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Brèves : 
 Qualitel lance un guide en ligne pour bien acheter et bien rénover - 4/7/2011
 Retour à l'ordre du jour de la revalorisation de la profession de gardien d'immeuble - 30/6/2011
 Un rappel de sécurité pour les propriétaires de piscines privées - 29/6/2011
 Coup de canif dans le droit au maintien dans les lieux des locataires HLM - 22/6/2011
 Un partenariat ANAH et CNAV pour l'adaptation des logements au vieillissement - 20/6/2011
 Economie d'énergie : un suivi de 3 ans pour les acquéreurs de maisons BBC - 20/6/2011
 Influence croissante du DPE sur les candidats acquéreurs ou locataires - 18/6/2011
 Nouvelle charge des propriétaires immobiliers contre le logement social - 17/6/2011
 Politique du logement: : les propositions de la gauche - 15/6/2011
 Nouveau sondage sur les attentes à l'égard des agences immobilières - 14/6/2011

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Qualitel lance un guide en ligne pour bien acheter et bien rénover

4/7/2011 
C'est un site très complet (1) que l'association Qualitel met à la disposition du grand public pour ceux qui s'engagent dans un projet d'achat, de rénovation ou de construction, ou qui souhaitent simplement se documenter.

Des fiches qualité pour poser les bonnes questions, un guide de ce qu'il faut regarder ou demander avant d'acheter, des conseils spécifiques pour ceux qui achètent en état futur d'achèvement (VEFA), et enfin tout ce qu'il faut savoir avant de faire des travaux, le site est une véritable mine d'informations... A découvrir sans délai !

(1) Qualitel - site www.bienacheterbienrenover.fr



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Retour à l'ordre du jour de la revalorisation de la profession de gardien d'immeuble

30/6/2011 
En octobre 2008, Philippe Pelletier - alors président de l'ANAH - remettait à Christine Boutin, alors ministre du logement, le rapport d'un groupe de travail sur "la revalorisation du métier de gardien d'immeuble". Il contenait 32 propositions de nature à maintenir la présence de gardiens dans les immeubles qui en sont dépourvus et, de façon générale, à revaloriser le métier. Son successeur, Benoist Apparu, a fait également sien l'objectif de revaloriser cette fonction, voyant dans le gardien "un acteur essentiel du bien-être dans un immeuble". "Non seulement, il veille au respect du règlement de la copropriété et assure ou coordonne les services quotidiens dus aux résidents, mais il est aussi un véritable créateur de lien social indispensable au mieux vivre ensemble", rappelle-t-il dans un communiqué.

Après une campagne nationale de communication, passée quelque peu inaperçue, destinée à valoriser l'image des gardiens, notamment auprès des copropriétaires, il a remis l'an dernier le ruban bleu de l'ordre national du Mérite à une gardienne d'immeuble à Orléans, une "façon de rendre hommage à toute une profession".

Une série de mesures annoncée pour la rendre plus attractive et enrayer ainsi son déclin. Le gouvernement s'est engagé à soutenir la création d'une Ecole des Gardiens afin de proposer à des personnes en reconversion professionnelle ou sans qualification appropriée, de suivre un programme au sein d'un établissement spécialisé dans les métiers du gardiennage. Le secrétaire d'Etat souhaite aussi que les gardiens en poste puissent bénéficier de stages de formation pour s'initier à la gestion des conflits et à la médiation (essentielle dans les quartiers difficiles), au fonctionnement des détecteurs de fumée, aux vertus du tri des poubelles etc.

Il estime qu'il faut aussi reconsidérer l'accession à la propriété des gardiens d'immeubles, notamment dans les HLM. "Aujourd'hui, quand un bailleur social propose à la vente un logement HLM, c'est le locataire y habitant qui est prioritaire dans l'achat de ce bien. En cas de refus, la vente est ensuite ouverte aux autres locataires, puis, s'il n'y a toujours pas d'acquéreur, aux salariés du parc HLM dont les gardiens. Il faut modifier cette échelle des priorités en faisant passer les concierges devant les autres locataires", indique le communiqué, qui précise qu'une proposition de disposition législative transmise à Jean-Luc Warsmann pour sa prochaine loi de simplification qui sera déposée cet été au Parlement.

Enfin, il estime également nécessaire de revoir les aides accordées aux gardiens lorsque ces derniers souhaitent rénover leur loge. "Il faut qu'ils puissent bénéficier de l'écoprêt à taux zéro et des aides de l'ANAH (Agence Nationale de l'Amélioration de l'Habitat) si les travaux qu'ils souhaitent réaliser conduisent à des économies d'énergie". Sait-il que l'entretien et la rénovation des logements de fonction des gardiens est à la charge de leurs employeurs, le propriétaire de l'immeuble ou le syndicat des copropriétaires ?

Rappelons que parmi les propositions du rapport Pelletier figuraient la revalorisation du statut social des gardiens, leur équipement en outils, produits et équipements de travail de nature à la fois à préserver leur santé et leur sécurité, l'amélioration de leur logement et sa séparation du bureau d'accueil, au besoin au moyen de subventions pour les copropriétés modestes, etc.

Il était aussi proposé d'encourager le maintien des gardiens en incitant au partage entre plusieurs immeubles et par des mesures fiscales en faveur des copropriétaires comme celle d'assimiler l'emploi d'un gardien à un emploi à domicile.

Pour tenir compte du fait que de nombreux immeubles n'ont plus de logement de fonction, il était également recommandé de mettre à l'étude l'instauration au profit du syndicat des copropriétaires d'un droit de préemption à l'occasion de la vente de tout lot, (situé au rez-de-chaussée)...

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Un rappel de sécurité pour les propriétaires de piscines privées

29/6/2011 
Par la voix de Benoist Apparu, secrétaire d'Etat chargé du logement, le ministère de l'écologie rappelle aux propriétaires de piscines privées la règlementation issue de la loi du 3 janvier 2003, relative à la sécurité des piscines et ses textes d'application. Ils s'appliquent à toutes les piscines, et notamment celles des maisons individuelles, y compris et surtout celles qui font l'objet de locations à l'année ou saisonnières, et les piscines résidentielles des immeubles locatifs ou en copropriété, et prévoient, qu'elles soient nouvellement construites ou existantes, l'installation d'un dispositif de sécurité visant à prévenir les risques de noyade, notamment de jeunes enfants.

Quatre dispositifs permettent de satisfaire aux exigences réglementaires : les barrières de protection, les couvertures, les abris et les alarmes. Le moyen pour les propriétaires de s'assurer que les matériels qu'ils acquièrent ou font installer respectent ces exigences est de vérifier qu'ils sont conformes aux normes homologuées.

Le ministère rappelle qu'un dispositif de sécurité ne remplace en aucun cas la vigilance des adultes responsables, lesquels doivent exercer une surveillance constante et active. Des informations générales sur l'application de la loi relative à la sécurité des piscines sont consultables sur la plaquette " La sécurité des piscines privées ", éditée par le ministère, et en ligne sur le site (1).

(1) plaquette "La sécurité des piscines privées"


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Coup de canif dans le droit au maintien dans les lieux des locataires HLM

22/6/2011 
L'impossibilité pour le bailleur HLM de délivrer congé en application des dispositions de l'article 15 de la loi du 6 juillet 1989, notamment pour vendre ou pour un motif légitime et sérieux, ce qui crée de fait ce qu'on considère habituellement comme un droit au maintien dans les lieux, n'exclut pas qu'il puisse être fait usage du Code civil : c'est ce qu'a fait remarquer la Cour de cassation dans une affaire où un locataire disposait par ailleurs dans la même ville d'un grand pavillon dans lequel il logeait plusieurs de ses enfants (1).

Certes, l'article 40 de la loi du 6 juillet 1989 exclut l'application des dispositions de l'article 15 relatif au congé quand celui-ci émane du propriétaire. Mais pas plus qu'un autre contrat de bail, le contrat de location HLM ne peut être perpétuel (article 1709 de Code civil). En, l'absence de terme fixé pour le bail, le bailleur HLM peut délivrer congé en application de l'article 1736. Le locataire dispose alors d'un droit au maintien dans les lieux mais dans les conditions de l'article 10 de la loi du 1er septembre 1948 qui prévoit de nombreux cas d'exclusion comme par exemple celui de locataires ayant à leur disposition un autre local correspondant à leurs besoins et à ceux de leur famille (article 9 de la loi de 1948)...

(1) Cass., 3ème Ch. civ., 16 juin 2011, n° 10-18814


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Un partenariat ANAH et CNAV pour l'adaptation des logements au vieillissement

20/6/2011 
Au cours d'un déplacement à Orléans le 17 juin, en présence de Benoist Apparu, secrétaire d'Etat en charge du logement, Danièle Karniewicz, présidente de la CNAV (Caisse nationale d'assurance vieillesse) et Dominique Braye, président de l'ANAH (Agence nationale de l'habitat), ont annoncé la conclusion d'un partenariat destiné à renforcer les aides qu'ils apportent en faveur d'un maintien à domicile des propriétaires occupants modestes.

Expliquant que 62% des propriétaires occupants éligibles aux aides de l'ANAH ont plus de 60 ans (37% ont même plus de 75 ans) et qu'adapter le logement le plus en amont possible, dans la perspective de la perte d'autonomie, est une condition pour prévenir la dépendance et favoriser le maintien à domicile des personnes âgées, ils justifient leur démarche par ll'intérêt qu'ils voient à rapprocher leurs modes d'intervention et de mieux les articuler. La mobilisation du réseau des structures évaluatrices de la CNAV facilitera notamment le repérage des retraités dont le logement nécessite des travaux d'adaptation. L'ANAH de son côté aide à la solvabilisation des retraités pour la réalisation des travaux nécessaires. Ensemble ils pourront harmoniser les instruments et les conditions financières de mise en oeuvre.

Afin de répondre au mieux aux besoins de ses bénéficiaires, la CNAV s'est fixé l'objectif de transmettre au moins 50.000 signalements en besoin de travaux sur la période 2011-2013. Les deux organismes participeront financièrement aux actions de repérage, d'ingénierie spécialisée et de travaux d'amélioration du logement. La CNAV prévoit un concours financier global de 90 millions d'euros sur la période 2011-2013 et l'ANAH subventionnera entre 35% et 50% dans la limite d'un plafond de travaux de 20.000 euros HT.

La liste des travaux subventionnables, désormais commune aux 2 établissements, est disponible sur le site Internet de l'ANAH. Il s'agit par exemple de mise en place d'un escalier ou d'une rampe, de travaux de création ou d'élargissement d'ouvertures pour couloir, baies ou portes, de travaux de démolition liés à une adaptation (suppression de murs, cloisons, portes, marches, seuils…), ou encore de création, modification ou remplacement d'équipements sanitaires et robinetterie (évier, lavabo, douche, baignoire…) ainsi que les travaux induits (carrelage, réfection de sols…). Peuvent également être concernés l'installation, l'adaptation ou la mise aux normes d'un ascenseur ou autres appareils permettant notamment le transport de personnes à mobilité réduite, l'installation de mains courantes, barres d'appui, poignées de rappel de porte, l'installation ou l'adaptation des systèmes de commande de fermeture ou d'ouverture, la réfection ou adaptation des cheminements extérieurs, de cour ou de passage dans un projet d'accessibilité, ou encore l'élargissement ou l'aménagement de places de parking.


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Economie d'énergie : un suivi de 3 ans pour les acquéreurs de maisons BBC

20/6/2011 
L'association "Maisons de Qualité", qui regroupe 70 constructeurs en France, lance un "Programme Habitants Pionniers BBC", ayant pour objectif d'accompagner pendant trois ans les acquéreurs, qui font construire une maison BBC (bâtiment basse consommation) par un constructeur agréé membre de l'association. Il s'agit d'un programme unique en son genre pour le moment, soutenu par l'ADEME et des associations familiales et de consommateurs.

Il consiste en un accompagnement portant sur des informations et des conseils pédagogiques liés aux économies d'énergie mais aussi sur un diagnostic annuel de l'aménagement et de l'usage de la maison. Celui-ci, qui inclut l'ensemble des gestes effectués par la famille en vue d'optimiser les économies d'énergie, les difficultés rencontrées dans l'usage de l'habitation et le niveau de satisfaction des acquéreurs, se fera sous la forme d'entretiens téléphoniques. Le premier diagnostic sera effectué à l'issue des douze premiers mois d'usage dans la maison. Un bilan personnalisé sera alors réalisé et proposé aux acquéreurs avec des conseils pédagogiques pour optimiser leur démarche d'économies d'énergie le cas échéant.



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Influence croissante du DPE sur les candidats acquéreurs ou locataires

18/6/2011 
C'est ce qui ressort du sondage IFOP réalisé pour le réseau d'agences immobilières Guy Hoquet et présenté le 7 juin dernier (1) : 82% des personnes interrogées indiquent qu'en cas d'opération immobilière (vente ou location), ils attacheraient beaucoup d'importance à la performance énergétique du logement, et 82% également pensent qu'à long terme, le diagnostic de performance énergétique (DPE) permettra d'améliorer la performance énergétique des logements en France.

Une même proportion - écrasante (82%) - pense aussi que les agents immobiliers devraient conseiller les particuliers sur les suites à donner au DPE pour améliorer la performance énergétique de leur bien.

Un peu moins nombreux mais largement majoritaires (70%) et en forte croissance sont ceux qui se disent prêts à payer plus cher pour un bien immobilier dont la consommation d'énergie est faible. 67% pensent que le DPE va inciter les propriétaires de logements peu performants énergétiquement à rénover leurs biens immobiliers.

Côté vendeurs ou bailleurs, ils sont 55% à faire confiance aux agents immobiliers pour les accompagner dans la réalisation du DPE, mais seuls 48% (c'est déjà ça...) se disent suffisamment informés sur les objectifs et les critères de réalisation du DPE...


(1) sondage réalisé du 17 au 19 mai 2011 sur un échantillon de 1013 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus

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Nouvelle charge des propriétaires immobiliers contre le logement social

17/6/2011 
Cela fait maintenant plusieurs années que l'UNPI (Union nationale de la propriété immobilière, fédération de chambres départementales ou régionales de propriétaires, revendiquant plus de 200.000 adhérents, principalement propriétaires bailleurs) défend l'idée que le logement social est un gouffre de fonds publics et devrait être restreint aux locataires les plus pauvres, l'Etat devant réorienter l'allocation des fonds publics à aider le secteur privé à augmenter son offre de logements à loyers accessibles. Cette fois, à l'appui de sa démonstration, l'UNPI a commandé un rapport à l'IREF (Institut de recherches économiques et fiscales, présenté comme un "think tank" européen fondé en 2002 dans le but de développer la recherche indépendante sur des sujets économiques et fiscaux) sur le coût du logement social public et privé. Conclusion prévisible de l'étude, sous le titre "la vérité sur le logement social" : le parc public remplit de moins en moins son rôle initial à savoir loger les plus démunis à des loyers accessibles.

L'IREF chiffre à 35,5 milliards d'euros les fonds consacrés chaque année aux aides officielles au logement, soit les 2/3 du montant de l'impôt sur le revenu, comparaison martelée parce que frappante. Bien entendu, il y a dans ce chiffre plusieurs allocations de fonds publics très différentes : les aides aux locataires par les régimes sociaux type allocation logement ou APL, les aides à l'accession par le prêt à taux zéro (PTZ et maintenant PTZ+), les aides à l'investissement locatif via les défiscalisations type "Scellier", les aides aux bailleurs sociaux par les collectivités territoriales, l'exonération d'imposition sur les bénéfices et de taxe foncière dont jouissent les bailleurs sociaux, ou les financements à taux réduit pour le logement social issus des dépôts sur le Livret A...

L'IREF estime à 17,2 milliards les aides à la personne, dont 15,7 milliards de versements financiers (l'AL et l'APL) et 1,5 milliards d'avantages fiscaux, et à 18,3 milliards les aides à la pierre, dont 2,1 de versements financiers, 13 milliards d'avantages fiscaux, et 3,2 de réductions de taux.

Concernant les aides à la personne (15,7 milliards), les locataires du parc privé (6 millions) se taillent la part du lion avec 7,1 milliards contre 6 milliards pour ceux du parc social (5 millions), les propriétaires privés accédants recevant quant à eux 1 milliard d'allocation logement et APL, ce qui est moins connu...

Par contre, sur les aides directes à la pierre (7,1 milliards), 3,8 milliards vont aux bailleurs publics sociaux, 700 millions aux bailleurs privés, et 2,4 milliards aux propriétaires occupants. Et malgré cela, dit l'UNPI, les crises du logement persistent...

Quant aux avantages fiscaux (14,5 milliards), le locatif privé n'en reçoit que 3 milliards, le public 9,1 et les propriétaires occupants 2,4.

Ce que reproche l'UNPI, c'est la concurrence déloyale que fait selon elle le secteur public aux propriétaires privés, alors que les conditions économiques ne sont pas équitables. "Depuis 1945, les pouvoirs publics ont fait main basse sur le logement social au prétexte qu'ils seraient seuls en mesure de résoudre la crise du logement", indique la synthèse de l'étude présentée. Or, alors que le logement social avait, selon l'UNPI, vocation à être destiné aux 20 % de Français les plus pauvres, compte tenu
des plafonds des revenus fixés et des allocations et aides sociales, 60% de
la population française peut aujourd'hui prétendre à un logement social.

"Cette appropriation du logement social s'est faite au détriment du marché libre du logement, faussé puis étouffé d'abord par la concurrence déloyale de la part du secteur public et ensuite par un encadrement strict et une législation omniprésente et instable", poursuit le document. "Pire, le secteur privé du logement, à qui l'on reproche de ne pas répondre aux besoins des gens les moins aisés est doublement pénalisé : par une fiscalité rude et décourageante et par une discrimination au niveau des dizaines d'aides consacrées au logement, dont il ne reçoit qu'une infime partie" (ce qui n'est que partiellement exact)... Alors même, dit l'UNPI, que le secteur privé loge tout de même 42% des locataires les plus pauvres.

L'UNPI dénonce les "déperditions liées à l'organisation" et considère que si on recentrait les aides sur les personnes qui en ont besoin, en supprimant les aides à la pierre, chaque locataire bénéficiant, à ce jour, d'une aide au logement, pourrait percevoir en moyenne : 40 milliards répartis entre 6 millions d'ayant droits actuellement, soit 6.666 euros par an, qui correspondent au loyer moyen payé par les personnes aidées à ce jour.

D'inspiration très libérale, le rapport de l'IREF cherche à montrer que d'autres pays privilégient la privatisation et la concurrence au détriment de l'intervention publique et des aides, avec de meilleurs résultats. Il oublie au passage que d'autres n'ont pas fait ce choix et s'en portent très bien aussi comme les allemands. "Le moment n'est-il pas venu de changer de cap en France aussi ?" demande l'IREF, qui propose de mettre en oeuvre deux principes fondamentaux : instaurer transparence, souplesse et
contrôle dans le logement public, et débloquer le marché du logement, en
allégeant la fiscalité et la réglementation qui pénalisent le secteur privé.

Là, l'UNPI rejoint ses combats récurrents contre une règlementation selon elle trop protectrice des locataires, et pénalisant le rendement de l'investissement, et dénonce pèle mêle la loi de 1989, les diagnostics, les normes de décence, la règlementation thermique, etc.

Et de formuler 8 propositions, parmi lesquelles :

- subordonner le droit au maintien dans les lieux des locataires HLM au strict respect de conditions de ressources ;
- accélérer la privatisation des HLM, par la vente aux locataires ;
- améliorer l'information et la fluidité du marché par le biais d'agences immobilières à vocation sociale ;
- normaliser la concurrence parc public, parc privé ;
- concentrer les moyens publics au logement exclusivement dans l'aide aux personnes.

L'UNPI demande aussi la suppression de l'article 55 de la loi SRU imposant
aux communes de plus de 3.500 habitants un quota de logements publics lorsqu'elles sont touchées par la vacance.

Ces propositions ont-elles des chances d'être entendues ? Pas sûr en période de crise économique et de pouvoir d'achat, en même temps que de flambée immobilière dans les zones tendues, qui mettent à mal une part croissante, non seulement des plus pauvres mais aussi des classes moyennes. Si la situation justement dénoncée de maquis et de milles-feuilles de statuts, de financements, de régimes fiscaux et de règlementations mériterait effectivement une réforme en profondeur, les propositions sont trop marquées idéologiquement pour ne pas susciter défiance et opposition, condamnant les politiques - même de droite - à du rafistolage d'urgence plutôt qu'à une remise à plat. Dommage car une réflexion sur les vocations respectives du privé et du public, à laquelle appelle cette étude très fouillée, permettrait sans nul doute une rationalisation salutaire de l'"usine à gaz" qu'est aujourd'hui la politique du logement...


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Politique du logement: : les propositions de la gauche

15/6/2011 
Les principaux partis politiques étaient présents le 8 juin aux Etats Généraux du logement organisés par 33 organisations professionnelles du secteur du logement, dont l'Union sociale pour l'habitat (USH), notamment les socialistes, écologistes et communistes. Tous disent vouloir faire de la lutte contre la crise du logement une priorité, sans forcément préconiser un un effort budgétaire massif : l'objectif affiché est en général de 2% du PIB contre 1,96% cette année. Les politiques proposées réorientent cependant les aides vers des publics précis, tout en régulant mieux le marché.

Tous les partis fixent entre 450.000 et 500.000 logements neufs par an le niveau de production nécessaire pour résorber les déficits, en axant l'effort sur les les zones tendues pour relâcher mécaniquement la tension sur les prix. Ce n'est pas hors d'atteinte, la construction ayant atteint le chiffre de 420.000 logements avant la crise. La gauche y ajoute des objectifs précis en matière de logement social : 150.000 HLM "PLAI" et "PLUS" - les logements les plus sociaux - pour Martine Aubry, première secrétaire du PS, et jusqu'à 200.000 pour les communistes, représentés par Pierre Laurent.

A titre de comparaison, 131.500 logements sociaux ont été financés en 2010, incluant les "PLS", aux plafonds de ressources beaucoup plus élevés. Pour tenir les objectifs, François Hollande a quant à lui proposé de faire passer les aides à la pierre pour le logement social de "500 millions d'euros" à "800 millions à un milliard d'euros".

Pour lutter contre la pénurie de terrains, facteur de hausse des prix du neuf et frein principal à la construction de HLM, les partis de gauche préconisent de créer des établissements publics fonciers dans chaque région, permettant à l'Etat de constituer des réserves foncières et réguler les prix. Martine Aubry propose aussi de "de taxer les terrains constructibles qui ne serait pas construits dans les cinq ans" et François Hollande demande un prélèvement plus élevé sur les plus-values lors du classement d'un bien en terrain constructible. A noter que le gouvernement, sans aller jusque là, se prépare à mettre fin aux exonérations fiscales sur les plus-values lorsque la détention dépasse 15 ans, qui incitent à la rétention de terrains.

La loi SRU (Solidarité et renouvellement urbain), qui oblige les communes de plus de 3.500 habitants à assurer un quota de 20% de logements sociaux, serait renforcée : le PS voudrait faire passer ce seuil à 25%, les Verts et le Front de gauche à 30%. Pour empêcher que, comme aujourd'hui, beaucoup de communes contournent leurs obligations, les sanctions contre les maires récalcitrants seraient aggravées.

Le nouveau prêt à taux zéro (le "PTZ+") et la réduction d'impôt Scellier sont critiqués à gauche et même au centre. "Le PTZ+ élargi à l'ancien, c'est une hausse instantanée du prix du bien et un cadeau aux vendeurs", estime Cécile Duflot. Autrement dit, les propriétaires ont aussitôt profité du gain de solvabilité des acquéreurs pour augmenter les prix. Lancé en janvier et accordé sans conditions de ressources, le prêt à taux zéro profiteraient d'ailleurs peu aux ménages modestes. La gauche suggère donc de ne plus l'octroyer aux foyers les plus aisés.

Quant aux exonérations d'impôts accordées lors d'un investissement locatif, elles devraient servir à réguler les loyers en exigeant des contreparties sociales des propriétaires qui en profitent. Limiter leurs bénéficiaires permettrait aussi de réaffecter les sommes au financement des HLM. "Les recettes fiscales perdues pour un logement en Scellier permettraient par exemple de construire deux logements sociaux", expliquait la secrétaire nationale du parti socialiste chargée du logement, dans des propos rapportés par l'Expansion.com.

Autre mesure mise en avant dans le projet socialiste et qui suscite de vives critiques à droite et chez les propriétaires de l'UNPI (Union nationale de la propriété immobilière) : l'encadrement des loyers lors d'une première location et au changement d'occupant dans les zones tendues. Un sondage TNS-Sofres réalisé à l'occasion des Etats généraux indique sans surprise que 88% des Français approuvent une telle mesure. Martine Aubry concède que l'encadrement soit moins contraignant dans les villes qui font un effort de construction.

Cécile Duflot propose "un moratoire ou blocage de l'IRL" (indice de référence des loyers), ou un "miroir des loyers" sur le modèle allemand, qui oblige les propriétaires à se conformer au niveau moyen des loyers à l'échelle d'une rue ou d'un quartier.

Enfin, vieille revendication du collectif Jeudi Noir et des associations de mal-logés, la taxation des logements vacants et la possibilité de réquisitions lorsque l'urgence le demande, ne manque pas à l'appel, tout en l'assortissant d'aides aux propriétaires pour qu'ils remettent leurs biens sur le marché quand ils ne peuvent assumer seuls les coûts de rénovation. Le mouvement Europe-Ecologie Les Verts reprend aux socialistes l'idée d'une taxation similaire pour les bureaux vacants en Ile-de-France, taxation qui faisait l'objet une proposition de loi socialiste, rejetée en mai par la majorité actuelle.


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Nouveau sondage sur les attentes à l'égard des agences immobilières

14/6/2011 
Il s'agit de la 4ème vague de sondages commandés à l'IFOP (1) par le franchiseur Guy Hoquet Immobilier (500 agences dans toute la France, 3ème réseau de franchises du secteur et filiale comme Century 21 France du groupe Nexity), qui visent à mesurer chaque année les attentes des français vis-à-vis des agents immobiliers.

L'enquête s'est déroulée cette année dans un contexte de recul général des intentions : 20% d'intentions d'achat dans les 12 prochains mois dans l'ancien contre 23% un an avant, 14% pour l'achat dans le neuf contre 18, 19% pour les locations contre 23, 16% pour les mises en location contre 18, 15% pour la vente d'un bien contre 20.

Seul un petit quart des personnes interrogées (23%) a l'intention de recourir exclusivement à une agence immobilière pour ces opérations, mais 48% ont une attitude plus opportuniste et n'excluent pas de le faire... Les agents immobiliers sont crédités d'une bonne connaissance du marché de l'immobilier en général (33%) avant l'efficacité (22%) et la disponibilité (20%) ; 18% seulement apprécient l'accompagnement, 16% la compréhension du projet et 12% la connaissance plus précise du quartier (!). Enfin, les compétences techniques concernant les aspects juridiques ou le financement ne sont citées que par 9% des sondés.

Le choix d'un agent se fait d'abord sur la réputation de l'agence au niveau local (35%), l'expertise technique et la connaissance du marché (30%), à égalité avec le taux de commission ! Arrivent ensuite la diversité des offres (27%), et plus loin la réputation du réseau (15%), la mise à disposition de services facilitateurs (13%) et l'appartenance de l'agence à un réseau national (9%), ce qui révèle un certain échec des réseaux de franchise à faire le "break" avec les professionnels dits "indépendants" (en fait les franchisés le sont aussi, mais ils doivent respecter un certain nombre de règles de fonctionnement et bénéficient d'un support commercial et de formation). Arrivent encore plus loin la certification par un organisme indépendant (certification ISO), citée par 7% des sondés seulement, ce qui en fait n'est pas si mal si l'on prend en compte la méconnaissance de l'apport des certifications dans le grand public...

Les vendeurs, si l'on en croit le sondage, seraient assez volontiers incités à donner un mandat exclusif à un professionnel si on lui garantit le prix net vendeur (82%), le délai (76%), ou une assistance et un suivi garanti pour les acquéreurs (63%).

La connaissance de l'état du marché pour le grand public vient prioritairement de l'analyse par chacun des annonces immobilières, et d'abord vitrines des agences (47% de citations, en hausse), des journaux d'annonces (46%, en baisse), des sites Internet des agences immobilières (35%, en baisse), des sites Internet de particulier à particulier (30%, en baisse), et enfin des conversations avec des proches ou des voisins (le "bouche à oreille", 27%, en baisse). Les particuliers ont nettement moins recours aux dossiers de la presse et des magazines (17%, en forte baisse), aux conversations avec les agents immobiliers et professionnels (promoteurs, etc., 13%, stable), aux reportages TV (10%, en chute libre), aux conversations avec des banquiers ou notaires (9%, en baisse), et encore moins aux forums sur Internet (4%, en baisse) ou aux réseaux sociaux (2%), même s'ils leur accordent une crédibilité à la fois bonne (62 à 84% selon les sources) et croissante, sauf pour les discussions sur Internet (39% pour les forums, en baisse et 20% pour les réseaux sociaux)...

Un tiers des sondés ont été recontactés par leur agent immobilier pour s'assurer du suivi de la transaction, et un autre tiers aurait souhaité l'être. 18% disent avoir été informés après l'opération de l'évolution de la valeur de leur bien et 52% auraient souhaité l'être ; 15% disent recevoir une lettre d'information papier ou électronique, et 29% le souhaiteraient. Enfin, les journées portes ouvertes rencontrent un certain intérêt : 10% des sondés disent y avoir été invités et 30% auraient souhaité l'être...

Plusieurs nouveaux services services sont plébiscités : un espace client accessible sur Internet pour suivre le projet (71%), des conseils en matière de défiscalisation (70%), une sélection de partenaires pour les travaux de performance énergétique (63%), des offres de financement (56%), l'élaboration de plans de réaménagement de l'espace intérieur : agencement de l'espace, décoration (58%), des services d'aide au déménagement (56%), ou une sélection de partenaires pour des travaux de confort (54%).


(1) réalisé du 17 au 19 mai 2011 sur un échantillon de 1013 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus

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