier en Ile-de-France...


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Construction neuve : le casse-tête des terrains

22/1/2013 
Alors que le Conseil constitutionnel vient de censurer une mesure fiscale relative à l'imposition des plus-values, destinée à "booster" les ventes de terrains constructibles, se pose toujours le lancinant problème de la rareté du foncier dans les zones tendues où la construction stagne.

Certes la loi enfin votée et validée par le même Conseil, facilitant la vente à bas prix de terrains publics et renforçant dans ces zones - y compris par une aggravation des sanctions - les obligations des communes en matière de construction de logements sociaux, va aider à débloquer du foncier, mais ses dispositions auront en grande partie des effets indirects et différés.

Il y a même une mesure, passée quelque peu inaperçue alors qu'elle est réclamée depuis longtemps par les milieux du logement social, susceptible de faire baisser un peu le prix des terrains constructibles : dans les communes en carence de réalisation du quota minimum de logements sociaux, 30% des logements familiaux de toute opération de construction d'immeubles collectifs de plus de 12 logements ou de plus de 800m2 de surface de plancher doivent être des logements locatifs sociaux. Cette obligation faisant baisser la rentabilité des opérations de promotion immobilière dans ces communes, les promoteurs seront amenés à faire baisser le prix demandé par les vendeurs des terrains, sachant que le prix des terrains constructibles se fixe la plupart du temps "à rebours", en partant du prix de vente des appartements construits, et en déduisant le bénéfice du promoteur et le coût de la construction...

Mais tout cela risque de ne pas suffire. Le Syndicat des aménageurs lotisseurs (SNAL), qui présentait ses vœux le 22 janvier, a saisi l'occasion d'alerter une nouvelle fois les pouvoirs publics sur le risque de blocage du marché du foncier, pourtant clé de voute pour parvenir à l'objectif gouvernemental de construire 500 000 logements par an. Les aménageurs s'attendent d'ailleurs à ressentir dès le milieu de l'année un ralentissement des ouvertures à l'urbanisation, en raison des élections municipales de 2014.

Les aménageurs lotisseurs s'inquiètent notamment de voir érigée en dogme la volonté de ralentir l' "artificialisation" des sols. Pourtant, selon eux, le logement ne concourt qu'à 20% dans cette artificialisation. Et la densification, prônée par les écologistes, est plus facile à dire qu'à faire car nombre de maires ne veulent pas aller au-delà du R+3, notent les aménageurs lotisseurs.

La concertation en cours a déjà permis aux professionnels du secteur de se prononcer contre le projet de supprimer les gisements fonciers inscrits dans les documents d'urbanisme mais non utilisés. Ils plaident aussi pour des règles d'urbanisme plus simples et opérationnelles. Outre la mise en place de plans locaux d'urbanisme intercommunaux, les aménageurs souhaitent également que les plans locaux de l'habitat couvrent l'ensemble des territoires afin de maîtriser la planification et d'éviter que les logements soient construits dans des secteurs non réglementés ne disposant pas des équipements publics pour les accueillir dans de bonnes conditions.


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